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Faith No More › Album of the Year

cd • 12 titres

  • 1Collision
  • 2Stripsearch
  • 3Last cup of sorrow
  • 4Naked in front of the computer
  • 5Helpless
  • 6Mouth to mouth
  • 7Ashes to ashes
  • 8She loves me not
  • 9Got that feeling
  • 10Paths of glory
  • 11Home sick home
  • 12Pristina

informations

Brilliant studios et Razor's edgen San Francisco

L'édition double cd contient les bonus tracks supplémentaires : 13/ Last cup of sorrow (Bigfoot and Wildboy mix) - 14/ Last cup of sorrow (Bonehead mix) - 15/ Ashes to ashes (Hardknox horned hand mix) - 16/ Ashes to ashes (Automatic 5 dub) - 17/ She loves me not (Spinna main mix) - 18/ Ashes to ashes (Dillinja mix) L'édition japonaise contient 2 bonus tracks : 13/ Light up and let go - 14/ Big kahuna

line up

Mike Bordin (batterie), Roddy Bottum (claviers), Billy Gould (basse), Jon Hudson (guitare), Mike Patton (chant)

chronique

avatarChris

  • alternatif

« Album of the year » restera à jamais le dernier album de Faith no more, et c'est vraiment dommage quand on voit le travail réalisé ici. Le groupe maîtrise son art à la perfection et Patton est en forme olympique, ce qui fait qu'à part trois ou quatre morceaux, le disque est vraiment impressionnant. Des titres comme « Stripsearch », « Last cup of sorrow » ou encore le fabuleux « Pristina » figurent d'ailleurs à mon avis parmi les tous meilleurs morceaux du groupe. Les compositions sont comme d'habitude au dessus du lot et la production, puissante et léchée, apporte au disque un groove et une profondeur du tonnerre... Faith no more nous offre ici un de ses meilleurs albums et en tout cas, le meilleur album de l'année ! En voilà un qui porte bien son nom...

note       Publiée le mercredi 1 novembre 2000

chronique

avatarProgmonster

Depuis l'éviction de Jim Martin en 1992, Faith No More ne semblait plus aussi solide sur ses bases. L'album précédent, "King for a Day, Fool for a Lifetime" nous montrait pourtant un groupe très en verve et plus hétéroclite que jamais, mais cette réussite insolente cachait une tension accrue au sein du groupe qui finira par se séparer sur cet ironiquement intitulé "Album of the Year". Rien de surprenant au demeurant sur ce disque puisque Faith No More étale une fois de plus son savoir faire et son sens indéniable de l'efficacité. En ce qui me concerne, j'ai tendance à considérer la majeure partie des morceaux présentés ici comme relativement peu inspirés ; des titres comme "Collision" ou "Paths of Glory" ressemblant à des resucées de ce que le groupe avait déjà pu nous livrer sur ses efforts précédents. La seconde édition de cet album comporte un second disque fait de remixes qui, au lieu de sauver les meubles, rend la situation encore plus pitoyable. Une triste fin, d'autant plus regrettable que "Home Sick Home" et "Pristina" (con comme la lune, mais tellement prenant) refermaient le chapitre en beauté.

note       Publiée le lundi 1 avril 2002

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Note moyenne        49 votes

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born to gulo › Envoyez un message privé àborn to gulo

Robert Downey Jr-core

Note donnée au disque :       
Dioneo › Envoyez un message privé àDioneo
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Ben pour ma part, comme dit plus bas : maintenant ça passe beaucoup mieux, hein ! Je me rappelle très bien pourquoi j'aimais pas mais j'ai changé de perspective là-dessus on va dire...

cerealkiller › Envoyez un message privé àcerealkiller

Pareil jamais pu encaisser ce groupe et aussi tout ce que touche Patton , Mr Bungle , Fantomas, etc..

Dioneo › Envoyez un message privé àDioneo
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Longtemps, je n'ai pas pu encaisser ce groupe, le côté "acting", mise en scène de la voix de Patton comme du reste m'horripilait... Maintenant, même si FNM ne va sans doute pas devenir le groupe que je m'écouterai en boucle, ça passe nettement mieux, et même tout seul. Faut admettre que c'est un sacré concentré de certaines années 90, aussi - ce disque et ce groupe. Le côté surjoué, ironique, comme rempart, au fond contre le vrai cynisme généralisé autour - de la classe politique, de l'industrie (du loisir mais vraiment pas seulement) ; le hip-hop et autres formes funky arrivant dans la culture de "white kids" qui les adoptent et les adaptent (ici) sans essayer de faire croire qu'ils sont des ganstas issus Tout Droit de Compton ; et puis un gros taf musical, sur la forme, pour machiner un truc pas informe en amalgamant des sources assez disparates... Quant à Patton oui, c'est décidément un acteur. Mais je ne l'entends plus tout à fait pareil, je le trouve toujours agaçant mais je reconnais qu'il abat un sacré boulot, lui aussi (comme le reste du groupe) et son personnage me cause plus qu'avant, ou me semble avoir plus à dire, quoi. En fait pour moi, maintenant, Patton (au moins sur ce disque) c'est Xander de Buffy qui aurait réussi à atteindre une sorte de statut de rockstar - peut-être seulement au Bronze mais c'est déjà ça et du coup il l'ouvre. Le mec qui a bon fond mais peut-être aussi un sacré trouduc mais peut aussi avoir des éclairs de pertinence fantstiques mais reste un mec 98% du temps invivable mais... Bref, Xander quoi. (Version moustache cirée).

Kissthecatconcept › Envoyez un message privé àKissthecatconcept

Je mets cinq billes, parce-que strispearch me donne l'impression de nager dans un liquide amniotique et que ça n'a pas de prix. Pour le reste, baisse de régime, manque de souffle et d'enthousiasme.

Note donnée au disque :