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Until Death Overtakes Me › Prelude to monolith

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Membre Note Date
Yog Sothoth      lundi 26 novembre 2007 - 21:34
michel rocard      mercredi 28 novembre 2007 - 13:45
Nokturnus      mardi 27 novembre 2007 - 17:57
Dead Man      mardi 27 novembre 2007 - 13:55
Wotzenknecht      mardi 27 novembre 2007 - 01:46
kama      mardi 27 novembre 2007 - 01:45
zbr      lundi 26 novembre 2007 - 22:20
Saïmone      lundi 26 novembre 2007 - 21:39
Spektr      mercredi 26 décembre 2007 - 14:21
Brain damage      mardi 27 novembre 2007 - 20:13
Le_Vieux_Con      mardi 27 novembre 2007 - 14:09

cd • 5 titres • 68:00 min

  • 1Prelude to monolith02:25
  • 2Missing21:45
  • 3Absence of life15:21
  • 4Slip away19:44
  • 5Marche funèbre8:45

informations

Enregistré et mixé au Studio Templa libitina en Mai et Novembre 2002

line up

S. (Chant, Guitare, Basse, Timpani, Claviers)

chronique

  • ambient funeral drone

A force d’essayer, il aura quand même fini par y arriver. Until death overtakes me, et plus précisément ce Prelude to monolith, c’est la principale réussite de Stijn Von Cauter : en effet, c’est sur ce disque que le belge est pour l’instant le mieux parvenu à équilibrer tous les éléments qui forgent son style. (Je fais l’impasse sur l’intro, quand même… de l’orgue, tout ça tout ça). Si on retrouve ici le coté spatial et dépouillé d’un Beyond black void, UDOM s’avère tout de même un chouia plus travaillé que les autres projets du musicien, grâce notamment à l’adjonction de percussions plus recherchées (des cymbales !) et d’un effort sur les mélodies de claviers, certes répétitives, mais qui évoluent au cours des morceaux. Et surtout, l’homme a fourni un effort de « composition » (un peu) plus poussé, avec des morceaux (un peu) plus structurés et contrastés qu’à l’accoutumée. De fait, les 3 longs pavés constituant le cœur de l’album révèlent une personnalité (un peu) plus prononcée avec des mélodies clairement identifiables, ce qui rend l’ensemble (un peu) moins hermétique, par rapport au reste de la discographie du musicien belge. Ainsi, si Missing développe sur toute sa longueur une facette assez planante, Absence of life et Slip away présentent un aspect plus typiquement Funeral / Drone, presque menaçant, avec de longues plages dépourvues de claviers et laissant une part beaucoup plus large aux guitares et aux growls particulièrement profonds… ça marche assurément beaucoup mieux. Cerise sur le gâteau, le bonhomme place en fin de disque une réinterprétation crépusculaire de la célèbre « Marche funèbre », version flûte de pan de l’espace, grésillements et piano (le genre de truc que ni JM Jarre ni Era n’auraient imaginé, c’est fou quand même), toute aussi horriblement kitsch que… funéraire…

note       Publiée le lundi 26 novembre 2007

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    commentaires

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    Spektr Envoyez un message privé àSpektr
    à éviter sans aucun doute !
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    michel rocard Envoyez un message privé àmichel rocard
    Pompeux et pompant malgré quelques moments de lucidité (qui ne sont pas allés jusqu'à amputer cet album aux 3/4)
    Note donnée au disque :       
    yog sothoth Envoyez un message privé àyog sothoth  yog sothoth est en ligne !
    avatar
    ptain, encore une preuve que les lecteurs de ce forum n'aiment les belges... salauds !!
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    juj Envoyez un message privé àjuj
    je l'ai même pas écouté, c'est dire si c'est nul ...
    Nokturnus Envoyez un message privé àNokturnus
    avatar
    Daube.
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