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Dead Can Dance › Into the labyrinth

  • 1993 • 4AD CD

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Storm      samedi 19 novembre 2022 - 15:00
taliesin      lundi 30 août 2021 - 08:08
Nekyia      vendredi 23 avril 2021 - 04:26
Jeff 242      vendredi 27 novembre 2020 - 19:28
SEN      jeudi 7 juillet 2016 - 19:54
Alfred le Pingouin      vendredi 11 avril 2014 - 15:20
Rodrigayz      dimanche 20 octobre 2013 - 17:44
novy_9      mercredi 19 décembre 2012 - 10:49
Gucguck      samedi 30 juillet 2011 - 02:19
Raven      mardi 12 août 2008 - 20:57
vampirenu      dimanche 25 septembre 2005 - 23:21
lolita999      mercredi 14 janvier 2004 - 20:36
Marco      lundi 24 mai 2021 - 21:05
adrenochrome      samedi 1 mai 2021 - 16:15
Klozer      mardi 1 décembre 2020 - 16:16
born to gulo      mercredi 31 octobre 2018 - 20:44
Seijitsu      mardi 15 novembre 2016 - 09:32
Canicheslayer      jeudi 22 avril 2010 - 16:28
viandes      mercredi 10 février 2010 - 22:40
empreznor      dimanche 29 mars 2009 - 17:39
zugal21      lundi 8 octobre 2007 - 22:03
Kiss of Nephtys      jeudi 29 mars 2007 - 15:19
Aiwass      mercredi 6 septembre 2006 - 03:20
tradeforall      lundi 31 octobre 2005 - 13:25
mroctobre      jeudi 9 juin 2005 - 13:23
Arwenn      dimanche 20 février 2005 - 12:34
torquemada      dimanche 22 février 2004 - 20:56
Wolf666      mardi 29 octobre 2002 - 19:34
Dead26      samedi 9 juillet 2016 - 13:57
Shelleyan      dimanche 6 mars 2016 - 14:43
le.cardinal      dimanche 1 novembre 2009 - 10:11
Moonloop      vendredi 6 février 2009 - 14:03
devin      mardi 1 novembre 2005 - 10:39
Deadinside      mardi 19 juillet 2005 - 21:50
Nerval      dimanche 6 février 2005 - 16:03
COLDSTAR      samedi 24 janvier 2009 - 23:44
Møjo      vendredi 21 décembre 2007 - 02:34
Demonaz Vikernes      vendredi 11 mars 2022 - 08:49

cd • 11 titres

  • 1Yulunga (spirit dance)
  • 2The ubiquitous mr lovegrove
  • 3The wind that shakes the barley
  • 4The carnival is over
  • 5Ariadne
  • 6Saldek
  • 7Toward the within
  • 8Tell me about the forest (you once called home)
  • 9The spider’s stratagem
  • 10Emmeleia
  • 11How fortunate the man with none

extraits vidéo

informations

Enregistré et produit par Brendan Perry à la Quivvy Church.

line up

Lisa Gerrard, Brendan Perry, (tous intruments et voix)

chronique

Les deux acolytes se retrouvent, après trois ans d’absence et une compilation (A passage in time). Ils se retrouvent comme jamais, car entièrement en duo. L’album est logiquement un peu bicéphale, et souvent sombre. Des pièces acoustiques et profondes, très éthniques (Yulunga, déjà superbe mais qui sera transcendée par son expression live dans l’album «Toward the within» , Saldek, Toward the within…) et ces fameuses pièces typiquement britanniques ( The Carnival…, Tell me…, How fortunate…), chantées par Brendan Perry, sur les traces des «Xavier», «Severance», ou «Fortune’s present… ». Ces dernières sont des pièces d’acoustique souvent classique, cuivres et violons, toujours rythmiquement tenues, par un esprit militaire, Cor régulier, pizzicati, ou purement romantique à la guitare et nappe soyeuse, avant de prendre le chemin direct des cadences sérielles et mélodiques de Phillip Glass (The Carnival…). «Tell me about the forest» et sa mélodie symphonique se permet le cor basse allié au clavecin, le tout balayé de violons entraînants. Et puis il y a les entre deux. L’extraordinaire complainte celte a cappella «The wind that shakes the barley» ou Lisa Gerrard suffit à elle-même, dans un moment de grâce nostalgique exceptionnel. Le merveilleusement lumineux «Ariadne» qui n’est pas sans évoquer, et transcender, les envolées irlandaises new-age de l’inégale Enya. L’indiano-britannique et quelque peu synthétique «Ubiquitous… » ou la gravité mélodique s’articule sur les lenteurs souples des sitars est assez réussi. Reste à écouter à la suite «Spider’s stratagem», électro-mongole, et «Emmeleia» alliance a cappella d’un homme et d’une femme qui chante une nostalgie douce et méditative qui tient autant de l’europe que de l’asie, pour mesurer à nouveau l’ampleur vocale de Lisa Gerrard. Ce n’est certes pas leur album le plus intense, après le médiéval et acoustique «Aion», et d’autres voies, le duo n’a pas eu peur de l’europe contemporaine et électronique. 4/6, dans la logique de cette carrière, serait la note appropriée. Mais ce disque reste un disque d’excellente musique et je me fais une joie de saluer comme il se doit le travail d’un groupe d’exception.

note       Publiée le dimanche 12 mai 2002

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Note moyenne        38 votes

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Alfred le Pingouin Envoyez un message privé àAlfred le Pingouin

Vraiment leur dernier chef d'oeuvre. Comment ne pas fondre en écoutant How Fortunate the Man with none ?

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Demonaz Vikernes Envoyez un message privé àDemonaz Vikernes

Je pourrais presque reprendre mon commentaire d'Aion pour celui-ci, mais avec tout un cran en dessous. Toujours des morcaux très courts façon jingle, mais ici plus assez marquants pour que je sois frustré qu'ils ne se prolongent pas. Toujours une exécution très belle, mais un peu moins quand même. Et toujours une pièce superbe qui relève l'ensemble, même si How Fortunate n'atteint pas non plus les sommets d'un Black Sun (sans parler d'autres pièces plus vieilles). Celui-ci je m'en sépare sans regrets.

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bubble Envoyez un message privé àbubble

Franchement à la première écoute je ne peux pas dire que Dionysus m’habite...

born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo

(Mais les gens sont trop durs ; en général)

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born to gulo Envoyez un message privé àborn to gulo

Ah, du coup c'est pour du bon ? Aziz s'est vraiment marié ? Tain c'est con j'étais pas libre, mais chaque fois que j'ai été à une fête chez des collègues marocains on s'est toujours régalés !

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