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Enregistré en live le 6 avril 2002 au Teatro delle Celebrazioni à Bologne, Italie.
John Balance, Peter Christopherson, Cliff Stapleton, Mike York, Ossian Brown
Musiciens additionnels : Douglas Pearce, Massimo
L'ouverture filerait un malaise à tout orthophoniste qui se respecte : John se lance dans des grognements graves et rauques, sorte d'invocation animiste accompagné de boucles organiques qui ne sont pas sans rappeler Nocturnal Emissions. Puis surgit la lumière stellaire d'un 'Amethyst Deceivers' nouveau, avant un retour en arrière avec 'Slur'. 'A Cold Cell', un grand classique de Coil, apparaît ici dans toute sa beauté et même si ce n'est pas mon titre favori, il reste impressionnant de pureté. Entre chaque titre, John poursuit ses récitations et ses déclarations ; discute avec le public ou lui dévoile des axiomes poétiques que lui seul semble pouvoir appréhender. Arrive le superbe doublé de moon musick ; à savoir le nyctalope 'Broccoli' et l'intense ballade schizophrénique 'Paranoid Inlay' ("Serenity is a problem / When you've been so close to heaven"...) ; suivi d'un étrange et oriental 'Sick Mirrors' dont les luminescences et les percussions n'ont de cesse de fasciner. Le technoïde A.Y.O.R. se voit ici déchiqueté en une espèce de possession animale et barbare et s'enchaîne sans répit sur l'extraordinaire 'Backwards', sorte de point final de tous les voyages spirituels revenant à leur point de départ, telle que la mystique druidique les décrivaient – Quel que soit le chemin parcouru, on revient à la source ; fût-elle à l'envers... ou inversée ? The world turned upside down... Tout remue dans ma tête, sols et plafonds indissociables. Où s'arrête la mer, où commence le ciel ? John, qu'as-tu donc fait de la réalitêtilaèr al ed tiaf cnod ut-sa'uq ,nohJ ¿
note Publiée le lundi 9 août 2010
Note moyenne 4 votes
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hahah, non, c'était bien une remarque crassement beauf.
Coilface Killah ?
(Tu veux dire ?)
c'est le pyjama de Tony Stark non ?
Le pijama de John est parti pour 22 000 dollars...
C'est tellement pas choquant par rapport à certains tas de gouache qui valent des dizaines de millions.