Vous êtes ici › Forums de discussionsL'école des fans › L'érotisme gutsien

Recherche dans les forums


Sujet ou corps des messages :    Auteurs :    


L'érotisme gutsien

résultats 21 à 38 sur un total de 38 • page 2 sur 2

Message
Dioneo › vendredi 8 octobre 2010 - 15:45
avatar

Ben si on part de là...

Ou pour ceux qui préfèrent les burgers douteux aux okonomiyaki lysergique :

Mais bon...

Message
Everlasting › vendredi 8 octobre 2010 - 15:50

mouahaha le fantasme des rappeurs sur la statue de la liberté. c'est mega cool. America's a bitch
da vintage

Message
Dioneo › vendredi 8 octobre 2010 - 16:06
avatar

Y'avait eux, aussi, dans le meilleur des goûts...

Etc...

Message
dariev stands › vendredi 8 octobre 2010 - 16:19
avatar

ah les ohio players... les seigneurs du gatefold érotomane... et le contenu est pas mal non plus, si on aime le fonque...

dans les acid mothers, ma préférée c'est celle-là, envoyée en guide de carte postale à mon disquaire préféré, après avoir acheté le skeud à un concrt à liverpool

sinon en érotisme gutsien, y'a elle :

hecate - the magick of female ejaculation

Message
Dioneo › vendredi 8 octobre 2010 - 16:21
avatar

(Je la vois pas !)

Et oui, les Ohio, y'a pas que de la cover.

Message
cyprine › dimanche 10 octobre 2010 - 01:10

mouais...

Message
Raven › dimanche 10 octobre 2010 - 02:57
avatar

vous confondez un peu érotisme et nudité non ?

Message
Gesarkhan › dimanche 10 octobre 2010 - 15:18

Message
cyprine › dimanche 10 octobre 2010 - 17:40

vous confondez un peu sodomie et érotisme non ?

Message
varg › dimanche 10 octobre 2010 - 23:29

cette question a été traitée en long, en large et en travers dans le topic blockbuster de Tommy "mais qu'est ce qui vous a rendu si gay".

Message
Lord Tom › lundi 11 octobre 2010 - 01:52

en long en large et en profondeur surtout

Message
Jacques Capelovici › lundi 11 octobre 2010 - 15:45

J'étais en ce temps-là élève au lycée de D..., je finissais péniblement ma scolarité dans une classe de terminale et cette fin d'études allait se concrétiser avec le baccalauréat que j'avais à passer dans quelques mois. Depuis plusieurs jours déjà, je croisais des regards lascifs avec une jeune fille aux cheveux noirs que j'avais baptisée : la grecque. Elle avait dans le regard une expression si profonde que j'étais tombé immédiatement amoureux d elle. Un matin, alors que je m apprêtais à monter en cours par l'escalier habituel, j’aperçus ma petite grecque qui descendait le même escalier. Je me dirigeai vers elle et j'escaladai lentement les marches. Nous nous regardions fixement. Le fait qu'une soixantaine d'élèves montaient les escaliers en même temps que moi me donna confiance. Je pourrai, me disais-je, profiter de la cohue pour poser mes jalons. Le regard langoureux qu'elle me lançait faisait frissonner gentiment ma pine. J'avançais, poitrine en avant. Je me sentais splendide, irrésistible. J'arrivai bientôt à sa hauteur et je levai le bras vers son visage afin de lui passer ma main sur la pommette. Mais le geste que j'accomplis fut si maladroit que, tout en prenant conscience de 1'aberration du contact entre ma grosse patte moite et collante et la peau délicate de la jeune fille, je m’apercevais que je venais de lui enfoncer le pouce dans l'œil gauche. Elle poussa un cri aigu et son visage prit l'expression du mépris profond. Tout le monde s’était retourné vers moi. Ma main était restée à la hauteur du visage de la grecque. Un rire général éclatait. L’humiliation que je ressentais avait atteint les limites de 1’insupportable. J étais tellement grotesque... Je regardais ma main ! Cette grosse main moite était bien la mienne, j'en étais conscient à un tel point qu'elle me parut étrangère ! Brutalement. Je fus pris d une panique extrême, je m’enfuis. Il me semblait que je résidais entièrement dans mon membre supérieur droit. Je courais dans le couloir. Je me sentais très lourd. Ma course me parut très lourde. Je me dirigeai vers les chiottes et je m'y enfermai. J'avais complètement perdu le contrôle de moi-même ; je sentais qu'un dédoublement s'effectuait en moi. Je n'agenouillai sur le carrelage en appuyant 1e front sur le mur. J’entendais déjà des pas à la porte et des chuchotements. Je fermai les yeux et je pétai longuement sans bien m'en rendre compte...

Message
Jacques Capelovici › lundi 11 octobre 2010 - 15:46

Le pet que je venais de produire avait été très bruyant et il ne se pouvait pas que les gens derrière la porte n'aient rien entendu. Un silence eut lieu. Il me semblait que le sol basculait sous moi. Je sentis des picotements de sueur à la racine des cheveux. J'eus la nette impression que je m'étais séparé de moi-même. Je me rapprochai de la cuvette du W.C et j'y appuyai le menton. Je me rappelai que cette chiotte était utilisée uniquement par les filles. Je léchai longuement et sur toute leur superficie les bords blancs et émaillés de la cuvette car je savais qu'un cul féminin s'était posé là. C'est alors que j'aperçus, au fond, une magnifique crotte. Je la contemplais plusieurs secondes. J'engouffrai mes deux mains dans la cuve d'émail et saisit la crotte ; elle était lourde, lisse et parfaitement moulée. Mes mains maintenant la contenaient. Je la soupesai. Je la rapprochai de mon nez .pour la sentir. Je passai la main droite sur la crotte comme si c’était le visage de ma petite grecque. Dire que cette crotte avait glissé dans un anus féminin et ce trésor je le contenais, il était bien à moi. Mon corps se mit soudainement à trembler. Je sentis comme un frissonnement dans le sexe. J'ouvris ma braguette et je sortis ma pine et elle se leva : je bandais ; jamais sans doute je n avais bandé aussi fort ; jamais sans doute mon sentiment de culpabilité n'avait été aussi lourd. Je saisis ma pine de la main gauche et la branlai rageusement. Je regardais fixement la crotte et je sentais monter une jouissance amère. Je pressai sur la crotte et l'écrasai dans la main, la merde remontait et passait entre les doigts. Je bourrai tout dans ma bouche. Je mâchais cette merde aussi furieusement que je me branlais. J'essayai d’en avaler une partie mais le bren me collait à la gorge. J'eus brutalement une atroce nausée. J'éprouvai un dégoût violent. L'envie de vomir m’envahissait. II fallait absolument que je dégueule cette boue fade. Je crachai du fond de 1'arrière-gorge. Des filets de bave s’allongeaient depuis ma lèvre inférieure jusqu'au sol. Je heurtai le mur, du front, avec violence et le mur résonnait dans mon crâne. Je m'enfonçai la main entière dans le fond de la gorge. Le vomi fusa convulsivement. Le premier jet fut vert et alla s'éclater sur le mur. Le dégueulis partait en même temps par le nez et la bouche. La douleur était insoutenable et se concentrait, par crampes, dans les yeux. Mes paupières étaient fermées. Je cueillis au hasard le dégueulis dans le creux de la main droite et je m'en barbouillai le visage. Je récupérai quelques caillots de merde que je roulai avec le bout des doigts ; je les vissai dans le fond des oreilles. J'éjaculai dans l'autre creux de ma main par longues saccades. J'ouvrai la bouche de plaisir. Ma tête tomba vers l'arrière. Je portai la main à la bouche et bus mon sperme dans une aspiration religieuse et convulsive...

LA CROTTE de K.Schmitt

Message
born to gulo › lundi 11 octobre 2010 - 16:01

tu m'en diras tant

Message
ericbaisons › lundi 11 octobre 2010 - 16:06

http://www.rue89.com/2010/10/11/dans-une-prison-bulgare-avec-des-types-tres-affectueux-170512

Ca commence comme une banale scène de critique interviewée de la vie en prison, et ça finit le mec se paluche au milieu de 30 narco des Balkans qui l'excitent, cela au milieu d'une police bulgare tout droit sortie de Largo Winch. Erotique, sombrex, gay over the top, donc indubitablement et simplement gutsien. Des sensations pures! Apres avoir lu ça j'ai écouté Queen et j'ai tenu 30 minutes. record battu

Message
Jacques Capelovici › mercredi 10 novembre 2010 - 21:42

Message
GrahamBondSwing › samedi 21 août 2021 - 22:25

titre de l'image

Une envie de partager cette pochette sexy d'un bootleg de Led Zeppelin... Il s'agit d'une photo de Charlotte Rampling dans le film le "portier de nuit" (que je n'ai pas vu).

Message
Warsaw › lundi 23 août 2021 - 10:51

Message édité le 25-08-2021 à 09:33 par chris