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Anal Cunt › Morbid florist

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Membre Note Date
cyprine      mardi 8 janvier 2013 - 16:47
mroctobre      mercredi 20 juillet 2011 - 11:32
blub      jeudi 26 mai 2016 - 02:25
Rastignac      vendredi 14 novembre 2014 - 07:05
Tago Pago      samedi 9 avril 2011 - 01:04
sourdicus      lundi 28 mars 2011 - 02:06
Dead26      lundi 28 mars 2011 - 13:07
E. Jumbo      lundi 13 juin 2011 - 01:05
vargounet      dimanche 25 décembre 2011 - 02:31
Eas      mardi 10 mai 2011 - 19:12
Yog Sothoth      jeudi 31 mars 2011 - 16:53
le_grisha      lundi 28 mars 2011 - 01:55

cd • 15 titres • 17:34 min

  • 1Some Songs1:06
  • 2Song #54:32
  • 3Chump Change0:38
  • 4Slow Song From Split 7"1:20
  • 5Unbelievable0:46
  • 6Siege0:28
  • 7Grateful Dead1:27
  • 8I Don't Wanna Dance0:25
  • 9Even More Songs0:32
  • 10Radio Hit1:11
  • 11Some More Songs0:59
  • 12Morrisey0:22
  • 13Song #62:36
  • 14Guy Lombardo0:38
  • 15Bonus song

informations

line up

Seth Putnam (Chant), Tim Morse (Batterie), John Kozik (Guitares)

chronique

Anal cunt ou l'art de toujours (re)pousser le bouchon un peu plus loin. Et de toute évidence, ça a dû commencer à les travailler assez tôt puisque dès ses premiers enregistrements, dont l'EP à la fascinante pochette présenté ici, le groupe semble plus enclin à laminer le cerveau de l'auditeur qu'à proposer quelque chose d'un tant soit peu structuré ou même simplement intelligible. Non, ici, on navigue en plein chaos sonore duquel émergent par instant quelques riffs assimilables à du Grind ou à du Sludge, et les hurlements complètements hystériques de Seth Putnam, qui défoncent littéralement tout ce qui peut se faire en terme de cris inhumains. Une sorte d'OVNI pas vraiment musical donc, dont la plupart des titres, souvent enchaînés sur une même piste (« Some songs », « Some more songs »), dépassent à peine la trentaine de secondes, et révèlent déjà l'orientation du groupe vers quelque chose de plus (relativement) humoristique et provocateur, quand bien même certains y verront surtout un amalgame profondément débile, sans qu'on ne puisse vraiment leur donner tort quand Putnam se met à entonner le refrain de l'horripilant tube électro 80's « Unbelievable » au milieu de deux morceaux Noisecore inaudibles, ou à éructer « I... dont... wanna... dance ». Régressif, irritant et définitivement indéfendable, on tient donc ici une des formes les plus jusqu'au boutistes d'extrémisme musical couplée à une éthique Punk poussée dans ses derniers retranchements... ou alors à une déjection musicale éructée par un trio de junkies notoires... c'est vous qui voyez, l'empilage de boules jaunes en dessous étant cette fois-ci totalement anecdotique.

note       Publiée le lundi 28 mars 2011

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    Dioneo Envoyez un message privé àDioneo  Dioneo est en ligne !
    avatar

    Eh non Jammy ! Puisque comme le notait en s'interrogeant mangetout, jadis, il semble bien qu'il s'agisse de Pete Shelley ("is g..." ah ben oui du coup, tiens...), sur la pochette de son single post-buzzcocks, Homosapien. (Ah ben... Bis).

    Çuici :

    nicola Envoyez un message privé ànicola  nicola est en ligne !

    Avec Alain Chabat sur la pochette !

    Dead26 Envoyez un message privé àDead26

    A.C.I.D . . . R.I.P

    Note donnée au disque :       
    ericbaisons Envoyez un message privé àericbaisons

    Pour l'enterrement faudra trancher entre faire plaisir à Seth ou à sa famille

    Wotzenknecht Envoyez un message privé àWotzenknecht
    avatar

    "I want to remind everyone that no matter how outrageous and controversial his musical career has been, Seth was still a human being with friends and family that loved him. I'm hoping that the Internet will remember that. This is a very sad and trying time for those that knew him, and the last thing they need to see is an outpouring of message board hate. The man lived and died by his own rules; if anything, respect him for that." Amen