Vous êtes ici › Forums de discussionsL'école des fans › Question : pourquoi jazz et classiques générer Frustration ?

Recherche dans les forums


Sujet ou corps des messages :    Auteurs :    


Question : pourquoi jazz et classiques générer Frustration ?

résultats 1 à 20 sur un total de 65 • page 1 sur 4

Message
Gouzi › jeudi 23 novembre 2017 - 20:52

(Jazz et Classique) Précision : ce sujet est sérieux . Après,ne concerne t-il que moi ou pas, ça mérite d'être précisé et je compte sur les avis éventuels.

Après, ce sujet a t-il un quelconque intérêt , la n'est pas la question. Disons que je viens de réaliser un fait dont j'avais pourtant conscience depuis quelque et que finalement , en tant qu'intello qui s'emmerde un peu en ce mois de novembre....

Bref, quand j'écoute du jazz ( j'en ai beaucoup écouté ) et du classique ( ça m'arrive) , je ressens comme une frustration , qui n'est pas exempte de conséquence, vu qu'elle me donne envie de jouer d'un instrument. Ce qui est un peu chiant, vous en conviendrez, vu que je ne demande qu'à écouter de la musique tranquillos en sirotant, éventuellement quelque breuvage à rendre perplexe les vaches ?

Par contre, quand j'écoute de la pop ou du rock ( versant facile, pas expérimental...); je suis comblé, rassasié, aux anges ( ou aux démons en cas d'encas métallique). C'est clair, il y a un truc qui cloche.

Pop et rock sont ils une musique de putes et classique et jazz une musique de ... enfin le genre de truc qui vous incite à vous dépasser, à aller plus loin ?

Y a t'il quelqu'un qui ressent ça dans la salle ou suis-je le seul dans mon coin coin ?

Message
Rastignac › vendredi 24 novembre 2017 - 09:46
avatar

bwof, je sais pas, quand je m'écoute du Slayer j'ai envie de faire du tapping et de headbanguer en balançant les power chords tout en faisant de la double avec les pieds... donc chez moi, c'est pas forcément la musique "non vulgaire" qui me donne envie de faire de la musique. J'ai écouté de la musique avant, pendant, et après de la pratique plus ou moins intensive, c'est lié (en tout cas, tout ça c'était bien avant écrire sur de la musique, là c'est encore un autre truc).

Après, si on pratique la musique, je pense qu'écouter de la musique ça va de soi. C'est comme les écrivains qui lisent des livres., (ps / quelLE que soit leur "complexité", ou le degré de frustration ou de satiété que ça procure). Et puis la musique "compliquée" peut me gaver aussi vite qu'une compilation "hits des années 80"

Message
Everlasting › vendredi 24 novembre 2017 - 12:17

C'est pas très précis ni bien expliqué. Frustré de quoi, que le jazz soit "bien" joué ? C'est sacrément dommage et idiot si tu laisses le jazz t'intimider par ses qualités et que tu opposes ça binairement au pop-rock (faussement).
Ou alors j'ai pas compris.
Il te faudrait sûrement commencer par trouver du jazz qui t'emballe sérieusement, qui t'apporte autre chose qu'un assentiment poli et respectueux. C'est peut-être le problème non ? En tout cas pour moi c'était comme ça, d'abord c'était une appréciation distante et difficile, peu familière, et j'ai "dû" y revenir à deux fois avant de commencer à trouver des passages qui me prennent entièrement. Avec le punk, c'était la même chose d'ailleurs. Le "problème", c'est toujours nous ou les fausses idées qu'on se fait, à mon avis.

Message
dimegoat › vendredi 24 novembre 2017 - 13:39
avatar

C'est peut-être simplement le fantasme de la vie de musicien de jazz ou de classique, qui paraît bien plus mystérieuse, profonde et inaccessible que celle de rock-star. En vrai, ils s'emmerdent un peu (les seconds en tout cas).

Message
Klarinetthor › vendredi 24 novembre 2017 - 15:36
avatar

Je ne saurais pas dire s'ils s'emmerdent vraiment, dans les orchestres, tu bosses tellement les détails tout le temps. Pour avoir répété en orchestre universitaire de niveau débutant, toute la journée des fois le WE, tu vois tout de suite celui qui est a fond dedans et prêt à recommencer un passage 50 fois pour qu'il sonne, et ceux que ça intéresse moins - les temperaments comme le mien et pas mal de gutsiens j'imagine.

Et comme rasti, je fais bien plus d'air drums et d'air gratte sur du bon rock/metal/punk qui tâche que sur des oeuvres plus cérébrales. et pourtant je n'ai aucune pratique régulière de ces instruments de "base" du rock. La seule frustration que j'ai pu ressentir, c'est quand je connais un instrument, et que j'entends quelqu'un en jour à un niveau affolant que je n'atteindrai jamais (ça a pu m'arriver en ecoutant du bird, du coltrane, des concertos pour clarinette evidemment); mais cette petite bile egotique passe vite et la musique, le plaisir du mélomane reprend vite le dessus.

Ma pire frustration musicale, c'est de ne pouvoir écouter de musique correcte pendant plusieurs jours.

Message
WZX › vendredi 24 novembre 2017 - 16:36

Je soutiens Klari, les musiciens d'orchestre sont loin de s'emmerder, même si en apparence certains jouent un quart du temps pendant les concerts. Le temps de préparation, et l'entrainement pour rester au niveau sont difficiles à imaginer. Moi ce qui me frustre plutôt c'est de voir des gens si talentueux jouer un "Répertoire" pas toujours bien excitant. Mais j'ai jamais ressenti ce dont tu parles, Gouzi.

Message
dariev stands › vendredi 24 novembre 2017 - 17:58
avatar

perso ça me le fait de plus en plus avec le jazz, mais moins que jamais avec le classique (qui me touche de moins en moins, j'apprécie de plus en plus les choses frontales, avec le temps...)... La raison est facile à trouver : j'ai fait de la batterie, seul instrument que j'ai vraiment un temps soi peu "appris".

Cela dit je plains quelqu'un qui n'arrive pas à trouver le niveau de "musicianship" (pour employer un terme peu traduisible) du jazz dans le bon rock ou le bon funk actuel ou passé, comme par exemple dans les Melvins, dans Can ou dans Battles, pour citer trois cas pas forcément emblématique. Les Stooges aussi, bref, des choses très basiques aussi. La bonne musique se contrefout des notions de "dépassement" ou de "travail", le feeling passe, en toute simplicité... Du moins je pense. Par contre, quand vous écoutez un disque de hip-hop ou d'éléctro qui vous donne envie de vous mettre à la "M.A.O." (rien que le terme est aussi repoussoir qu'un seau avec une serpillère), là est le signe d'un bon disque !

Message
nicola › vendredi 24 novembre 2017 - 18:05
avatar

Je ne comprends pas le titre du fil.

Message
Klarinetthor › vendredi 24 novembre 2017 - 18:27
avatar

En fait on se demande si le groupe appelé Frustration a bien été engendré par le jazz et le classique.

Message
Gouzi › vendredi 24 novembre 2017 - 20:46

Merci à ceux qui ont répondu. N'envisageant pas de réponses , en repensant à ce topic aujourd'hui ( pas trop accès à GOD en journée) , je me disais : mais qu'est-ce que c'est que ce topic de nase que t'as posté hier soir, passablement éméché. En même temps, je savais qu'il y avait un fond de vérité et je voulais juste savoir, étant donné qu'on écoute un peu de tous les styles ici,mais avec une base plutôt rock, si il y en a qui avait ressenti ce genre de truc.

Alors c'est pas gratuit. A l'époque ou j'ai écouté du jazz, versant 50's et surtout Coltrane, je suis quand même monté à paris chez Selmer pour choisir mon n° ( ben oui, Coltrane jouait sur du Selmer, comme ça se voyait sur je ne sais plus quelle pochette).Bref, pas possible d"écouter du jazz sans en jouer ... En parallèle , j'écoutais un peu de baroque, surtout Bach, of course, et ça allait plutôt dans le sens de cet effet .(du coup, je me suis aussi offert un Soprano, en plus du Tenor, vu que ça permettait un jeu plus rapide : plus baroque, quoi...).

Finalement, le Metal méchant m'a sorti d'affaire , et je m'en suis juste tiré avec une petite guitare ( bizarrement achetée cher un membre de Ange ...). Rien de bien méchant, quoi.

Pi là, je me remet à écouter un peu de classique et puis : Frustration (ok, je savais qu'en mettant un F majuscule, j'allais , perversement, faire penser au groupe en question.... gagnai !!! :) ).

Bon, bref, du coup, je contacte GOD pour m'éclairer sur le sujet.

Mais désolé, je suis un peu trop crevé ce soir pour reprendre vos post, mais je me devais quand même de répondre un peu; histoire de ne pas passer pour troll. A plus, mais franchement, le sujet a t'il une quelque once d'intérêt, j'ai toujours un doute :))

Message
Scissor Man › samedi 25 novembre 2017 - 14:43

C'est un peu comme quand tu fréquentes assidûment les Instants Chavirés et que tu assistes à une soirée spéciale autour du compositeur Tom Johnson (présent sur place). Là, tu réalises que c'est la première fois que tu vois des partitions aux Instants et que tu pénètres dans un univers en apparence très cérébral réservée aux mélomanes (une approche mathématique de la musique a de quoi rebuter) et pourtant, ça devient très vite ludique surtout avec le groupe DEDALUS (trio jazz), tu te retrouves dans une bulle confiné antre Urban Sax et Robert Ashley. Ensuite, à 4 mains, Sophie Agnel et Barbara Dang interprètent Les Symétries, soit une série de 49 pièces très courtes que Tom Johnson a écrites sur la base de dessins qu’il a faits en 1980 (projetés simultanément), utilisant pour cela une machine à écrire la musique. Ces dessins, composés entièrement de symboles de notation musicale, étaient une étude conceptuelle sur la symétrie dans la musique. Là, ça devient cérébral mais pas prise de tête, nuance.

Message
Gouzi › dimanche 26 novembre 2017 - 10:24

Je vais essayer de repréciser le sujet en répondant à la question d'Everlasting

« C'est pas très précis ni bien expliqué. Frustré de quoi, que le jazz soit "bien" joué ? C'est sacrément dommage et idiot si tu laisses le jazz t'intimider par ses qualités et que tu opposes ça binairement au pop-rock (faussement). Ou alors j'ai pas compris. »

Alors le jazz, j'ai eu beaucoup de mal à renter dedans. Ce qui ne signifie pas que j'aie eu à faire preuve de masochisme non plus le jour ou j'y suis rentré. (ça s'est fait tout seul le jour ou j'ai écouté des morceaux de Coltrane post 61 ).

Enfin ça m'oblige à développer une intuition concernant l'impact des différents styles de musique sur des zones assez précises, je dirais, du cerveau sans doutes, mais aussi du corps. En effet, alors à la base, je trouvais que le jazz était une musique assez intello, bref, s'adressant assez au cerveau (un peu moins celui des années 30-40 qui était sans doutes plus fait pour se déhancher). Cotrane, chez qui je ressentais non seulement une certaine tension émotive (un certain sens mélodique sans doutes, cf le jazz modal qu'il a développé avec Miles davis ) voire quelque chose qui s'adressait à une dimension de l'esprit, on va dire pas intello mais d'un niveau supérieur, plus intuitive et liée non seulement à la conscience mais aussi aux sentiments, en quelque sorte). Par contre, sorti de Coltrane et de quelques autres ( certaines période de Miles ou encore Chet Baker ), j'en revenais à ce lien entre jazz ( be bop et post...soit post milieu des années 40,en gros)et intellect, et même si l'impact, en raison du rythme, pouvait aller au niveau du ventre. Et je dois dire que même si ça m'intéressait, l'écoute de cette musique générait en me myself and I une certaine frustration.

Alors il est possible aussi que cette frustration soit liée à l'habitude que j'avais eu jusque là de n'écouter que de la pop ou du rock, toutes époques confondues (mais pas des trucs très expérimentaux). Et ces musiques ne s'adressent pas tellement à mon cerveau, mais plutôt à une zone que je situerais au niveau du bas ventre (siège des émotions assez basiques : sexe , love & rébellion ?).

Le metal,surtout extreme, c'est à dire s'éloignant du rock, c'est une autre histoire. Je situe la zone d'impact au centre de la poitrine ( la zone ou se localiseraient les sentiments , on va dire primitifs, liée à l'instinct guerrier, la haine, la conquête, vengeance , destruction mais aussi liberté, indépendance etc) Bref, ça évite le désagrément de remuer le bas ventre , un peu comme quand on est amoureux ou qu'une clope vous manque... Quelque part, c'est le style le moins gênant,sinon éventuellement pour les oreilles ( humour). ( je reprécise que je parle bien du metal méchant, genre black, death, voire,thrash, et certains dérivés....peut-être moins le doom qui a des racines rock plus marquées). Moins gênant que le rock ou la pop, ou la volonté d'interpeller l'auditeur, éventuellemnt de le séduire, est plus preignante. le métaleux extreme jouerait plus pour expulser que pour harponner, ce qui , paradoxalement, peut rendre la démarche plus sympathique car plus désintéressée.

Le classique, par contre, je trouve que ça s'adresse direct à une zone située au dessus de la tête. Plus impalpable. (alorsune fois de plus je généralise ,car il existe, comme pour tout autre style, des variantes).

En somme,je me demande si la frustration plus marquée, que je ressens parfois en écoutant du jazz ou du classique , plutôt que pour la sphère pop ou rock ne viendrait pas du fait que la musique serait en quelque sorte une nourriture qui s'adresse à différente partie de notre être. Et que concernant pop et rock, cette partie est plus terrienne et palpable que celle à laquelle s'adresserait classique et jazz, qui l'un et l'autre nous inciteraient en quelque sorte à beaucoup plus sortir de nous même, et allez vers une dimension moins terrienne de notre être : soit plus donner la faim que nourrir...

Après, c'est pas tout le temps non plus que ça me fait cet effet mais c'est un constat d'ensemble. En somme, je voulais juste avoir l'avis de certains gutsien , vu qu'ici, l'écoute reste relativement éclectique.

Ok, je suis plus clair, comme ça ( enfin à asupposer qu eje ne soit pas trop ésotérique :) ?

Message
nicola › dimanche 26 novembre 2017 - 13:27
avatar

C’est moi ou tu es en train d’essayer de faire correspondre les styles musicaux avec les chakras ?
Si oui, quel style musical correspond au dernier chakra inférieur (le trou du cul, quoi) ?

Message
Rastignac › dimanche 26 novembre 2017 - 13:40
avatar

Le drone metal? Et même, pas besoin de rentrer dans des cogites indiennes pour que je saisisse mieux le propos car ça marche comme ça pour moi, un peu, aussi. Je vois souvent aussi la musique comme un medoc, par ailleurs. Mais ça va de soi qu'il y à des musiques à visées "physiques" (eh, l'eurodance, ça bouge plus les jambes que Arvo Part

Message
Klarinetthor › dimanche 26 novembre 2017 - 13:40
avatar

le noisecore evidemment!

oué j'ai pas vraiment cette perception des différences musicales associées à différentes parties du corps, mais cette approche est intéressante - et change de la neurologie occidentale qui va juste associer des zones du cerveau activées par des frequences ou des types de musique. Pour moi il me parait évident que le corps est affecté par la musique de diverses façons, directes (physique, vibrations, sur l'eau sur les cables qui nous sous-tendent) et indirectes par le biais du système endocrine (les adrenalines, endorphines,...).

Message
nicola › dimanche 26 novembre 2017 - 13:49
avatar

Ce genre de correspondance me semble tiré par les cheveux. Déjà, j’ai peu confiance en une correspondance avec de prétendus chakras, alors vouloir faire correspondre de force la musique (et les styles !) avec…

Message
Gouzi › dimanche 26 novembre 2017 - 14:49

je n'ai pas fait allusion à des éventuels chakras, hein... Mais juste un lieu impact tel qu'il m'est déjà arrivé de le ressentir.

Après, j'aurais pu aussi parler de certains (rares) morceaux qui me font des sensations au niveau du cuir chevelus ( en général, c'est des morceaux que j'adorasse), limite si je sens les cheveux qui se hérissent.

Et du coup, sans que j'ai jamais approfondit le sujet, il me revient un truc dont j'ai entendu parler comme quoi la zone de l'estomac serait un peu comme un second cerveau ( cette zone, le classique me l'a rarement touché; la jazz un peu et la pop ou le rock, assurément ). Du coup, je viens de chercher rapidos sur le net et voici un lien plutôt intéressant sur le sujet (il y en a bien d'autres , vu que les résultats de cette recherche ont été repris par diverses publications): http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2013/02/15/cerveau-vos-entrailles

On est encore loin de comprendre tout le fonctionnement de notre corps, et à priori de notre être. Mais tel n'était pas mon propos,en lançant ce sujet ...disons qui tenait plus à la curiosité qu'à autre chose.

Pour le chakras du trou du cul, c'est pas la musique à chier qui manque, surtout aujourd'hui; allume ta radio et la purge ne devrait pas tarder :)

Message
Everlasting › dimanche 26 novembre 2017 - 21:17

Plutôt qu'une histoire de chakra, j'avais l'impression que c'était plutôt une manière de suggérer qu'il y a de la musique cérébrale, émotive, viscérale / passionnelle, de sensibilité. C'est très bien, mais à mon avis chaque genre fait appel à ces différents aspects. Le jazz par example, je le restreindrais pas. C'est la plèbe qui pense qu'il y a de la musique sérieuse opposée à la musique populaire et dansante. Un gustien bien élevé devrait même faire exactement l'inverse, par esprit dada de consciente contradiction: rire et se trémousser sur du Xenakis ou du Sun Ra, et écouter avec le plus grand sérieux une mélodie pop sucrée et légère (mais ma foi, les gutsiens sont mal-élevés).

Message
nicola › dimanche 26 novembre 2017 - 21:51
avatar

Au Jean Sébastien snack on le rencontre quelque fois
Il dîne d’un piano chips et d’un sorbet d’Habanera
Il roule en bi bop loola
Il se fout du style
Il n’est pas très doué pour ça

Message
Gouzi › lundi 27 novembre 2017 - 20:48

"Plutôt qu'une histoire de chakra, j'avais l'impression que c'était plutôt une manière de suggérer qu'il y a de la musique cérébrale, émotive, viscérale / passionnelle, de sensibilité. C'est très bien, mais à mon avis chaque genre fait appel à ces différents aspects."

C'est vrai mais la dose varie aussi selon les genres. Si tu prends de la pop, ça se répète quand même, une fois le versant mélodique (plutôt émotif en général) trouvé. Le jazz, ça improvise en se respectant plus ou moins certaines gammes; donc le cerveau va d'autant plus fonctionner, sans parler de la technique .

Pareil, le classique, c'est pas mal de l'impro', à la base, à mon avis, mais ensuite retravaillée pour la cohérence harmonique et tout ... Du coup, le cerveau gauche ( logique ) fonctionne, avec le coté mathématique qu'on retrouve moins dans des styles plus simples