Hermann Kopp › Under A Demon's Mask

Sehr geehrte Damen und Herren: Willkommen in der größten Karneval der Seelen!.. Nun ja, Seelen: Ihnen, meinetwegen, ich trage eine Maske. Ich bin das Unbekannte, der Entführer, die Andere. Meine Welt ist ein Karussell, und ihr seid mein Attraktionen. Ich werde dich verfolgen und stehlen. Unter meinen Illusionisten Fingern, verschwinden Sie. Ich spiele wie ein Kind. Das verwöhntes Kind. Ich habe noch andere Tricks, die ich auch auf Französisch reden kann, et quand je le fais ce sont mille moucherons qui frémissent le long de mes cordes et qui pénètrent et entaillent votre colonne vertébrale... Je produis -wie ich gehört habe- la musique de chambre que fait Leatherface en passant l'archet le long de sa tronçonneuse et en l'accompagnant d'une boîte à musique. Ecoutez-moi sur 'The Great Automaton', sentez cette délectable horreur vous parcourir et vous rouiller les mécanismes, comme laisser crisser tous ses ongles le long d'un tableau noir... Regardez-moi, je vous vois, je suis vos pas, j'ai pris les photos chez vous, je sais ou vous êtes, und ich weiß, wo Sie am Ende werde... Ich bin das Nekrophilien, der Dreck und unbekannte Geheimnis, das hinter der Maske des anonymen menschlichen und weltlichen lauert. Je suis n'importe qui et je m'impose à vous comme un miasme charbonneux dessinant des traits humanoïdes, polis et soignés. Et quand se referme le piège dans une dramaturgie toute gothique, l'Autre carnaval s'ouvre enfin, celui de Thomas Ligotti et Klimperei réunis autour d'un flacon de strychnine avec Edgar Allan Poe et Karl Runau. Mais ne t'éloigne pas trop de nous car je te sens et je te suis ; et tôt ou tard, mon violon sera ta perte.