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Impaled Northern Moonforest › Impaled Northern Moonforest

1997 • Menace to Sobriety Records - • 1 LP 33 tours

vinyl • 13 titres • 10:00 min

1Grim And Frostbitten Moongoats Of The North
2Forlorned Invocations Of Blasphemous Congregations Of Lusting Goat Sodomizing Sathanis
3Gazing At The Blasphemous Moon While Perched Atop A Very Very Very Very Very Very Very Forsaken Crest Of The Northern Mountain
4Bloodlustfully Praising Satan's Unholy Almightyness In The Woods At Midnight
5Nocturnal Cauldrons Aflame Amidst The Northern Hellwitch's Perpetual Blasphemy
6Transfixing The Forbidden Blasphemous Incantation Of The Conjuring Wintergoat
7Masturbating On The Unholy Inverted Tracks Of THe Grim And Frosbitten Necrobobsledders
8Awaiting The Blasphemous Abomination Of The Necroyeti While Sailing On The Northernmost Fjord Of Xzfgiiimtsath
9Lustfully Worshipping The Inverted Moongoat While Skiing Down The Inverted Necromountain Of Necrodeathmortum
10Awaiting The Frozen Blasphemy Of The Necroyeti's Lusting Necrobation Upon The Altar Of Voxrfszzzisnzf
11Summoning The Unholy Frozen Winterdemons To the Grimmest And Most Frostbitten Inverted Forest Of Abazagorath
12Entranced By The Northern Impaled Necrowizard's Blasphemous Incantation Amidst The Agonizing Abomination Of THe Lusting Necrocorpse
13Grim And Frostbitten Gay Bar

informations

Vinyle 7", 200 exemplaires. En téléchargement libre sur leur site officiel : http://www.inm.acousticblackmetal.org/

line up

Seth Putnam, Josh Martin

chronique

Wotzenknecht

grim & frostbitten

Il y a le black metal, et il y a le true black. Le vrai, le plus evil, grim & frostbitten qui soit. Oubliez ces amateurs de Darkthrone et autres Funeral Mist. Accouché dans la douleur par le déjà terrifiant Seth Putnam, voici Impaled Northern Moonforest et son orgie inversée de blasphèmes nécromaléfiques. Après l'imbécillité gratuite d'Anal Cunt, voici venu l'heure de s'attaquer à la scène true black avec son projet le plus dur (quoique le 'Picnic of Love', ballades d'amour chantées en voix de fausset, valait son pesant de cacahuètes). Armés d'une guitare acoustique, de coussins en guise de batterie et de cuisses en guise de double pédale, Seth et son compère envoient du bois sur dix minutes d'hystérie satanique absolue, entre le bruit du vent fait avec la bouche, les synthés black sympho revus à la sauce Fischer Price, les invocations d'ours gay et de nécroyétis. Et si cela ne vous a pas suffisamment glacé d'effroi, serez-vous capables de survivre à leur nouveau titre, “Return of the Necrowizard” et son clip pétrifiant d'abomination inversée ? Allez, une demi-boule parce que c'est de la merde, et une autre parce que c'est génial.

note Publiée le mardi 21 avril 2009