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Soundgarden › Badmotorfinger
- 1991 • A&M 395 974-2 • 1 CD
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Int | samedi 14 janvier 2023 - 20:34 | |
born to gulo | vendredi 9 décembre 2022 - 21:15 | |
inarkham | mercredi 1 avril 2020 - 17:04 | |
Fabb74 | samedi 10 mai 2014 - 22:48 | |
bloodyhours | dimanche 22 décembre 2013 - 00:16 | |
Bernard | mercredi 20 novembre 2013 - 13:23 | |
EyeLovya | lundi 23 avril 2012 - 18:19 | |
Seijitsu | jeudi 10 décembre 2009 - 17:35 | |
NevrOp4th | dimanche 16 août 2009 - 22:52 | |
Raven | jeudi 8 mai 2008 - 01:34 | |
nelmg | lundi 1 octobre 2007 - 10:00 | |
isangrin | jeudi 13 septembre 2007 - 15:43 | |
tom | jeudi 7 juin 2007 - 22:34 | |
Dun23 | jeudi 12 janvier 2006 - 01:54 | |
Saïmone | mardi 7 février 2023 - 13:39 | |
Ultimex | mercredi 22 juin 2022 - 09:39 | |
zugal21 | lundi 26 avril 2021 - 20:55 | |
Kissthecatconcept | lundi 26 avril 2021 - 15:56 | |
Klozer | lundi 30 novembre 2020 - 16:38 | |
AlXX | mercredi 13 mai 2015 - 09:13 | |
fc | samedi 1 septembre 2012 - 08:42 | |
hell | mercredi 18 mai 2011 - 21:05 | |
Mountain of Judgement | samedi 9 avril 2011 - 13:21 | |
Kronen | mardi 30 octobre 2007 - 19:58 | |
sergent_BUCK | lundi 9 juillet 2007 - 23:27 | |
Intheseblackdays | dimanche 1 juillet 2007 - 16:56 | |
juj | jeudi 7 juin 2007 - 22:32 | |
l'ermite du pays de Bray | mercredi 13 juillet 2005 - 13:03 | |
torquemada | mercredi 6 août 2003 - 19:41 | |
Progmonster | mardi 21 mai 2002 - 23:06 | |
Chris | mercredi 25 août 2021 - 22:10 | |
fdays | mardi 18 août 2009 - 20:46 | |
boumbastik | mardi 30 octobre 2007 - 08:47 | |
NAGAWIKA | mardi 2 mars 2004 - 17:09 | |
Athena_17 | lundi 1 octobre 2018 - 23:37 | |
Grandgousier | dimanche 19 avril 2009 - 13:20 |
cd • 12 titres • 57:11 min
- 1Rusty cage
- 2Outshined
- 3Slaves and bulldozers
- 4Jesus Christ pose
- 5Face Pollution
- 6Somewhere
- 7Searching with my good eye closed
- 8Room a thousand years wide
- 9Mind riot
- 10Drawning flies
- 11Holy Water
- 12New Damage
informations
Printemps 1991, Sudio D, Sausalito CA, Bear Creek Studios, Woodinville, WA, A&M Studios, Los Angeles CA.
line up
Matt Cameron (batterie), Chris Cornell (chant, guitare), Ben Shepherd (basse), Kim Tahyil (guitare)
Musiciens additionnels : Ernst Long (trompette), Damon Stewart (chant), Scott Granlund (saxophone)
chronique
"Badmotorfinger" est sans commune mesure un fameux bond en avant pour ce talentueux groupe de Seattle, encore relégué pour le moment au second rôle derrière les très médiatiques Nirvana et Pearl Jam. Leur fidèle producteur, Terry Date, les accompagne pour une dernière aventure commune où son travail, tout en nuance, met sur pied d'égalité les vrombissements d'une basse souple et profonde et des riffs de guitares aux son épuré à l'extrême. En ouverture, l'album nous propose tout simplement un assortiment impressionnant de titres puissants, peut-être pas forcément dans la forme, mais qui font preuve d'une grande maturité ; "Rusty Cage" et son tempo speed qui ralentit la cadence en bout de course pour plus d'effet, le clair obscur "Outshined", le souterrain "Slaves & Bulldozers" qui se traîne avec un poids et une gravité qui respirent le drame et la fatalité, "Jesus Christ Pose", ensuite, sans conteste le gros morceau de l'album, empli de crispations aussi détestables qu'envoûtantes, avant que ne survienne le récréatif "Face Pollution" qui, en définitive, est tout sauf une partie de plaisir avec sa structure rythmique volontairement alambiquée. Un départ en trombe donc que viennent temporiser "Somewhere" et "Searching with My Good Eye Closed" et qui redémarre avec le très cinématique "Room a Thousand Years Wide". "Mind Riot" vient démontrer que, même dans des moments d'apparente accalmie, Soundgarden reste toujours aussi consistant. Un nouveau défouloir, "Drawing Flies", dans la veine de "Face Pollution", annonce tout comme lui une nouvelle petite baisse de régime sans conséquences irréversibles avec "Holy Water" et un néanmoins prenant "New Damage" qui aurait eu tout à gagner à se trouver un peu plus tôt dans l'album. Le passage en revue et au détail des titres de "Badmotorfinger" ne vous aura peut-être pas nécessairement aidé à vous faire une idée précise de l'album. Pour moi, à l'époque, c'était comme si je venais d'assister à l'éclosion du Led Zeppelin des années quatre-vingt dix. Ni plus ni moins.
note Publiée le samedi 2 août 2003
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notes
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commentaires
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- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
J'avais bien dit, qu'il manquait un modo...
- Note donnée au disque :
- saïmone › Envoyez un message privé àsaïmone
Pour toujours et à jamais, "Drawning flies" se met entre moi et le 6/6. Ce morceau me persécute, on le dirait sorti de Wayne's World
- Note donnée au disque :
- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
Cette seconde moitié de feu et rigoureusement sans faute ; bon d'accord, la première... Y a "Face Pollution", quoi ; et "Slaves & Bulldozer" ; rien de moins que très très bon, mais ces deux-là, au contraire de toutes les autres, ne passent pas aussi bien tous les jours à n'importe quelle heure et toutes affaires cessantes.
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- born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo
Il est plein de morceaux super, Superunknown et tout ; mais...
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- Raven › Envoyez un message privé àRaven
Tiens puisqu'on cause indigestion/fatigue sur la fin (alors qu'une "Black Rain" en plus m'aurait pas dérangé perso), parce que c'est vrai que ça pèse... "New Damage"... pffffff.... NEW FUCKIN' DAMAGE bordel, heavy, HEAVY ! Quel disque, bon sang, quel disque de folie... Monstrueusement hard et hydresque, comme l'est son cousin Facelift. Et tout aussi noir à sa façon, noir cambouis. Aussi malade, vicié. "Room a Thousand Years Wide" m'en soit témoin... MONSTRUEUX.
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