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Garden Of Delight › Epitaph
- 1992 • Dion fortune BN 454 • 1 CD
cd • 7 titres
- 1Shallow ground
- 2Christendom
- 3Insight
- 4The white goddess
- 5The epic of the Sumer Ziusudra
- 6Epitaph
- 7And into the earth shall we return
extraits vidéo
informations
Printemps 1992
line up
Arthaud Seth (chant, programmation), Th.O'Connell (basse, guitare)
chronique
Bien qu'un projet personnel à la base, The Garden of Delight commence à s'affirmer peu à peu comme un groupe puisque pour ce second essai, Arthaud Seth s'est associé à un nouveau membre qui se révélera un pilier fidèle au cours des années, Th.O'Connell. On remarque aussi une production bien meilleure et un enrichissement des textures musicales. Si la boîte à rythmes et la basse restent des composantes essentielles, le clavier partage son temps avec la guitare qui voit son rôle s'accroître de manière plus significative. Ce n'est certes pas ça qui va personnaliser le son du duo puisque les influences Sisters of Mercy sont plus que jamais présentes mais reconnaissons que, à défaut d'originalité, Garden of Delight fait montre d'une certaine efficacité dans les mélodies; les quatre premiers morceaux sont vraiment bons, particulièrement 'Insight' qui mêle adroitement rythme sec, basse lourde, guitares lointaines et quelques bruits inquiétants et 'The white goddess' plus mélancolique dans ses sonorités de par une approche plus dépouillée. La version de 'Shallow ground' est efficace par rapport à celle présentée sur le premier volume des samplers Dion Fortune, quant à 'Christendom', elle tient la route malgré une touche que je trouve plus légère pour ma part. Le premier point noir vient de 'The epic of the Sumer of Ziusudra', long morceaux de remplissage bien peu varié entièrement au clavier avec juste des voix noyées d'écho en arrière-fond. Le problème est qu'il est suivi d'un instrumental au piano, 'Epitaph', fort correct mais ce manque de rythme casse pas mal l'atmosphère sans séduire vraiment. Il faudra l'ultime pièce (malgré une intro trop longue) et sa touche torturée pour permettre à la sauce de reprendre quelque peu mais la musique manquant néanmoins de pêche, difficile de ne pas s'ennuyer un peu. C'était plutôt bien parti mais cet agencement maladroit gâche quelque peu le plaisir et si c'est avec bonheur que l'on goûte à ces climats secs et noirs, je ne puis m'empêcher de ressentir une forme de mollesse vers la fin du disque...Allez ! On se secoue, nom d'un chien !
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- Hazincourt › Envoyez un message privé àHazincourt
"The white goddess" un hymne Gothique !!!
- Note donnée au disque :