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Dimmu Borgir › Abrahadabra

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decade of destruction      mercredi 10 novembre 2010 - 16:12
FAUCON-NOIR      mercredi 6 octobre 2010 - 14:51
taliesin      vendredi 2 décembre 2016 - 09:57
romano666      dimanche 29 septembre 2013 - 19:53
enslaver_666      jeudi 28 avril 2011 - 19:49
Darkstar Seven      lundi 4 octobre 2010 - 19:57
DrMuller      lundi 4 octobre 2010 - 16:39
Ghoul Master      mercredi 24 janvier 2024 - 12:52
BIBOUN      jeudi 31 mars 2011 - 16:11
torquemada      lundi 4 octobre 2010 - 22:42
stickgrozeil      vendredi 15 octobre 2021 - 12:39
Dead26      mardi 29 novembre 2016 - 22:24
B.      vendredi 30 novembre 2012 - 15:50
bloodyhours      jeudi 2 février 2012 - 17:31
Seijitsu      vendredi 23 septembre 2011 - 16:11
Alptraum      vendredi 9 septembre 2011 - 14:17
E. Jumbo      jeudi 21 octobre 2010 - 16:30
Alliage      jeudi 21 octobre 2010 - 07:18
Nokturnus      lundi 4 octobre 2010 - 14:33
sourdicus      dimanche 3 octobre 2010 - 12:40
Saïmone      vendredi 28 avril 2017 - 13:28
vargounet      lundi 26 décembre 2011 - 14:51
Raven      mardi 5 octobre 2010 - 00:31
Coltranophile      lundi 4 octobre 2010 - 11:18
Nerval      lundi 4 octobre 2010 - 08:49
born to gulo      lundi 4 octobre 2010 - 08:24
heirophant      dimanche 3 octobre 2010 - 22:25
p2h      dimanche 3 octobre 2010 - 22:01
Noohmsul      dimanche 3 octobre 2010 - 13:20
Eas      dimanche 3 octobre 2010 - 12:31

cd • 10 titres • 48:56 min

  • 1Xibir2:50
  • 2Born treacherous5:02
  • 3Gateways5:10
  • 4Chess with the abyss4:08
  • 5Dimmu borgir5:35
  • 6Ritualist5:13
  • 7The demiurge molecule5:29
  • 8A jewel traced through coal5:16
  • 9Renewal4:11
  • 10Endings and continuations5:58

informations

Il existe une version collector avec un livret et des bonus.

line up

Galder (guitare), Shagrath (chant), Silenoz (Erkekjetter Silenoz) (guitare, chant)

Musiciens additionnels : Geir Bratland (claviers), Daray (batterie – Daray aurait depuis été intégré au groupe), Kristoffer Rygg ([Garm] chant clair), Snowy Shaw (basse et chant clair – contrairement aux rumeurs il n’est pas membre du groupe à ce jour), Agnete Kjølsrud (chant féminin), le Norwegian Radio Orchestra (orchestrations), le chœur du Schola Cantorum (chœurs).

chronique

  • metal extrême symphonique

"In sorte diaboli" avait causé quelques frayeurs aux fans du groupe, le côté symphonique de leur musique semblant l’emporter sur le reste, et beaucoup s’imaginaient Dimmu Borgir devenir un nouveau Rhapsody ou – pire - un second Dragonforce. Il est vrai que "In sorte…" était trop léché, trop policé, trop calibré pour vendre du cd à la tonne, et beaucoup trop pompeux (appelons un chat un chat). Beaucoup jugeaient le groupe mort et même moi qui me veut tolérant en cas d’évolution musicale des groupes je ne donnais pas cher de Shagrath et ses acolytes, plus encore après le départ de Isc Vortex et Mustis. Heureusement, comme je l’écrivais dans ma chronique du "Godspeed on the devil’s thunder" de Cradle Of Filth, il est des groupes qui comprennent leur erreurs et savent revenir dessus. Ô joie, c’est le cas de Dimmu Borgir ! "Abrahadabra" commence par une intro que n’aurait pas renié Danny Elfman tant elle fait penser à la BO de "Sleepy hollow". Puis, assez rapidement, on est saisi par le juste équilibre que Dimmu Borgir a su trouver. Un parfait équilibre entre un metal extrême de bon ton et des orchestrations savamment trouvées mais qui ne sont jamais pompeuses et/ou exagérées. Le recours à un véritable orchestre symphonique y a peut-être été pour quelque chose. Cet équilibre s’entend dès "born treacherous" avec sa lente montée en puissance et son pont dans lequel on croirait entendre un chœur de moines bouddhistes. Il s’entend aussi sur "gateways", le single de l’album, qui introduit, pour la première fois dans la musique de Dimmu Borgir, le chant féminin. Ils ont pour cela recruté la chanteuse du groupe Djerv. On pourrait aussi citer la chanson "dimmu borgir" (NDLA : enfin une chanson éponyme du groupe, au bout du 8e album, il était temps…), plus accessible mais un poil pompeuse même si elle est assez accrocheuse avec ses chœurs récurrents et très prenants. Petite ombre au tableau : le morceau "the demiurge molecule" sur lequel les riffs des guitares sont pour le moins très travaillés mais dans lequel les orchestrations (pourtant originales, avec des cuivres) sonnent un peu comme dans un péplum. En écoutant ce morceau on s’attend à voir débarquer à tout moment dans le salon Cléopâtre, reine d’Egypte, avec toute sa suite, Marc-Antoine en tête ! Mine de rien, l’ombre de "In sorte diaboli" plane tout de même sur cet opus même s’il a su tout de même s’en détacher et le dernier titre porte très bien son nom quelque part :"Endings and continuations". Somme toute, "Abrahadabra" est le chaînon manquant entre "Puritanical enphoric misanthropia" et "Death cult armageddon" et il s’écoute d’une traite avec grand plaisir. Finalement je ne peux m’empêcher de faire un parallèle avec Iron Maiden que beaucoup disaient mort mais qui a su récemment faire un album plus que correct. Iron Maiden qui avait également tant déconcerté avec "Seventh son of a seventh son". Espérons que Shagrath et sa bande ne s’arrêterons pas là… 5,5 sur 6 seulement pour les petites scories et l’ombre de "In sorte…" mais 5,5 sur 6 tout de même.

note       Publiée le dimanche 3 octobre 2010

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Note moyenne        30 votes

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stickgrozeil Envoyez un message privé àstickgrozeil

Hormis le titre sauvé par la chanteuse de Djerv, tout est à jeter sur ce disque. C'est racoleur, mou comme un caramel breton, le groupe a changé ses accoutrements pour encore plus de ridicule, bref le navire prend l'eau de toute part.

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saïmone Envoyez un message privé àsaïmone
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Testé, pour voir.

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taliesin Envoyez un message privé àtaliesin

En général, le metal symphonique me gave très rapidement... Mais ici, ça passe vraiment très bien !

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romano666 Envoyez un message privé àromano666

Je vois beaucoup de critiques négatives sur cet album. Pour l'avoir écouté des dizaines de fois ces deux dernières années et donc avec un certain recul je dois reconnaître qu'il est excellent. Rien n'égalera PEM ou SBD mais il est au moins aussi bon que DCA à mon sens ;)

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Alptraum Envoyez un message privé àAlptraum

Comme je regrette les premiers ablums qui m'avaient fait découvrir le BM… Stormblast, un album qui dégageait vraiment quelque chose, d'à la fois triste, nostalgique. C'était du black métal "calme". Et le norvégien en rajoutait une touche. A des années lumières de cette espèce de mixture infâme à 0 calories. Dimmu Borgir, c'était mieux avant !

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