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Yob › Catharsis

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Hallu      vendredi 14 février 2020 - 21:27
nicliot      samedi 1 octobre 2016 - 13:12
Rastignac      jeudi 7 mai 2015 - 02:18
Chris      mardi 27 mai 2014 - 17:04
Cinabre      jeudi 2 mars 2023 - 10:55
wan      mercredi 1 juin 2016 - 12:29
dimegoat      lundi 22 décembre 2014 - 11:45
vincenzo      mercredi 28 mai 2014 - 11:49
taliesin      jeudi 1 août 2019 - 10:09
cyprine      mardi 8 juillet 2014 - 11:35
Intheseblackdays      mardi 27 mai 2014 - 17:12
Karamazov      dimanche 6 octobre 2019 - 19:56
Klarinetthor      mardi 27 mai 2014 - 01:32

cd • 3 titres • 49:09 min

  • 1Aeons18:10
  • 2Ether07:16
  • 3Catharsis23:39

informations

Dogwood Studio, Elmira, Oregon, février 2002.

L'édition Profound Lore Records de 2013 a été remastérisée par Tad Doyle au Witch Ape Studio, Seattle, Washington.

line up

Mike Scheidt (chant, guitares), Isamu Sato (basse), Gabe Morley (batterie)

chronique

Découvert sur le tard grâce à la superbe ré-édition digipack de Profound Lore Records, "Catharsis" a été une putain de sacrée révélation ! Une de celles qui ne surviennent que trop peu souvent... En effet que dire de ce disque si ce n'est que "Catharsis" EST le doom. Tout simplement. Dans ses plus noirs retranchements. Avec une apparente et déconcertante simplicité, Yob déploit sur ce deuxième album un groove spongieux couplé à une maitrise absolue du continuum spatio-temporel. La lenteur, implacable, est donc de mise, pachydermique même par moment ; les riffs plombés mais paradoxalement ultra puissants et jouissifs sont aussi de la partie. Et grâce à ce son organique et abrasif, l'expérience Yob devient complètement viscérale, aidée en cela par le chant bipolaire de Mike Scheidt, alternant entre le magnifiquement psychédélique et le délicieusement bestial. La batterie claque comme jamais, réussissant la prouesse de parvenir à arrêter le temps par moment. Au final, en dépit d'une noirceur ultime, "Catharsis" se transforme en un album salvateur, agissant comme une sorte d'exorcisme, qui parvient à expurger les plus sombres angoisses, les plus inavouables instincts. Point nécessaire de plus de baratin, tout est déjà dit. Yob accouche ici d'une d’œuvre fascinante, et certainement d'un des plus grands disques de doom de tous les temps...

note       Publiée le lundi 26 mai 2014

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Note moyenne        13 votes

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Cinabre Envoyez un message privé àCinabre
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Tu l’as dit!

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born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo

Doom oecuménique.

Rastignac Envoyez un message privé àRastignac
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Yob n'est pas seulement chroniqué dans Télérama, mais également dans la presse bouddhiste américaine :

https://www.lionsroar.com/yob-eastern-spirituality-remains-an-influence-on-doom-metal-heroes/

Note donnée au disque :       
boumbastik Envoyez un message privé àboumbastik

Catharsis (le morceau) est inusable. Faut avoir une sorte de vision d'ensemble pour composer un truc pareil, comme pour écrire un roman, genre.

dimegoat Envoyez un message privé àdimegoat
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Ce Yob est magistral, sans doute mon préféré (au coude à coude avec The Unreal Never Lived), avec cette atmosphère doom-new-age, ce son brut et point trop enflé, cette voix de prêtre cosmique, et cette pochette super moche. J'adore

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