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The Stranglers › No more heroes

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Flesheaters      jeudi 13 octobre 2022 - 20:34
Ultimex      jeudi 12 mai 2022 - 17:20
Buko      vendredi 30 octobre 2009 - 15:24
docteur.justice      dimanche 9 septembre 2007 - 12:09
canardo      lundi 3 septembre 2007 - 16:17
Raven      samedi 3 juin 2023 - 04:48
Seijitsu      samedi 1 août 2020 - 19:21
zugal21      vendredi 23 novembre 2012 - 21:23
mastema      mardi 29 novembre 2011 - 19:15
cyprine      mardi 16 juin 2009 - 09:08
Solvant      dimanche 13 avril 2008 - 23:18
edenbeast      vendredi 20 juillet 2007 - 11:34
Thirdeye      mardi 16 janvier 2024 - 19:26
taliesin      mercredi 19 octobre 2016 - 16:16
sog      samedi 19 février 2011 - 22:28
Aiwass      vendredi 20 juillet 2007 - 04:16

cd • 14 titres

  • 1I feel like a wog
  • 2Bitching
  • 3Dead ringer
  • 4Dagenham Dave
  • 5Bring on the Nubiles
  • 6Something better change
  • 7No more heroes
  • 8Peasant in the big shitty
  • 9Burning up time
  • 10English towns
  • 11School mam
  • bonus
  • 12Straight out
  • 13Five minutes
  • 14Rok it to the moon

informations

T.W Studios, Fulham, Angleterre, juillet 1977

Les titres 12, 13 et 14 sont des bonus

line up

Hugh Cornwell (chant, guitare), Jean-Jacques Burnel (basse, choeurs), Jet Black (batterie, percussions), David Greenfield (claviers, choeurs)

chronique

'Plus de héros !' Le cri est lancé et il sonne plus que jamais d'actualité en cette fin d'année 1977 où achève de se consumer la première explosion punk. Seulement, chez les Stranglers, la démarche va bien au delà d'un simple constat de désanchantement...On peut presque parler de dandysme tant nos lascars manient le cynisme, l'humour noir et s'amusent à brouiller les pistes. Dès les premières notes de 'I feel like a wog', basse sombre et orgues joyeux, on sent bien que rien n'est jamais acquis et qu'on va être secoué dans toutes les directions. Si 'No more heroes' s'inscrit très clairement dans la lignée de 'Rattus Norvegicus' en faisant cohabiter une rythmique post punk, un jeu de clavier héritier des Doors (plus discret cependant) et un chant instinctif très calqué sur le musique, je dirais que tout en dégageant l'humour typique, parfois salace, des Etrangleurs, il sonne plus aigre. Les vocaux ont un côté plus possédé, rauque, parfois légèrement expérimental ('Dead ringer') et si l'accroche directe est bien présente (le spectre des Kinks n'est pas très loin sur 'Dagenham Dave' ou 'Bring on the Nubiles'), l'album se teinte de noir au fur et à mesure, notamment sur un 'Peasant in the big shitty' franchement glauque, très cold wave dans son feeling. Même le rythmé et presque new wave 'No more heroes' a quelque chose de mordant, pareil pour le bon 'English Towns' (pas très loin d'une version plus sombre des Clash). Ce ne sont pas la batterie tribale et les cris d'enfants de 'School mam' qui dissiperont le malaise désormais installé. 'No more heroes' sonne nettement plus déconcertant que son prédécesseur à la première écoute mais c'est là son charme et si, selon moi, 'Rattus Norvegicus' brille par ses mélodies, ce disque se distingue davantage par son atmosphère pas franchement gaie mais drôlement efficace.

note       Publiée le vendredi 20 juillet 2007

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Note moyenne        16 votes

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zugal21 Envoyez un message privé àzugal21

Une bien triste nouvelle.

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Klarinetthor Envoyez un message privé àKlarinetthor

Golden Brown et le reste de la couronne

COLDSTAR Envoyez un message privé àCOLDSTAR

R.I.P. Dave Greenfield

zugal21 Envoyez un message privé àzugal21

Flêche de tout bois

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Aiwass Envoyez un message privé àAiwass
The Raven et Black & White sont beaucoup plus sombres (et expérimentaux) que cet album, amha.
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