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Rammstein › Sehnsucht
- 1997 • Universal records CD 573 304-2 • 1 CD
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Membre | Note | Date |
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Azzathor666 | lundi 11 octobre 2010 - 23:43 | |
MuseDementia | mercredi 21 octobre 2009 - 22:43 | |
eagle-81 | samedi 17 février 2007 - 18:32 | |
Envinyatar | mercredi 31 mai 2006 - 15:43 | |
raziel | vendredi 11 novembre 2005 - 19:08 | |
Manumal | samedi 11 juin 2005 - 21:59 | |
adem-flake | vendredi 28 novembre 2003 - 15:04 | |
Stef | lundi 30 juin 2003 - 00:38 | |
madpig | lundi 24 mars 2003 - 16:11 | |
Dan le Sale | vendredi 11 octobre 2002 - 22:12 | |
Ultimex | samedi 14 mai 2022 - 14:36 | |
GrahamBondSwing | mercredi 6 mai 2020 - 22:02 | |
Faust Méphistophélès | jeudi 27 octobre 2016 - 18:16 | |
hell | dimanche 8 mai 2011 - 00:02 | |
Int | jeudi 21 octobre 2010 - 13:06 | |
EyeLovya | lundi 23 août 2010 - 14:28 | |
bloodyhours | vendredi 15 mai 2009 - 16:37 | |
Fryer | jeudi 26 mars 2009 - 11:49 | |
Raven | jeudi 22 janvier 2009 - 03:02 | |
juj | lundi 12 novembre 2007 - 21:39 | |
Werk | mercredi 31 octobre 2007 - 01:55 | |
Noohmsul | samedi 11 août 2007 - 13:25 | |
Lady_Bathory | samedi 16 décembre 2006 - 12:21 | |
SangNord | samedi 25 novembre 2006 - 23:20 | |
eudemis | samedi 3 juin 2006 - 08:53 | |
verdelet | mercredi 28 décembre 2005 - 13:24 | |
Vasconny | dimanche 19 juin 2005 - 16:39 | |
Arno | jeudi 5 août 2004 - 15:35 | |
bloodrain | mardi 20 janvier 2004 - 22:36 | |
Greengoffik | vendredi 28 novembre 2003 - 19:46 | |
urizen | lundi 15 septembre 2003 - 03:30 | |
Trendy | dimanche 27 avril 2003 - 20:39 | |
asharak | samedi 2 mars 2024 - 22:44 | |
Dead26 | lundi 4 juillet 2016 - 18:20 | |
torquemada | jeudi 14 mai 2015 - 10:20 | |
zugal21 | vendredi 6 décembre 2013 - 21:50 | |
Karamazov | jeudi 24 février 2011 - 13:38 | |
julius_manes | vendredi 10 décembre 2010 - 12:34 | |
Crusard | jeudi 22 avril 2010 - 17:41 | |
Seijitsu | mardi 23 mars 2010 - 18:00 | |
Cockrellus Wumbus | mardi 23 mars 2010 - 16:46 | |
E. Jumbo | vendredi 15 mai 2009 - 23:14 | |
cyprine | dimanche 30 novembre 2008 - 09:56 | |
Wotzenknecht | lundi 12 novembre 2007 - 21:17 | |
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Xeromancer | lundi 1 janvier 2007 - 20:27 | |
Zargoth | lundi 25 septembre 2006 - 14:45 | |
Demonaz Vikernes | samedi 22 avril 2006 - 20:32 | |
Malefic | vendredi 21 avril 2006 - 23:58 | |
Metallicum | jeudi 23 mars 2006 - 20:45 | |
miho | dimanche 26 février 2006 - 16:33 | |
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To_live | vendredi 17 juin 2005 - 16:54 | |
Serge | lundi 6 juin 2005 - 23:28 | |
Arwenn | jeudi 31 mars 2005 - 18:00 | |
PLF | dimanche 13 février 2005 - 16:44 | |
gab | mardi 20 janvier 2004 - 20:44 | |
Deadinside | vendredi 28 novembre 2003 - 16:08 | |
Septon | jeudi 30 octobre 2003 - 10:13 | |
AegoroN | lundi 10 février 2003 - 22:42 | |
Vicious.666 | mercredi 30 octobre 2002 - 22:33 | |
innersilence | dimanche 23 juin 2013 - 18:14 | |
Moonloop | mercredi 21 janvier 2009 - 19:15 | |
Aiwass | samedi 16 juin 2007 - 02:23 | |
Franz | dimanche 30 avril 2006 - 11:38 | |
arnoux | samedi 3 décembre 2005 - 12:28 | |
Møjo | mardi 6 mai 2003 - 18:57 | |
le_grisha | dimanche 2 mai 2010 - 00:57 | |
Kiss of Nephtys | lundi 26 février 2007 - 11:26 | |
Lapin | mercredi 3 janvier 2007 - 15:13 | |
Nerval | dimanche 28 août 2005 - 18:01 | |
üflrü dü zbrrü | mardi 21 novembre 2006 - 14:34 | |
666satan | mercredi 23 août 2006 - 20:28 | |
heirophant | dimanche 26 février 2006 - 17:12 | |
Metatron | vendredi 25 novembre 2005 - 16:09 |
cd • 11 titres • 43:51 min
- 1Sehnsucht
- 2Engel
- 3Tier
- 4Bestrafe mich
- 5Du hast
- 6Bück dich
- 7Spiel mit mir
- 8Klavier
- 9Alter Mann
- 10Eifersucht
- 11Küss mich (Fellfrosch)
informations
L'édition américaine contient deux bonus tracks :
12/ Engel (english version)
13/ Du hast (english version).
Pour la petite histoire, les versions anglaises avaient à l'origine étaient écrites pour le marché américain, mais à la surprise du groupe, les radios y ont toutes diffusés les versions originales ! Pour le groupe, elles constituent une expérience intéressante, qui a confirmé que le chant en allemand était indissociable du succès de leur compositions.
line up
Till Lindemann (chant), Richard Kruspe (guitare), Christian "Flacke" Lorenz (claviers), Oliver Rieder (basse), Christoph Schneider (batterie), Paul Landers (guitare), Bobo (chant feminin)
chronique
Ce deuxième opus affichait déjà les prémices d'un changement d'orientation chez les allemands. Plus musical, plus doux, laissant une place plus importante aux mélopées, les rythmiques martiales et les sons électroniques qui trainaient çà et là sont cependant toujours présents. Till se permet ici de pousser la chansonette sur de nombreux titres, se targuant de vautrage complet ou de réussite sans équivoque en fonction de l'oreille de l'auditeur. Quant aux compositions, les muses semblent revenir d'un voyage du côté oriental ('Sehnsucht', 'Eifersucht'), ou du côté du pays des merveilles ('Engel', 'Klavier'), même si la plupart n'ont visiblement pas daigné se déplacer ('Du hast', 'Bück dich'). Un album au final difficile à cerner, divisant les fans entre confirmation et déception. Pour ma part, suscitant impression de redite et goût de mièvrerie.
note Publiée le dimanche 23 juin 2002
chronique
Sacré Mojo, décidément... Il ne faisait pas encore dans le conseil en logiciels, mais il aurait pu être moins brutal avec cet album moyen+ qui est le plus pixellisé du son qu'ait sorti Rammstein. Un son très très aigu-acidulé, plus Judas Priest techno tendance eurodance, plus light, que celui de Herzeleid. Arrière-goût de Coca light, oui : c'est tout à fait ça, vous savez ce goût synthétique étrange, l'édulcorant artificiel, qui est au sucre ce que le synthétiseur est au piano. On sent surtout que le claviériste malingre - dont j'ai jamais été foutu de mémoriser le nom ce qui est parfaitement raccord avec son rôle de victime, genre La Crampe de Pulp Fiction sans le latex - est celui qui a façonné cet album, avec tous ses petits sons à la Orbital du pauvre et sa gamme d'effets Mortal Kombat. Ce qui fait à la fois le charme et le handicap de Sehnsucht. Et ce qui donne en quelque sorte l'album le plus Oomph! des cinq boeufs et leur springbok mal nourri. Une fois qu'on a compris ça, et qu'on se sent plus synth-pop-techno-disco, on peut savourer les saveurs très backroom et ecstasy de ce petit album huilé avec amour. Un peu la parade de Rammstein chez les gothpoufs et les cyberpunks. Ces histoires de production (son assez petit sexe pour nos teutons, guitares pas assez massives) sont finalement bien dominés par la saveur Till. Nan parce qu'excusez, mais même si les petits pré-pubères se la sont tous touchée entre 2000 et 2010, c'est que Till est égal à sa carcasse : la krosseuh voix avec l'aksent, la domination, le chant mélodique sur-épais, Till est bien le seul truc émotionnel et épais là-dedans, le reste est une affaire de mécanique froide. Ses parades ne sont pas les plus mémorables ici, mais tout de même... "Du Hast" est devenue cette scie pour beaucoup, mais c'est aussi le meilleur résumé du style Till et de sa création pure : se gargariser de sa propre langue natale sans craindre qu'elle en devienne abstraite, exagérer l'accent pour fasciner l'étranger - exotisme malsain (quasi-pléonasme) - tout en imposant massivement le dialecte le plus ingrat du monde dans les écoles avec plus d'efficacité que l'occupation allemande elle-même n'aurait pu l'espérer, grossir le trait, GROSSIR LE TRAIT, jusqu'à devenir ce trait, et le cheval dudit, s'en gargariser par de très simples et très basiques mots de tous les jours - "tu", "tu as", "tu m'as" - pour la redécouvrir comme une arme sonore. Sombre et expérimental ouais... "Alter Mann" est accessoirement une des meilleures du groupe, 'comprends pas pourquoi elle est souvent négligée, c'est ma préférée de l'album. De toute façon en étant froidement objectif comme la grosse Merkel sur ses fiches de bilan, c'est un peu leur album le plus expérimental : il a sa bizarrerie, son étrangeté ; écoutez juste "Küss mich" par exemple, et toute la merde difforme que ce morceau charrie en sous-couche. Bien sûr ça reste timide sur la forme : on parle d'un groupe de pop-metal, hein, pas de Skinny Puppy. Mais dans l'esprit ça se tient... Leur album le plus Gillette, à côté de ça, ce qui est à double-tranchant, mais la note sera un rasoir quatre-lames.
note Publiée le jeudi 14 mai 2015
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- GrahamBondSwing › Envoyez un message privé àGrahamBondSwing
"Du Hast" est un des plus gros tubes de l'histoire du Metal Indus, comme par exemple "NWO" de Ministry ou "Wish" de NIN… c'est le genre d'exploit que je respecte… ce n'était pas gagné d'avance...
- Note donnée au disque :
- Faust Méphistophélès › Envoyez un message privé àFaust Méphistophélès
Celui là est mieux que les autres, il propose un contenu plus stable dans la gradation de la qualité des morceaux. Son aspect moins organique, comme dépouillé et en accord avec le son que prend les guitares, rappelez vous les précurseurs du genre aux guitares lourdes mais moins en avant, qui nuancent, voilà ce qui en fait leur meilleure production selon moi et surtout à la cohérence de leurs ambitions. Et surtout cette tendance à ne jamais se révéler complètement, tout y est bien plus beau et fouillé. A l'écoute de beschtrafe mich et sa basse je m'en persuade, comme de son refrain émotionnellement entêtant.
- Note donnée au disque :
- Demonaz Vikernes › Envoyez un message privé àDemonaz Vikernes
Comme pour le premier album, mon avis n'évolue pas trop au fil des années. Pas de pistes à jeter, mais pas aussi efficace que le précédent. ET là aussi, les versions studios perdent de leur attrait face au Live aus Berlin.
- Note donnée au disque :
- innersilence › Envoyez un message privé àinnersilence
Un peu un plaisir coupable cet album, ça craint un peu d'aimer tellement c'est lisse, et d'une platitude désolante. On en fait le tour en une écoute et c'est aussi "indus" qu'un album de Britney Spears. Mais bon y'a quelques riffs sympa et c'est bien catchy.
- Note donnée au disque :
- Seijitsu › Envoyez un message privé àSeijitsu
Un disque tout à fait sympathique mais un bon cran en dessous du précédent. A vouloir faire dans le mélodique, le groupe perd beaucoup en efficacité et en charme. Et si la ballade de Herzeleid était réussie, "Klavier" est une vraie calamité. Sinon "Engel", "Eifersucht" et l'énormissime "Du Hast" sortent du lot.
- Note donnée au disque :