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The Stranglers › (The gospel according to) The Meninblack

  • 1981 • Liberty LBG 30313 • 1 LP 33 tours
  • 2001 • EMI records 7243 5 34690 2 3 • 1 CD

détail des votes

Membre Note Date
floserber      mardi 3 décembre 2013 - 16:59
juj      mercredi 1 août 2007 - 10:46
Flesheaters      jeudi 13 octobre 2022 - 20:35
cyprine      jeudi 11 juin 2009 - 08:47
crygor      lundi 13 avril 2009 - 10:47
zugal21      vendredi 7 février 2014 - 16:48

cd • 13 titres

  • 1Waltzinblack
  • 2Just like nothing on earth
  • 3Second coming
  • 4Waiting for the Meninblack
  • 5Turn the centuries, turn
  • 6Two sunspots
  • 7Four horsemen
  • 8Thrown away
  • 9Manna machine
  • 10Hallow to our men
  • bonus
  • 11Top secret
  • 12Maninwhite
  • 13Tomorrow was hereafter

informations

Les morceaux 11à 13 sont des bonus

line up

Hugh Cornwell (chant, guitare), Jean-Jacques Burnel (basse, chant), Dave Greenfield (claviers, loops), Jet Black (batterie)

chronique

  • rock synthétique/ new wave/ space pop

Attention, ils sont parmi nous ! Qui ?!? Les 'Meninblack' bien sûr. Reprenant l'idée d'une de leurs chansons sur 'The Raven', les Stranglers gavés de lecture sur l'Ufologie décident de consacrer un album au sujet. Ils créent l'idée d'extraterrestres infiltrés qui seraient en réalité les faiseurs des miracles que la Bible prête à Dieu. Loufoque ou non, cette thématique débouchera sur leur opus le plus surprenant et le plus synthétique également. Imaginez une rencontre entre Kraftwerk et le rock et vous aurez un début d'idée du contenu de 'The gospel according to the Meninblack'. Si le groupe aujourd'hui encore se déclare satisfait de l'album (et il y a de quoi), le prix à payer fut près d'une année de travail de production pour un accueil au final mitigé et des ventes médiocres. Beaucoup d'efforts sur la batterie tout d'abord qui sonne tantôt sèche et cold wave tantôt synthétique ('Turn the centuries, turn', 'Thrown away'), sur les claviers ensuite totalement dans une lignée à la Kraftwerk, la basse (mmm, cette attaque sur 'Just like nothing on earth') et la guitare assurant le lien avec le côté rock de la musique. L'expérimentation sur les vocaux n'est pas en reste, à commencer par les voix passées à l'hélium, les ricanements, du génial 'Waltzinblack' ou les choeurs de 'Just like nothing on earth', ce qui ne signifie nullement que l'émotion ne soit pas au rendez-vous car lorsque Hugh renoue avec un ton grave, un brin monocorde, les chansons prennent une dimension réellement poignante, notamment de par leur qualité mélodique ('Waiting for the Meninblack', 'Thrown away', 'Hallow to our men'). Plus que jamais, les Stranglers parviennent à faire rimer cheap avec séduction, pop avec expérimentation, tout ça avec un petit feeling malsain. Quand on sait que plus de 15 ans après, l'idée des 'Men in black' sera traitée au cinéma, on réalise à quel point nos quatre hommes en noir ont pu être en avance sur leur temps, même si 'The Raven' avait préparé le terrain...

note       Publiée le mardi 31 juillet 2007

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    zugal21 Envoyez un message privé àzugal21

    J'aime bien la façon de traiter le sujet

    Note donnée au disque :       
    juj Envoyez un message privé àjuj
    haha ... j'ai pas encore fini de recompter mes neurones, je me contenterai de noter pour l'instant
    Note donnée au disque :       
    Aiwass Envoyez un message privé àAiwass
    La parole est à Juj monsieur le président...