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Necrophagist › Onset of putrefaction

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vargounet      jeudi 16 mars 2023 - 08:25
dimegoat      samedi 11 mars 2023 - 14:39
Serial-Butcher      vendredi 8 septembre 2006 - 00:44
pyosisified      mardi 6 septembre 2005 - 18:44
Loeeks      samedi 24 janvier 2004 - 13:14
Ultimex      samedi 14 mai 2022 - 15:50
Metallicum      jeudi 23 mars 2006 - 20:34
tk1kon      lundi 21 février 2005 - 15:48
darktical_light      samedi 11 septembre 2004 - 16:25
weeman      samedi 3 avril 2004 - 11:24
shadowtiny      samedi 31 mai 2003 - 17:48
passage      vendredi 12 juillet 2002 - 21:45
Nicolas      mercredi 5 juin 2002 - 14:43
JB      vendredi 31 mai 2002 - 11:54
Lecter      vendredi 31 mai 2002 - 11:41
Cockrellus Wumbus      lundi 4 octobre 2010 - 22:17
NevrOp4th      lundi 2 août 2010 - 09:20
Lord Max      vendredi 8 septembre 2006 - 10:07
Technical-Excess      jeudi 15 décembre 2005 - 22:14

8 titres - 35:21 min

  • 1/ Foul body autopsy
  • 2/ To breathe in a casket
  • 3/ Mutilate the stillborn
  • 4/ Intestinal incubation
  • 5/ Culinary hyperversity
  • 6/ Advanced corpse tumour
  • 7/ Extreme unction
  • 8/ Fermented offal discharge

informations

line up

Julien Laroche (basse), Slawek Foltyn (batterie), Mario Petrovic (guitare), Jochen Bittmann (basse), Muhammed Suicmez (guitare, chant)

chronique

avatarpokemonslaughter

  • death technique

Si vous pensiez avoir tout entendu niveau death metal technique, alors attendez vous à être plus que surpris avec ce "Onset of putrefaction" de Necrophagist. Sans pour autant révolutionner le genre, le death brutal bien gore, Necrophagist l'amène vers de nouveaux horizons en le complexifiant au maximum. Honnêtement, tous les musiciens sont ici des musiciens hors pair, maîtrisant parfaitement leurs instruments, mais sachant également composer des titres qui vous laissent sur le cul ! En tout cas, tout ceux qui ont été déçu par les Dying fetus (n'est ce pas mojo ? hehe) devraient jeter une oreille là-dessus : rythmiques folles, solos hallucinants, riffs excellents et novateurs tout en restant accrocheurs, ce disque est plus que surprenant. Écoutez "To breathe in a casket" et son riff vraiment original pour du death, afin de vous en convaincre ! Bien entendu, le son est hyper propre, mettant en valeur tous les instruments. Seuls quelques passages vraiment indigestes (car on ne comprend plus rien, tellement çà joue vite et bien !) et le chant, trop gras, viennent gâcher ce qui est certainement l'une des plus grosses surprises death metal de ces dernières années. Bravo à Velvet underground (qui malheureusement n'est plus...) pour m'avoir fait découvert ce talentueux Necrophagist !

note       Publiée le vendredi 31 mai 2002

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vargounet › Envoyez un message privé àvargounet

Découvert sur le tard car trop souvent eu vent de ce groupe comme de la pure branlette sonore alors qu'il n'en est rien. L'album est excellemment produit, œuvre d'ailleurs d'un invididu seul et touché quand même pas mal par le génie. Pour rapprocher le style je trouve que l'album déploie des ambiances conquérantes et martiales "to breathe in a casket" à la Here among thorns de Fleshtized qui est un petit chef d'œuvre également.

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dimegoat › Envoyez un message privé àdimegoat
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Je ne peux pas laisser ce commentaire approximatif de 2010 comme dernier mot à cette page. Les frissons, les tripes qui valsent comme à la fête foraine. Fermented Offal Discharge, le Tornado of Souls du death metal, crash-test de tous les guitaristes exhibitionnistes du tube. Un mec qui s'appelle Muhammad avec sa tête de Polonais et le t-shirt Cannibal Corpse bien rentré dans le pantalon, qui growle tout en débitant du riff en tranches fines comme le meilleur speck du paesino. Putain, c'est essentiel.

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Cockrellus Wumbus › Envoyez un message privé àCockrellus Wumbus

Pas mauvais, mais je trouve que certains riffs pourrait etre bien mieux a mon sens personelle.

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NevrOp4th › Envoyez un message privé àNevrOp4th

Je préfère Epitath qui joui d'une meilleur production et qui à une vrai vrai batterie aussi.

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Nevraxis › Envoyez un message privé àNevraxis

L'album d'un seul homme.
Album très froid très peu d'émotion ou de groove derrière.
Pas évident pour s'initier en effet.
Impressionnant tout de même, surtout pour l'époque.