Songs of a Lost World : fiel et lauriers !

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dimegoat › dimanche 10 novembre 2024 - 08:15

Topic pour parler du dernier Cure parce qu'il y a beaucoup de choses à dire et que Disintegration est un...autre album !

Message édité le 10-11-2024 à 08:35 par dimegoat

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born to gulo › dimanche 10 novembre 2024 - 09:40

Oh, flûte ! Tu n'as pas déplacé le commentaire de Mytherhan, là ? Il était pourtant tellement.

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dimegoat › dimanche 10 novembre 2024 - 09:42

A sa demande.

Bon alors, il est bien ou pas cet album ? :)

Message édité le 10-11-2024 à 09:42 par dimegoat

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born to gulo › dimanche 10 novembre 2024 - 09:45

C'est compliqué.

Pour les chansons, c'est plus facile : "A Fragile Thing" est choute comme tout. "Alone" est à chier.

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Tallis › dimanche 10 novembre 2024 - 18:22

Pour l'instant ni fiel ni lauriers me concernant (pas encore du moins). Il tourne régulièrement sur la platine depuis une semaine, ce qui est plutôt bon signe pour ces retrouvailles.

Warsong , Drone e: no drone et Endsong en points d'orgue, le reste tient bien la route (Alone compris, je ne vois rien qui la rende "à chier") excepté le très guimauve mais pas déplaisant And nothing is forever.

Comme le soulignait Coltrano je crois, structures de morceaux généralement très étirées ce qui lui donne une atmosphère assez particulière.

Bref, je fais plutôt partie de ceux qui sont séduits. Pour la suite, je le laisse doucement infuser...

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Cera › dimanche 10 novembre 2024 - 18:52

Idem, plutôt séduit à ce stade, après 2 écoutes. Ambiance sonore et mélodies sont au RdV pour mes oreilles. Et fait très positif pour moi qui n'ai jamais été curiste : cette sortie m'a fait replonger dans leurs disques que j'ai (de seventeen à désintégration), et certain passent de "moyen" à bon voir plus. Désintégration par exemple. va savoir pourquoi.

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born to gulo › dimanche 10 novembre 2024 - 19:36

"And Nothing is Forever" est l'autre chanson à chier dont pâtit beaucoup le disque - avec "Alone" et sa production.

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Tallis › dimanche 10 novembre 2024 - 19:46

Ceci étant, un album de The Cure sans son titre pourri n'est pas un vrai album de The Cure...

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born to gulo › dimanche 10 novembre 2024 - 19:50

Je connais pas cet axiome. J'en vois pas sur Disintegration. Ni sur Faith. Ni sur The Top. Ni sur Pornography. Et je commence même à apprécier "A Letter to Elise", aux dernières écoutes la semaine dernière.

Message édité le 10-11-2024 à 19:52 par born to gulo

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Raven › dimanche 10 novembre 2024 - 23:56

Lauriers.

Alone était la mise en bouche qu'il fallait, et l'intro qu'il faut, une de ces incarnations de tiédeur extrême dans lesquelles il suffit de se laisser s'enfoncer, avec un gros feeling Michel Berger/Gilmour.

Warsong, All I ever am et Endsong sont sublimes, en Piscinetegration, le morceau Senser-Cure imparable avec le rap adorable de Bob, A Fragile Thing avec le côté chochotteux de Bob pas du tout ridicule juste touchant, un de ses meilleurs morceaux pop.

Tout l'album passe crème en glaise, ou mer Cure, même si And nothing is forever et I can really say peuvent passer complètement à côté certaines écoutes.

J'en suis vers la vingtième, par addiction (pas à contre-courant le moins du monde et peu me cold), je vais le laisser reposer, mais j'ai souvent Warsong, A fragile thing, Alone, All I ever am et ce passage "misplacing my idendity" qui reviennent me hanter.

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Rastignac › lundi 11 novembre 2024 - 08:14

Le peu que j’ai entendu m’a bof. Et je me suis enquillé ensuite des vieux concerts sur YouTube par ex. Orange 1986. Purée. Né trop tard.

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born to gulo › lundi 11 novembre 2024 - 09:32

Robert était en effet un bon wino en son jeune temps.

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Sam Hall › lundi 11 novembre 2024 - 12:38

après une semaine d'écoute quasi quotidienne, il y a des morceaux qui me touche vraiment comme Endsong et I can never say goodbye en tête. Bien sûr ça regarde dans le rétro et il y a des éléments dans toutes les chansons qui peuvent être affiliées à ce qu'ils ont déjà fait pendant leur glorieuse période des débuts jusqu'à Wish, auquel il me fait beaucoup penser. Je préfère ça que leurs tentatives de WMS à 4:13 dream. C'est d'ailleurs le premier que j'achète depuis wish et ça m'a replongé avec plaisir dans des émotions que j'avais ado pendant les écoutes quotidiennes et quasi obsessionnelles de ce groupe. Évidemment il y a des choses pas terrible voir assez niaise comme And nothing is forever et son intro gros nounours ou un peu insignifiant comme a fragile thing mais je trouve malgré tout qu'il fonctionne dans sa globalité. Warsong est puissante et massive, une de mes préférés, drone me fais marrer avec son pré refrain chorégraphique... Pour moi c'est le seul écoutable depuis Wish, je ne boude pas le plaisir que ces retrouvailles me procurent, on verra dans le temps si il tient comme Memento mori de DM que je continue à trouver très bon.

Message édité le 11-11-2024 à 13:06 par sam hall

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Raven › lundi 11 novembre 2024 - 13:05

Même avec tassage des années et recul je ne pense pas qu'il atteindra le six comme Memento Mori, qui est un des albums majeurs de Depeche Mode, The Cure ont fait quelque chose de plus pantouflard avec SOALW (soul?) , et il faut pas non plus déconner comme certains curistes transis, c'est pas au niveau des années 80, au cours desquelles Bob a aligné du chef d'oeuvre plus que quiconque pour rappel. Mais ce qui est certain vu d'ici c'est que son émotion est réelle, taillée pour durer, et ne tient pas qu'à la nostalgie hors-concours des fans (aucun autre groupe ne provoque ça à ce niveau pas même DM), il a son ambiance bien à lui, et a scellé un solide cinq dans mon boulier jaune lemon.

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Sam Hall › lundi 11 novembre 2024 - 17:59

je ne pense pas non plus, je me demandais si je l'écouterai encore après plusieurs mois passés comme Memento mori qui est effectivement un album majeur de DM. La comparaison n'est peut être pas très judicieuse, je les associe car ce sont les groupes phares de mon adolescence. Je le trouve également pantouflard ce Songs of a lost world et n'égale en rien les albums des 80's, nous sommes bien d'accord.

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born to gulo › lundi 11 novembre 2024 - 18:05

Pantouflard 3000, comem dirait la fille à Iron Man. Et comme Bloodflowers. Pour ma part je pense ne jamais le mettrz au niveau de Disintegration ou Wish, mais en revanche supporter mieux son côté foncièrement désagréable et existentiellement mou, dans un certain nombre d'années ; comme Bloodflowers à qui, au bout de 25 ans, je deviens gentiment mais solidement attaché.

De toute, Robert c'est la famille. Même vieillissant et de plus en plus agaçant, tu t'en défais jamais.

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Sam Hall › lundi 11 novembre 2024 - 18:16

"Même vieillissant et de plus en plus agaçant, tu t'en défais jamais." hahahah, c'est exactement ça, je crois que pendant plusieurs années je n'ai plus pu écouter un seul disque de Cure car ma curiosité m'emmenait vers d'autres choses. Mais il revient sans cesse, c'est un peu comme le prisonnier avec sa grosse bouboule qui le ramène toujours au même endroit, Boby c'est Mr phare! Je ne le mettrais pas non plus au niveau de Disintegration, c'est impossible ! par contre je n'ai jamais réussi à écouter bloodflowers en entier ! et donc je préfère pantoufles of a lost world

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Sam Hall › lundi 11 novembre 2024 - 18:17

...niveau de Disintegration, ni d'aucun des 80's...

Message édité le 11-11-2024 à 18:28 par sam hall

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born to gulo › lundi 11 novembre 2024 - 18:56

S'il atteint déjà le niveau de Bloodflowers dans mon coeur, ce sera très honorable.

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Medusa › lundi 11 novembre 2024 - 19:28

Après moultes écoutes, les seules chanson que je trouve à peu près écoutables sont A Fragile Thing, qui résume à elle seule tout le climat de l'album et son articulation mélodique, décalque de chansons comme This is a Lie (Wild Mood Swing) d'ailleurs, et Endsong pour son intro, même si rien de génial non plus, loin s'en faut. Le reste, du remplissage insipide, des morceaux dont la composition, basée sur le même schéma répété sur 7 des 8 titres, est à la portée de n'importe-quel chimpanzé. Quand à la première, Alone, elle m'insupporte au plus haut point, et désolé pour ceux qui aiment. Exactement ce que tout musicien honnête devrait, selon moi, s'interdire de faire.