Vous êtes ici › Les groupes / artistesBBiohazard › State of the world address

Biohazard › State of the world address

détail des votes

Membre Note Date
Shades.of.god.l.icon      jeudi 19 mars 2009 - 14:16
ligwane      vendredi 4 août 2006 - 14:36
Actéon      mardi 11 février 2003 - 17:07
Pat Bateman      mardi 22 octobre 2013 - 23:55
DrMuller      jeudi 12 avril 2007 - 09:23
Scap      mercredi 9 août 2006 - 19:04
veeckman      dimanche 9 avril 2006 - 13:25
verdelet      jeudi 29 décembre 2005 - 17:33
NevrOp4th      mardi 27 juillet 2004 - 16:21
Deadinside      lundi 22 septembre 2003 - 13:37
Nicko      lundi 1 juillet 2002 - 17:29
Fabb74      jeudi 21 novembre 2019 - 10:15
bloodyhours      dimanche 19 janvier 2014 - 21:00
julius_manes      vendredi 5 août 2011 - 11:46
Pokemonslaughter       - :
Vincent       - :
Dun23      mercredi 19 août 2009 - 12:31
Ghoul Master      jeudi 26 septembre 2002 - 14:58
born to gulo      mardi 7 décembre 2010 - 21:28

cd • 14 titres • 57:30 min

  • 1State of the world address
  • 2Down for life
  • 3What makes us thick
  • 4Tales from the hard side
  • 5How it is
  • 6Remember
  • 7Five blocks to the subway
  • 8Each day
  • 9Failed territory
  • 10Lack there of
  • 11Pride
  • 12Human animal
  • 13Cornered
  • 14Love denied

informations

A&M Studios, Hollywood, USA.

line up

Evan Seinfeld (chant, basse), Billy Graziadei (chant, guitares), Bobby Hambel (guitares), Danny Schuler (batterie)

chronique

Deux ans après l'immense succès que fut "Urban discipline", Biohazard décide de remettre le couvert avec ce "State of the world address". Faisons rapide, nous avons ici affaire à un "Urban discipline 2" absolument excellent une nouvelle fois ! Les rythmes hip/hop sont toujours présents, de même pour la dualité des vocaux et la facilité qu'ont les titres à vous faire "jumper" partout ! La principale différence avec UD provient de la complexité des titres, qui deviennent beaucoup plus techniques ainsi que la présence d'invités (Cypress Hill, etc..). Sinon, tout y est encore excellent, regorgeant de hits meurtriers : "What makes us thick", "Remember", "Five blocks to the subway", "Each day", "Human animal", ou le magistral "Love denied" (assurément mon titre préféré de Biohazard tous albums confondus !). L'ensemble sonne toujours aussi aéré et déliquescent, pour notre plus grand plaisir. Les guitares sont plus en avant et agressive, rapprochant certains passages du thrash, de même que les solos, toujours aussi efficaces (ah cette intro sur "Love denied"). Le concept textuel est toujours le même, la ville et ses problèmes impliquant notamment les enfants (comme le montre l'excellente pochette). Bref, une nouvelle fois une valeur sûre car ce "State of the world address" a su se démarquer de son prédécesseur tout en en conservant le meilleur. Biohazard signe là une nouvelle fois un excellent album.

note       Publiée le samedi 13 avril 2002

dernières écoutes

Connectez-vous pour signaler que vous écoutez "State of the world address" en ce moment.

tags

Connectez-vous pour ajouter un tag sur "State of the world address".

notes

Note moyenne        19 votes

Connectez-vous ajouter une note sur "State of the world address".

commentaires

Connectez-vous pour ajouter un commentaire sur "State of the world address".

Dioneo Envoyez un message privé àDioneo
avatar

Tiens, un disque que j'ai beaucoup aimé puis presque détesté un moment pour son côté "tavu comme on est des tough-guys" permanent, qui avait fini par franchement me fatiguer... Je me le remets, là, et c'est plus varié, riche, que je me souvenais. Je me rappelais bien la lourdeur de la prod mais pas trop les accélération D-beat/thrashos ni les passages de groove élastobéton. Finalement y'a des moments où on n'est pas loin du Suicidal Tendencies versant How Will I Laugh.. - mais avec donc un son bien plus mastoc - bien "nineties" aussi, autant que celui du sus-cité était indubitablement "eighties". Bon, les passages "simili-rapés" sont pas ce qui a le mieux vieilli là-dedans - même si ça fait un effet "voyage dans le temps de la B.O. de The Crow" pas désagréable quand on était ado à l'époque, mais sinon ça se tient mieux que dans mon souvenir, et surtout donc c'est bien moins monobloc malgré la "massivité", je le répète, de la chose. (L'usage des effets, les traitements de guitare, entre autres, sont assez cool, plus finauds qu'il peut paraître à première écoute). Du coup le côté "tough" évoqué plus haut me broute presque pas - ça reste un poil too-much mais on va dire que c'est un pré-requis du genre, allez.

Message édité le 19-01-2022 à 10:00 par dioneo

Pat Bateman Envoyez un message privé àPat Bateman

Réécoute en ce moment. Très largement au-dessus des autres albums de Bio' que je connais (le 1er très approximatif, Urban qui est bon mais avec une prod qui le dessert (un éclair au café) et le suivant qui est trop direct et ponke à mon goût). Contrairement à Juju, je ne trouve pas que cet album vieillisse outre mesure, album cohérent et inspiré dont les titres s'enchainent parfaitement et qui viennent former une ossature de béton armé aussi solide qu'un immeuble de New York (ahem).

Note donnée au disque :       
julius_manes Envoyez un message privé àjulius_manes

Guts, la machine à remonter le temps : tel un Marty dans sa Doloréane (mais sans le doc, hé hé), 15 ans que j'avais pas écouté cet album... Bon, pas sûr que l'état du monde se soit arrangé depuis lors, mais on s'en tape : ça reste bon, notamment grâce à une guitare bien grasse et quelques morceaux bien groovies, même si ça a un peu vieillit : 4,5/6

Note donnée au disque :       
Dun23 Envoyez un message privé àDun23

Peut être, je le connais pas. Le State, je pensais déjà ça à l'époque puisque je l'ai acheté en 94 ou 95. C'est un disque qui prend la poussière chez moi, en gros, que je sors de temps en temps histoire de voir si j'ai changé d'avis et que je range aussitôt l'écoute finie en me disant que décidément, il me parle pas.

Note donnée au disque :       
Lord Tom Envoyez un message privé àLord Tom

Mata leão a mieux viellit