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Popol Vuh › Seligpreisung
- 1972 • Kosmische kuriere 840 102 • 1 LP 33 tours
- 2004 • Spv 085-70132 CD • 1 CD digipack
9 titres - 38:56 min
- 1/ Selig sind, die da hungern. Selig sind, die da dürsten nach gerechtigkeit. Ja, sie sollen satt werden (5:59)
- 2/ Tanz der chassidim (3:12)
- 3/ Selig sind, die da hier weinen. Ja, sie sollen später lachen (5:07)
- 4/ Selig sind, die da willig arm sind. Ja, Hier ist das himmelreich (3:10)
- 5/ Selig sind, die da leid klagen. Ja, sie sollen getröstet werden (3:39)
- 6/ Selig sind, die sanftmütigen. Ja, sie Werden Einst die erde zrben (2:30)
- 7/ Selig sind, die da reien herzens sind. Ja, sie sollen gott schauen (2:33)
- 8/ Ja, sie sollen gottes kinder heißen. Agnus dei, agnus dei (2:39)
- 9/ Be in love (4:59)
informations
Baumburg, Altenmarkt et Stommeln, Cologne, Allemagne, 1972
line up
Florian Fricke (piano, clavecin, chant, synthétiseur), Conny Veit (guitare), Daniel Fichelscher (guitare, congas, batterie), Robert Eliscu (clarinette), Klaus Wiese (tambura)
chronique
La suite logique, c'est à "Seligpreisung" qu'il reviendra de l'assumer. Au groupe déjà solide qui comprend Klaus Wiese au tambura (pour beaucoup dans les atmosphères méditatives d'inspiration indienne que comprend la musique de Popol Vuh) et Robert Eliscu à la clarinette, vient à présent se greffer la personnalité de Daniel Fichelscher, batteur et guitariste de son état, qui viendra d'abord remplacer Conny Veit mais surtout s'imposer sur le long terme comme seul autre membre permanent de la formation de Florian Fricke. Sur cet album, il partage son futur rôle de guitariste avec Veit, encore sur le départ. En vérité, Fichelscher se consacre essentiellement à la batterie, une première dans le chef de Popol Vuh, instrument qu'il tiendra également pour le collectif Amon Düül II sur les albums "Carnival in Babylon", "Wolf City" et "Live in London". Ceci, plus le chant pas toujours crédité de la jeune chinoise Djong Yun (seulement présente ici sur le titre bonus "Be in Love") quand il ne s'agit pas tout simplement de celui moins affriolant de Fricke lui-même, nous donnent un album dont le maître mot est sans doute sérénité au déroulement plus que parfaitement rectiligne. Les quelques passages où la batterie s'emballe et impose le tempo à une guitare volubile mais toujours délicate rattache le tout à une esthétique plus conventionnellement rock sans qu'il n'y ait jamais débordement pour autant. C'est peut-être le côté un peu trop léger induit par cette approche qui donne à l'ensemble un goût de superficialité qu'il partage avec une certaine portion de la musique new age. Quelque part, il n'est pas inconsidéré ou irresponsable de penser que ce sont des albums tels que "Hosianna Mantra", ce "Seligpreisung" ou encore le "Einsjager & Siebenjager" à venir qui ont ouvert la voie au Dead Can Dance de Brendan Perry et Lisa Gerrard...
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Note moyenne 8 votes
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commentaires
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- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé àAladdin_Sane
Un bien bel album qui ne dépareille pas la discographie de Popol Vuh.
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- Jean Pierre Moko › Envoyez un message privé àJean Pierre Moko
Je le trouve assez bon, ce Popol vuh, qui nous donne l'occasion d'entendre Florian Fricker chanter (une fois n'est pas coutume)
- novy_9 › Envoyez un message privé ànovy_9
c'est l'un des popol vuh les plus chiants .... rien ne vaut : Das Hohelied Salomos, Letzte Tage/Letzte Nächte, Die Nacht Der Seele/Tantric Songs, Brüder Des Schattens/Söhne Des Lichts , Sei Still Wisse ICH BIN, Agape/Agape, Nosferatu ou Spirit Of Peace, tout est là, la folk, le psyche, le mystique et le religieux.
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- Seijitsu › Envoyez un message privé àSeijitsu
Cette période de Popol Vuh a beau avoir influencé des groupes que j'aime beaucoup (Dead Can Dance, Durutti Column...), j'ai quand même beaucoup de mal à y trouver mon compte malgré quelques passages agréables... Leurs premiers albums sont bien plus palpitants !
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- taillesque › Envoyez un message privé àtaillesque
Bien vu le rapprochement de Popol Vuh et de Dead Can Dance ! Pour ma part, je trouve que la filiation est encore plus évidente, voire aveuglante, à l'écoute de l'album de 1976 "Letzte tage - Letzte Nachte".
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