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Nirvana (USA) › Nevermind
- 1991 • David geffen company (dgc) 1 EP 45 tours
cd • 12 titres
- 1Smells like teen spirit
- 2In bloom
- 3Come as you are
- 4Breed
- 5Lithium
- 6Polly
- 7Territorial pissings
- 8Drain you
- 9Lounge act
- 10Stay away
- 11On a plain
- 12Something in the way
informations
Début 1991, Sound City studios, Los Angeles
line up
Kurt Cobain (guitare et vocaux), Dave Grohl (David Eric Grohl) (percussions), Krist Novoselic (basse)
chronique
Las de la mauvaise distribution de leurs disques, c'est le 4 janvier 1991 que Nirvana signent pour David Geffen Company. Décision pourtant difficile, que de concilier une couverture correcte sans pour autant se détacher de leur éthique et philosophie punk. Par ailleurs, l'arrivée du solide David Eric Grohl derrière les fûts mettra enfin un terme à la valse des batteurs, véritable handicap du groupe depuis sa formation en 1987. Fier de toutes ces conditions, c'est durant la première moitié de 1991 que débute l'enregistrement du deuxième effort du groupe : Nevermind. Le 23 septembre de la même année, l'album est dans les bacs. Il divise les critiques. Bien que la majorité de la presse spécialisée l'accueille comme il se doit, certains réfractaires sont dubitatifs, ils n'entrevoient en aucun cas le sort auquel le disque sera réservé. Le son est plus propre, plus pop, les ballades sont plus nombreuses, bien qu'on y trouve des compositions plus agressives, comme "Stay away", ou notamment "Smells like teen spirit", futur hymne d'une génération désillusionnée. L'album connaît un succès imprévu et phénoménal, le grunge et la scène alternative sont projetés à la lumière du jour. Les médias, les distributeurs, bientôt les magasins de vêtements, voire les créateurs, amènent le mouvement sur les grandes allées et dans les vitrines, provoquant au final le juste contraire de l'attitude de départ. Car si avec ce Nevermind, le groupe de Seattle connaîtra son plus gros succès, il égorgera également dans son berceau son propre enfant : grunge is dead.
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commentaires
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- coronavirus › Envoyez un message privé àcoronavirus
L'écart entre Bleach et Nevermind est assez dingue. Ça commence par cette volonté d'être punk authentique avec un son bien crade ( Bleach) pour ensuite bifurquer sur une production plus clean (Nevermind) pour que ça passe mieux en radio, ce qui les à propulsés au final
Sinon j'aime bien cet album que j'écoute rarement après l'avoir poncé pendant des années. Nevermind est un album défouloir, simple et efficace. K Cobain était un très bon songwritter autodidacte aidé par un très grand batteur quoi qu'en dise ses haters .Il composait des riffs et des accords ultra catchy et originaux entre deux spliffs dans la piaule de son ex. Ses harmonies vocales sont excellentes et sonne toujours juste
Message édité le 29-03-2025 à 08:00 par coronavirus
- Note donnée au disque :
- SEN › Envoyez un message privé àSEN
Ce bourrage de crâne, j'ai aucune nostalgie pour ce disque perso ^^
- Note donnée au disque :
- Intheseblackdays › Envoyez un message privé àIntheseblackdays
Passé à côté des décennies durant pour pas mal de raisons: trop jeune à sa sortie, discussions musicales quasi inexistantes dans le contexte social où j’évoluais par la suite (la campagne profonde mosellane où les sujets de prédilections d’alors étaient la megadrive, la pratique de l’airsoft et les MBK booster). Par la suite, j’étais plus team smashing (ne me jugez pas) que nirvana parce que très/trop con de me mettre des barrières débiles. Tardivement, j’ai finalement pas mal écouté et apprécié Bleach et le unplugged mais celui-ci, rarement. Ce qui fait que les rares fois où je le sors, il a chez moi un rôle rafraîchissant alors que ça doit être tout l’inverse chez la majorité de la population haha. Parce qu’il est sacrément bien torché quand même. J’ai juste 30 ans de retard.
Message édité le 29-03-2025 à 09:48 par chris
- nicola › Envoyez un message privé ànicola
Le disque de Marillion, je parie.
- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
Mythique, cette VHS. J'en ai surtout retenu un mot qui s'est planté direct dans mon cervelet, prononcé par une L7 avec l'intonation übercool qui faisait mouche sans pitié : "...Fugazi".
- Note donnée au disque :