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Modern English › After the snow

  • 1992 • 4AD GAD 206 CD • 1 CD

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Membre Note Date
22goingon23      lundi 10 juin 2013 - 18:07
EyeLovya      samedi 22 octobre 2011 - 12:53
Møjo      vendredi 12 mars 2010 - 20:16
ProgPsychIndus      dimanche 26 mars 2023 - 21:26
allobroge      vendredi 25 juin 2021 - 21:39
Klozer      dimanche 6 décembre 2020 - 23:38
Raven      samedi 2 mars 2019 - 14:05
Seijitsu      mercredi 21 décembre 2016 - 08:34
Harry Dickson      lundi 10 juin 2013 - 23:32

cd • 14 titres

  • 1Someone's calling
  • 2Life in the gladhouse
  • 3Face of wood
  • 4Dawn chorus
  • 5I melt with you
  • 6After the snow
  • 7Carry me down
  • 8Tables turning
  • 9Someone's calling
  • 10Life in the gladhouse
  • Bonus CD
  • 11I Melt With You (7" Mix)
  • 12The Prize
  • 13Life In The Gladhouse
  • 14The Choicest View

informations

line up

Robbie Grey (chant), Gary McDowell (guitare), Stephen Walker (claviers), Michael Conroy (basse, violon), Richard Brown (batterie)

chronique

avatarShelleyan

Vu de l'extérieur, les choses prennent une teinte étrange ; on se demande parfois franchement ce qui se passe dans l'esprit de certains artistes. En effet, si 'After the snow' est un bon disque, quel changement par rapport à son prédécesseur, 'Mesh and lace', produit un an à peine auparavant ! Exit les guitares déchirées et glauques, les batteries tribales, les atmosphères obscures... Le son de Modern English s'est purifié, les compositions, si elles n'ont pas perdu une certaine mélancolie, sont nettement plus soft, moins torturées. Le groupe explore un post punk tranquille qui rappelle parfois ce que donneront quelques formations indies des 90's. Le schéma d'écriture est devenu plus classique et c'est d'un angle presque pop qu'il faut désormais aborder les morceaux. Si certains d'entre eux sont rythmés ('After the snow', 'Someone's calling', 'Tables turning') et évoquent une version moins passionnée des Chameleons, d'autres se veulent plus délicats, ainsi 'Carry me down' avec ses nombreux breaks et ses orchestrations légèrement psychédéliques; de manière générale, le travail du clavier est très développé pour renforcer l'atmosphère des morceaux. Ce sont là bien des qualités mais elles ne masquent pas le fait que si 'After the snow' tient bien la route, il est moins intense que 'Mesh and lace' et plus banal dans ses sonorités. C'est ainsi et il faut le prendre tel qu'il est ; surtout qu'à la lumière de ce qui suivra, ce disque est, avec Ricochet Days', le dernier opus intéressant de Modern English avant que les sirènes d'une pop mièvre n'achèvent de les noyer.

note       Publiée le lundi 2 mars 2009

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Note moyenne        9 votes

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allobroge › Envoyez un message privé àallobroge

Concernant les Sad lovers and giants j’aime exclusivement les 2 1ers albums, cad la période Tristan Garel-Funk, la suite ne passe pas chez moi. Et le groupe suivant du Tristan, les géniaux Snake corps, est un joyau méconnu du rock, Testament c’est quand même un hymne ultime !

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allobroge › Envoyez un message privé àallobroge

Ricochet days c’est le début de la fin mais c’est pas encore ignoble. Le suivant Stop start, extraordinairement nullissime, a permis une prise de conscience et un rebond de qualité du groupe, dont le 1er et 2ème albums, dans des genres différents, sont des classiques 80’s.

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Shelleyan › Envoyez un message privé àShelleyan
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je trouve Sad and Lovers meilleurs mais tu as raison sur 'Ricochet days' (très Echo and the Bunnymen de seconde zone), il n'est pas su mauvais. Ca fait des années que je le réessaye et même s'ils ont loupé un truc, il y a quelques belles choses dessus. J'ai nuancé mon final du coup.

ProgPsychIndus › Envoyez un message privé àProgPsychIndus

Je trouve que sur cet album ils sont très proche de l'esprit Sad Lovers and Giants, "Ricochet Days" le suivant est quand même sympa , après oui c'est la chute libre dans la pop niaise sans intérêt. D'ailleurs ils ne sont plus signés sur 4AD après "Ricochet Days" cela veut tout dire.

Message édité le 26-03-2023 à 21:37 par ProgPsychIndus

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Harry Dickson › Envoyez un message privé àHarry Dickson

Exactement ce que dit 22goingon23. Des classiques New Wave inaltérables.

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