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Arcana (SUE) › Cantar de Procella

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stickgrozeil      mercredi 8 mars 2023 - 10:27
caténaire      jeudi 18 décembre 2014 - 14:46
Dead26      samedi 16 octobre 2010 - 10:56
taliesin      mercredi 3 octobre 2007 - 18:14
asdrubal      dimanche 26 novembre 2006 - 23:43
Aaricia      dimanche 5 novembre 2006 - 21:57
Brutal Sanglier      dimanche 3 octobre 2004 - 03:28
Titan      lundi 5 janvier 2004 - 14:02
trespass      jeudi 11 décembre 2003 - 19:58
SILENIUS      vendredi 21 juin 2002 - 21:31
gregdu62      dimanche 17 août 2008 - 00:25
Nekyia      dimanche 3 décembre 2006 - 19:05
Nerval      dimanche 6 février 2005 - 15:29
allobroge      mercredi 25 septembre 2019 - 07:46
No background      samedi 24 septembre 2011 - 23:02
Wotzenknecht      mercredi 18 août 2010 - 10:30
SangNord      samedi 25 novembre 2006 - 16:53
Uriel      mardi 11 juin 2002 - 12:39
Metallicum      jeudi 23 mars 2006 - 19:11
zbr      mardi 1 mai 2007 - 00:48

cd • 12 titres • 47:15 min

  • 1The opening of the wound03:32
  • 2Chant of the awakening04:22
  • 3The song of solitude (the cry of Isolde)02:57
  • 4Void of silence03:23
  • 5Cantar de procella06:26
  • 6Aeterna doloris02:55
  • 7The song of preparation04:43
  • 8God of the winds04:45
  • 9The dreams made of sand04:43
  • 10Gathering of the storm04:15
  • 11La salva de profundis05:29
  • 12The tree within03:38

extraits audio

informations

Produit par Peter Pettersson au Studio Underground février-mars 1997

line up

Peter Pettersson (chant, instruments), Ida Bentgsson (chant)

chronique

  • heavenly dark-ambient

Dès les premières notes de ‘Cantar de procella’ on sait qu’Arcana confirme son immense talent en matière d’heavenly dark et ambient. La nouveauté réside dans un côté un petit peu plus martial (‘Chant of the awakening’, ‘God of the winds’) qui vient ‘secouer’ par moment les longues plaintes de la voix grave de Peter Pettersson et celle plus légère mais tout aussi triste d’Ida Bengtsson (‘The song of solitude’, ‘The tree within’). Encore plus ‘médiéval’ que ‘Dark age of reason’, ce second album regorge de nappes ambient très sombres, de chœurs illuminés et de pianos aux accents funestes. L’aspect mystique prend encore plus d’ampleur et l’album se finit sur une note où l’espoir semble possible (‘The tree within’, au texte simple mais magnifié par la voix d’Ida). Arcana symbolise parfaitement la mélancolie médiévale, à la fois proche du désespoir et désireuse d’une rédemption complète de l’être. Un incontournable de la scène ‘dark’ et un monument tout court.

note       Publiée le lundi 6 octobre 2003

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stickgrozeil Envoyez un message privé àstickgrozeil

Le disque parfait pour se balader en forêt, au milieu des ruines d'un château presque disparu. Vous m'en direz des nouvelles.

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allobroge Envoyez un message privé àallobroge

Pour "The tree within" et "Emperor of the sun" , superbes .

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Dead26 Envoyez un message privé àDead26

2ème chef d'oeuvre, encore plus beau et plus subtile que le 1er. En ce qui me concerne, question d'affecte, Arcana reste la seule formation dans le genre à rivaliser avec DCD. Heavenly as fuck !

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Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
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Un peu plus poussif que prévu au fil des écoutes... Mais ca reste le meilleur avec 'Dark Age of Reason' (j'ai pas mes vinyles à disposition, argh)

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Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
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Un album qui m'a surpris, moi qui pensais que tous les albums d'Arcana pré-Serpent rouge se ressemblaient (The last Embrace/Inner Pale Sun). Plus évanescent, plus éthéré ('The Song of Solitude') et moins accessible. Un des très rares groupes à pouvoir se comparer à Dead Can Dance sans faire dans le revival médiéval pompeux.
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