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Paradise Lost › Gothic
- 1991 • Peaceville records CDVILE26 • 1 CD
cd • 10 titres
- 1Gothic
- 2Dead emotion
- 3Shattered
- 4Rapture
- 5Eternal
- 6Falling forever
- 7Angel tears
- 8Silent
- 9The painless
- 10Desolate
informations
Academy music studios novembre-décembre 1990 et janvier 1991.
line up
Nick Holmes (chant), Greg Mackintosh (guitare), Aaron Aedy (guitare), Stephen Edmonson (basse), Mathew Archer (batterie)
chronique
"Gothic", le disque qui donna son nom au genre, "Gothic" le disque qui popularisa réellement Paradise Lost, "Gothic" le meilleur disque du groupe selon les "die hard" fans, hum c'est dire si celui-ci semble être important. Et c'est tout de même avec 10 ans de retard que je le découvre... Ahlàlà y a des fois où je regrette de ne pas être né en 1970 (et j'imagine que ceux là regrettent de pas être né en 60 héhé)... Mais bref, tout ceci pour dire que "Gothic" fait partie de ces disques qui ont quelque peu vieillis, surtout au niveau du son. Cela rajoute du cachet certes (et je suis habituellement fan des vieilles prod's) mais là je dois bien avouer que cela me gene suffisamment pour être noté ici. Bienheureusement, les compositions elles ne vieillissent pas, et prouvent clairement que le bruit créé autour de cet album n'est pas injustifié. "Gothic" poursuit là où "Lost paradise" s'était arrêté. Le côté death est moins présent, le tempo s'est légèrement relevé pour devenir quasiment tout le temps mid-tempo, les claviers prennent une plus grande place (c'est surtout eux qui ont vieilli), le chant féminin également, et l'ensemble prend une dimension générale plus triste, dramatique, que glauque et oppressante comme sur l'album précédent. Il faut bien avouer que cette évolution était ce que l'on pouvait souhaiter de mieux. L'ensemble est bien plus accrocheur, l'ambiance plus "accessible", Gregor Mackintosh s'en donne à coeur joie niveau solo (limite trop même !), et le disque regorge de nombreuses petites mélodies touchantes qui lui conférent cette aura si particulière. De plus l'ensemble se révèle vraiment homogène, tous les titres apportant leur pièces à l'édifice... Seulement voilà, cela sonne clairement daté, a force d'être copié l'original finit par ne plus avoir la même saveur... Car si j'aime énormément ce disque, les amateurs "actuels" de musiques sombres ne le trouveront pas assez sombre, les gothiques pas assez gothiques, les metalleux pas assez violent... Bref, un grand disque en 1991 je n'en doute pas, mais seulement un bon disque en 2004...
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- Rastignac › Envoyez un message privé àRastignac
Là ils l’avait joué d’une traite, du début à la fin sans bonus avec les blagues de vieux de Holmes entre chaque morceau. Ça date de…2018?17? J’avais passé un bon moment (et ça m’a surpris je m’y attendais pas vu comme cet album passe moyen ici la plupart du temps)
Message édité le 03-02-2025 à 08:47 par Rastignac
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- torquemada › Envoyez un message privé àtorquemada
C’est rare de lire que la scène bonifie Paradise Lost même si on parle d’un album dont le son laisse à désirer. Perso à chaque fois que je les entends jouer de cet album sur scène (« Gothic », « Eternal » ou « The Painless » ça et là sur les 30 dernières années), je trouve que ça ne marche pas entre les difficultés de growl de Holmes (même si en remettre sur album lui a fait du bien) et les vocaux féminins sur bande.
Message édité le 03-02-2025 à 08:37 par Torquemada
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- Rastignac › Envoyez un message privé àRastignac
Les morceaux que j'avais vus rejoués sur scène (encore une fois au Roadburn, il y a pas mal d'années maintenant) enjolivaient bien ces chansons qui quand même ont parfois du mal à se terminer... mais les solis si particuliers de Mackintosh passaient vachement bien, sur le fil, un peu de travers, on sent qu'ils sont presque juste comme il faut, pas loin... ça m'a fait revaloriser cet album que j'ai quand même plus de mal à digérer que les autres, faute peut-être aussi à la production, oui...
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- torquemada › Envoyez un message privé àtorquemada
La Guts Session m'a donné envie de le ressortir et je trouve que charme particulier demeure. Par contre cette bouillie de guitares me faisait penser que l'émission ne s'était pas attardée sur Hammy en tant que producteur alors que tout ce qu'il a produit sonne quand même assez mal (sur ce "Gothic" aucun producteur crédité, juste l'ingénieur du son du précédent où Hammy avait le titre de producteur).
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- saïmone › Envoyez un message privé àsaïmone
C'est drôle parce que c'est vrai
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