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Djam Karet › Suspension & displacement

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Raven      samedi 13 août 2016 - 06:45
kama      mercredi 7 avril 2010 - 11:51
20sangs      mardi 10 avril 2007 - 21:22
Progmonster      jeudi 16 mai 2002 - 10:57

9 titres - 70:33 min

  • 1/ Dark clouds, no rain (10:52)
  • 2/ 8:15 No safe place (4:42)
  • 3/ Angels without wings (4:59)
  • 4/ Consider figure three (7:47)
  • 5/ Erosion (12:56)
  • 6/ Severed moon (6:27)
  • 7/ The naked & the dead (5:20)
  • 8/ Gordon's basement (3:26)
  • 9/ A city with two tales: part one revisited 1990 (13:24)

informations

Underground Railroad Studios, USA, juillet 1990 - avril 1991

line up

Gayle Ellett (guitares, guitare synth, effets, claviers, percussions), Mike Henderson (guitares, effets, claviers, percussions), Chuck Oken, Jr. (batterie, percussion électronique, claviers, programmation, séquenceur), Henry Osborne (basse, claviers, effets, percussions)

chronique

Comme pour valider la pérénité de ce projet atypique dans la carrière du groupe, trône dans le livret du cd une sentence qui met très vite les pendules à l'heure : "L'un n'existe pas sans l'autre". Le résultat de leurs session de 1991 ont donné deux disques schizophréniques aux personnalités bien distinctes. Si "Burning the Hard City" se voulait leur pendant le plus agressif, "Suspension & Displacement" incarne résolumment leur aspect le plus evanescent. Un résultat qui a de quoi laisser pantois tout ceux qui attendaient de Djam Karet la dose d'adrénaline, souvent gratuite, à laquelle le groupe nous avait habitué. Sans être aussi expérimental qu'un Nurse with Wound ou aussi enclin à dépeindre des atmosphères lugubres comme le mythique "Absinthe" de Naked City, ce quatrième album du groupe pourrait s'apparenter dans les esprits à un essai new age sans profondeur. En réalité, par tant de retenue, Djam Karet montre sa capacité à se laisser guider par la musique et non, comme c'est trop souvent le cas, l'inverse. Avec ses riches textures, ses nappes de guitares sustain, ses notes répétitives et ses ambiances vaporeuses, Djam Karet rejoint l'esthétisme ambient des meilleurs Brian Eno.

note       Publiée le mercredi 3 avril 2002

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    Merci Progmonster.

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