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Rush › Hemispheres
- 1978 • Mercury 534 629-2 • 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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Jeff 242 | mardi 1 mars 2016 - 22:44 | |
HerculeanRoads | jeudi 3 décembre 2009 - 00:36 | |
enslaver_666 | mardi 4 septembre 2007 - 18:42 | |
Khyber | vendredi 28 juillet 2006 - 10:17 | |
Aladdin_Sane | samedi 25 mars 2023 - 12:52 | |
Nicko | dimanche 3 juillet 2016 - 19:15 | |
Alvus Dei | jeudi 24 juillet 2014 - 22:04 | |
DrMuller | vendredi 4 janvier 2008 - 16:16 | |
COLDSTAR | lundi 6 août 2007 - 00:26 | |
magnu | jeudi 18 avril 2024 - 23:33 | |
Ramon | samedi 28 septembre 2013 - 14:08 | |
kaplan | jeudi 3 janvier 2013 - 21:21 | |
torquemada | vendredi 17 avril 2009 - 18:47 | |
Darkest | samedi 7 octobre 2006 - 23:28 | |
Progmonster | jeudi 16 mai 2002 - 16:40 | |
SEN | samedi 25 mars 2023 - 13:40 |
cd • 4 titres • 36:07 min
- 1Cygnus X-1 Book II18:04
- 2Circumstances3:40
- 3The Trees4:42
- 4La villa strangiato9:34
informations
Rockfield studios, Pays de Galles, juin - juillet 1978
line up
Neil Peart (batterie, percussions), Geddy Lee (basse, mini moog, chant), Alex Lifeson (guitares électriques et acoustiques)
chronique
- hard rock
L'essai semblait donc être concluant ; à tel point que Rush poursuit l'aventure "Cygnus X-1", qui clôturait leur précédent opus, en ouvrant leur dernier disque par une suite improbable, longue de près de vingt minutes. Toujours épaulés du fidèle Terry Brown à la production, claire, précise, mais manquant tout de même de nerf, "Hemispheres" a eu certainement de quoi en rebuter plus d'un puisque le groupe canadien plonge ici de plein pied, et sans complaisance aucune, dans ce rock progressif tant conspué. Ils seront néanmoins les seuls représentants de cette branche à pouvoir y injecter avec tant de talent la hargne de ce hard rock qui a fait les heures de gloire de Black Sabbath, Deep Purple ou Led Zeppelin. "The Trees" et "La Villa Strangiato" viennent completer la quadrature de cercle de ce qui est à considérer comme un de leurs meilleurs efforts.
note Publiée le mardi 19 mars 2002
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- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé àAladdin_Sane
Un bout de temps que je n'avais pas réécouté cet album. Outre la pochette progjolie (nouveau tag à rajouter), il y a vraiment de belles pépites comme "The Trees" ou encore "Circumtances" (Plus ça change, plus c'est la même chose, j'adore ce refrain).
- Note donnée au disque :
- (N°6) › Envoyez un message privé à(N°6)
Magnifique pochette, un des Dupondt meets Patrick Dupond sur un cerveau gonflable géant.
- Alvus Dei › Envoyez un message privé àAlvus Dei
Je pense qu'il s'agit du meilleur de la période hard progressif de Rush, avec Cygnus Part II plus cohérente, moins troublante aussi que la partie I, et la Villa Strangiato est top avec l'intro à la gratte espagnole, cependant ces deux pièces écrasent le reste je dirais, Rush se cherche encore et se trouvera sur Permanent Waves =)
- Note donnée au disque :
- Ramon › Envoyez un message privé àRamon
Encore très prog (la première face), un poil moins inspiré et moins bien produit que le précédent mais contenant déjà un tube en puissance (Circumstances), un classique (The trees), un morceau quasi instrumental et injouable (la villa Strangiato) mais hautement jouissif.
- Note donnée au disque :
- enslaver_666 › Envoyez un message privé àenslaver_666
- "A Farewell To Kings" était déjà une solide présence dans la discographie du groupe et il a fallu qu'il fasse encore mieux avec son successeur. "Cygnus X-1 Book II" vient conclure en 2e partie de "Cygnus X-1" ce qui d'après moi est l'un des plus gros accomplissements de Rush en carrière mais aussi représente la meilleure composition "concept-épique" que le trio a mis sur pied . Ce deuxième chapitre est peut-être moins noir mais il se rachète en étant plus mélodieux et pognant. "The Trees", avec sa tendance mélodique médiévale dans son intro, accroche à coup sûr et, dans un texte qui peut paraître enfantin, passe un message des plus sérieux. "Circumstances" est probablement le titre le plus "faible" de l'album bien que ce qualificatif est loin de le représenter adéquatement. Disons qu'il s'agit d'un point fort parmis des plus forts. Ça se termine avec un voyage infernal à "La Villa Strangiato". Expérimentale à souhait et impressionnante à cause de la virtuosité musicale qui s'en dégage, notamment de la part de Lifeson. Quatres titres seulement mais c'est amplement suffisant à faire de "Hemispheres", le meilleur album de Rush à mon avis. Je n'ai pas l'habitude de mettre la note parfaite mais je pense qu'ici, ce n'est pas trop exagéré.
- Note donnée au disque :