Huuuuuuummmmm (la recherche d’inspiration)….. mouais….. Alors si vous voulez, jusque là, la rencontre entre le Black Metal et le Funeral Doom, ça s’était plutôt soldé par des mecs maquillés qui jouaient de l’ambient avec des guitares qu’on appelait Black Funeral Doom (guitares + rythmes lents = Doom, ok), et parfois même, c’était sympa. Bah, avec Sektarism (qui fait partie d’une espèce d’Inner circle local avec Darvulia et Malhkebre, comme ça vous saurez que c’est pas des marrants, les gars), on part sur le même mélange sauf que cette fois, c’est du pur Funeral Doom auquel viennent se greffer tous les automatismes du Black version "Lui, le Seul, le Vrai, Satan". Alors après, ça fait toujours un peu chier de casser un groupe à fond dans son truc, mais déjà, ça démarre pas énorme avec un riff à la Worship du pauvre, leeeentttt et dééééchaarrrrnnéééééé (et c’est là qu’on se rend compte que c’est pas facile) absolument pas rattrapé par un son clair, mais bien roots genre "local de répet’, 1 micro, pas d’effet", sur lequel viennent tout d’abord se poser des growls bien génériques... jusque là, ça passe, en se forçant un peu on visualise presque le délire mystique du gars, sans plus, quoi… (ça se traine, ça se traine)… et soudain arrive le drame, le chant du blackdoomster en plein delirium tremens (à la Meyhna'ch, un peu), hyper crispé, qui vous éructe LA litanie, en français, en plus, "offre ton ââââââmmmmme, reeeeniiiie la lumière…Le tourment, la mort !!"… malsain, si on veut, et surtout pénible… (et ça se re-traine encore et encore, et ça se termine)… huuuuuuuuum… en fait je voulais juste en arriver au fait que, dans ces styles, on aura beau avoir le fond, quand y’a pas la forme, ça fait chier, quoi.