mardi 19 janvier 2021 | 94 visiteurs (dont 1 membre) connectés en ce moment
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Non ça change pas.
Ok merci. Ça m'a toujours intrigué.
Les vagues de couleurs que je ressens ressemblent pas mal à ça, après ça peut varier énormément...
Allez une petite analyse de quelques morceaux.
O.C. - It's only right : basse en bulle violette
Je viens de découvrir que sur ces trois albums de PIL/Sly/Vald, plane un comme un voile qui détériorerait les couleurs/textures/etc de la synesthésie.
Pour le Vald, je sais pas - je ne le connais pas, mais ça m'étonnerait pas, vu certains trucs de lui que j'ai peu entendre mais... Pour le P.I.L. et le Sly : ça semble presque couler de source, vue la prod salopée/piquetée/polluée (détériorée, justement, comme tu dis) des disques eux-mêmes !
OK, à ce propos (enfin j'espère), y a pas une musique d'ailleurs qui porte le nom d'une couleur... je crois que toutes les musiques que j'aime, elles viennent de là : off course, c'est le Blues ! Là je crois bien que je viens de défoncer une magnifique porte ouverte... Dans le genre Deep Blue très pur, je conseille l'OST du film Rush (par Rico "God" Clapton). Sinon, ça dit rien à personne ce documentaire sur une pointure du jazz (je ne pense pas que ça soit miles, sinon je m'en souviendrai) : l'un des ex-sideman dont j'ai oublié le nom (eh oui, je ne vous donne vraiment pas beaucoup d'indice) rapporte ce truc comme quoi la première fois qu'il a auditionné pour le génie, ce dernier lui fait "OK, c'était vraiment pas mal ton impro, mais tu pourrais me la faire plus Orange", et là quand il réalise que le gars est sérieux, c'est genre "ok, j'arrive vraiment sur un nouveau level"...
Et sinon quand tu pètes, tu vois du marron ?
Gnagna.