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Les films que vous avez vu

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(N°6) › dimanche 6 octobre 2019 - 15:42
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Un bon petit film du Dimanche après-midi : Docteur Petiot - Christian de Chalonge (1990)

"En tout cas tous les médecins sont juifs… Enfin le docteur Petiot c'est pas sûr". Desproges.

Très influencé par l'expresionnisme allemand (la référence au Nosferatu de Murnau est affichée dès l'intro) mais sans les moyens de mise en scène, le film tiens surtout par la performance hallucinée de Serrault, pas exactement dans la retenue, mais c'est voulu, en abominable et terrifiant psychopathe collabo. Y a quand même un certain sens du décor, ces anciennes usines et souterrains, ce cabinet à portes dérobées et oeilleton pour surveiller l'agonie. La musique synthétique de Michel Portal est pas mal non plus, ça drone parfois de façon très inquitétante, y a des bruits de couteaux qui s'affutent, y a un tango de la mort joué au moment fatidique. Incroyable et répugnante vie que celle de Petiot, que Serrault incarne comme un aliéné pervers et mégalo capable de se comporter en bon père ou bon médecin de famille (avec la petite fille malade), avec néanmoins toujours cette touche qui fleure bon le borderline. La dernière scène où les familles des victimes viennent chercher les affaires de leurs proches réparties dans un hangar est assez forte dans ce qu'elle évoque de l'époque et du massacre à plus grande échelle… La déprime (d'où bon film dominical d'automne)...

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Gouzi › dimanche 6 octobre 2019 - 20:34

"La vie des autres" ce soir sur Arte.

Un des 3 ou 5 meilleurs films vu ces 15 dernières années. Pas le souvenir du moindre défaut.

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(N°6) › samedi 12 octobre 2019 - 11:36
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Dans la série "pas trop trve" : Lords of Chaos - Jonas Akerlund (sans le rond sur le A parce que les caractères spéciaux ne marchent pas)

Le film le plus attendu par Guts of Darkness depuis l'aube des temps. Le côté "illustrons la page Wiki sur le Inner Circle" est bien faite. C'est le propre de tous les mauvais biopics, c'est à dire de la majorité des biopics, le seul truc rigolo c'est de reconnaitre tel personnage, tel lieu, tel anecdote saillante. C'est faire des vignettes folkloriques. C'est particulièrement vrai dans la première partie avec Dead. La lettre avec le rat crevé dedans, Dead se taillade les veines, Dead dors dans un cercueil, Dead is dead. Pour le reste, le film oscille entre teen-movie et slasher, avec des persos dont l'épaisseur psychologique à la consistance du necro-sound. Enorme white-washing autour d'Euronymous, parce que c'est le "gentil", qui apparait cependant probablement comme ce qu'il était, un petit malin avec une grande gueule vite dépassé par les évènements mais trop con/lâche/cynique pour arrêter la dérive. Plus marketeux que Charles Manson. C'est le seul truc un peu intéressant que je consens à donner au film, avec une vraie bonne réplique à la fin quand il se fait surriner par Varg : "I just talk." Varg. Oh la la. Ok, soyons honnête, y a un petit plaisir à le voir se faire ridiculiser de la sorte. Un type ingrat, sorte de vegan à tendance sociopathique qui passe de quasi-asperger à super méchant qui crame toutes les églises du coin et fourre de la schneck à volo en l'espace de quelques minutes, et qui se fait un p'tit chocolat au lait entre deux coups de poignard.

Si Rory Culkin est pas mal du tout en Euronymous, même si ça lui donne un côté "Maman j'ai raté Mayhem", le cast est globalement à la ramasse, Varg en tête. Y a Skye Ferreira et son charme un peu petit épais qui apporte la touche de boobies et de tendresse et d'humanité à l'histoire et désigner sans faille que Euronymous, c'est pas le mauvais gars tavu (dans un perso totalement apocryphe, mais pas de teen movie sans la girlfriend quoi). L'assassinat de Lillehammer est filmé avec une immense complaisance, sans le moindre point de vue, sinon celui d'en rappeler la sauvagerie, mais là encore c'est de l'illustration, il n'en fait rien. Faust reste un quasi-débile qui passe à l'acte sans qu'on sache qui c'est. Hellhammer joue les figurants (au moins il dit pas "Ouais, t'as bien fait de tuer ce pédé" comme dans Until the Light Takes Us...). J'ai pas reconnu Fenriz. Les scènes d'hallucination de Euro sont d'un grotesque fini, plus clicheton à base de jump-cut dans les bois tu meurs. Mais bon ça se regarde, c'est une sorte de nanard sympatoche qui parle finalement quasiment pas de musique (c'était difficile vu que quasiment personne ne leur a filé leurs droits, du coup t'as du Sigur Ros, pour faire ambiance), qu'est un peu rigolo comme un tour à Euronymous Disney, qui survole le côté vraiment glauque de tout ça et n'a rien à en dire. Mais bon, c'est pas tous les jours que t'as un film avec les protagonistes des toutes premieres chro de GoD non plus.

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born to gulo › samedi 12 octobre 2019 - 12:00

C'est pas faux, mais j'ai bien aimé.

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(N°6) › mardi 15 octobre 2019 - 20:30
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Dans la série "pas revu depuis le ciné" : Miami Vice - Micheal Mann (2006)

Téma ma stache, disait Colin Farrell et sa tronche de bougon perpétuel. Avec un Jamie Foxx plus sexy tu meurs d'arrêt cardiaque (ahhhh, les scènes de boule avec Naomie Harris, l'argument fan-service pour toute la famille), voilà les deux flics amis-amis version Mann sur grand écran, à savoir intrigue de Traffic et d'inflitration, avec histoire d'amour interlope avec la classieuse mais un peu prude Gong Li, égérie du cinéma chinois d'auteurs à festival (Zhang Yimou, devenu VRP du régime, et Wong Kar Wai, célèbre réalisateur de vaporwave en devenir). Méga chiadé comme du Mann, c'est un film où tu vas en hors-bord de go-fast savourer ton mojito à la Havane. Avec une méga-scène de sauvetage d'otage dans un trailer. Et puis en revoyant ça, je me suis souvenu que Mogwai avaient quand même signé quelques titres qui tuent, ce qui n'est pas la moindre des choses. Avec son côté exercice de style, le dernier vraiment bon Mann à ce jour ?

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Raven › mercredi 16 octobre 2019 - 20:24
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Pas sûr qu'il soit nettement meilleur que Public Enemies (il est certain qu'il est tout nase à côté de Collatéral), encore plus formel, mais oui, la stache porno-compatible du Colin "Rodriguez Père & Fils" (même si celle de Lambert dans Vercingétorix reste insurpassable de stachitude maximale), les scènes de cul... d'ailleurs c'est la scène dont je me souviens le plus du film (hors l'intro supra-putasse sur du Linkin Park en boîte) celle où il fait mine de jouir avant de re-limer, trololol... Mann, cinéaste romantique.

De mon côté, comme je suis la tendance des réseaux sociaux je suis allé voir Joker qui passait en VO (aucun film passe jamais en VO dans mon bled). Ben c'est de la merde, sur à peu près tous les plans, fond forme, Concept (oui avec la majuscule), dès que le titre en très très gros qui prend toute la place de l'écran est tombé - ça se fait encore ça ? je croyais que c'était une mode des années 2000 pour les "auteurs cannois" - j'ai compris que ce serait pénible... Joker d'Auteur, lol... La grosse musique funéraire au violoncelle de l'islandaise qui a fait Tchernobyl, omniprésente et surlignant chaque scène déjà bien lourdingue de glauquerie cliché post-90's sous-Fincher mon cul sur la commode, quand c'est pas du pseudo-film dramatique 70's, achève la lourdeur totale et la superficialité du bousin... C'est un beau gâchis cette réduction au niveau "loser rêveur seul contre tous" archi-vu et revu, vu les possibilités quasi-infinies qu'offrait ce personnage. J'ai jamais été branché comics mais le Joker c'est le méchant emblématique, malsain-magnétique, avec un côté Fantômas psychopathe ; mais au lieu de broder un film un peu cintré et imaginatif sur cette manne ridicule des "films de genèse" ils ont ramené le truc à un niveau gravement sérieux et pontifiant encore plus relou que Dark Knight, qui se la jouait déjà pas mal "allégorie de l'amérique parano ultra-flicarde post-11 septembre".

En gros le joker 2019 est en mode "boloss / caliméro" et lui surfe sur les manifs anti-système en vogue (difficile de pas penser aux gilets jaunes sur le final, c'est clairement de la GJxploitation - ah les cons !) et les tueurs solitaires qui veulent leur minute de gloire en streaming live. Joaquin Phoenix se contente de faire des rires forcés ou de meubler en improvisant des danses de mec bourré, grotesquement filmées au ralenti par ce gros péteux de réalisateur de comédies trash qui veut être "arty", et pour la caution "performance" il a maigri comme Bale dans The Machinist... d'ailleurs en parlant perf façon actor's studio y a le tronpa, papy De Niro, qui joue un présentateur cynique à la Larry King - un des rares bons trucs du film- et on pense aussi par moments à Taxi Driver pour la montée de violence en crescendo du film, et parce que De Niro tient ici le rôle radicalement opposé à son Travis Bickle (y a aussi le gros clin d'oeil du doigt sur la tempe) mais juste en beaucoup plus maladroit et lourdaud... Y a quelques passages pas trop mal (le coup de la carte handicapé "fou rire pathologique", la scène cauchemardesque dans le métro qui fait très Échelle de Jacob, la rencontre avec le petiot Batman), mais c'est cynico-pompeux et complaisant au possible... et loooooong, heureusement que j'ai eu envie d'aller pisser, au moment où joker phénix il descend les marches en se prenant pour Michael Jackson-Rocky sur le tube de Gary Glitter... Y a même du gros twist avec des flashbacks au cas où t'aies pas pigé qu'il imaginait sa réalité à lui le gars... Série B rance direct-to-DVD de fond de buraliste, allez, aussi craignos que le film sérieux de Michael Youn sur son comique raté qui vire psychopathe, sans aucun doute, d'ailleurs les maquillages de Joker Phoenix sont du même niveau... Pour citer celui du vieux Batman joué par Nicholson : de la merde de la merde de la merde !

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(N°6) › mercredi 16 octobre 2019 - 20:35
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Ben putain, déjà que ça me faisait pas du tout de l'oeil...

Au passage, on est d'accord que The Dark Knight aura été une catastrophe à longue échelle, en ce que ça a convaincu Hollywood, la critique institutionnelle et ce troupeau de mouton de public que tout blockbuster se devait maintenant d'être trop dark et trop sérieux avec du trauma et trop du commentaire sociétal sur la société post 11 Septembre de notre monde contemporain trop dark que même Noam Chomsky il va au MegaCGR acheter ses popcorns en relisant Bourdieu mais pas trop non plus sa mère la pute ?

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born to gulo › mercredi 16 octobre 2019 - 20:45

Ha bah tiens, hier j'ai maté bon gré mal gré Maléfique, à la téloche... Alors la façon dont ça tourne est plutôt pas bête (enfin, toutes porportions gardées), mais la très grosse partie du film c'est quand même "Ouah même la Belle au Bois Dormant elle a sa version blackened pour le monde d'aujourd'hui", avec les gros emprunts au Seigneur des Anneaux, Game of Thrones et... Batman.

Comme dirait le pote à Donnie dont j'ai oublié le nom : "j'te raconte pas".

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Raven › mercredi 16 octobre 2019 - 20:50
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Haha... Bientôt au rythme où ça va ils vont faire une version traumatique de Dora l'exploratrice, la genèse du pourquoi du comment. Dans son sac à dos, tout le poids de sa souffrance. Ou une go-pro et un mini-gun. Enfin un truc dark qu'on a pas vu venir et qui fait sens dans le monde actuel.

Tiens puisque je parlais de la mode des films "MachinBidule - les origines" dans les bande-annonces qu'on s'est fadé, toutes plus gênantes ou insipides les unes que les autres, y avait... "La Vérité si je Mens - les débuts". Oui, Serge Benamou en version ado, pour re-vendre le truc à la génération Z. "Facepalm" comme y disent.

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born to gulo › mercredi 16 octobre 2019 - 20:53

Y a plus évident à faire en priorité : le film où Caliméro montre à Batman comment NOIR C'EST NOIR ENCULEUR DE MAMANS

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(N°6) › mercredi 16 octobre 2019 - 22:02
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Nan mais c'est tellement tout ça. Je blame l'entrisme de la psychanalyse, cette fake-science, dans les milieux intellectuels.

Le prequel de "La Vérité si je mens", c'est la terreur et la tristesse de la production cinématographique française dite populaire moderne. C'était pas la joie y a quinze ans, mais comment ça s'est pété la gueule... En plus tu te remates le clip de David et Bensoussan "Qu'est ce que tu vends pour les vacances ?" et tu l'as le prequel...

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Raven › mercredi 16 octobre 2019 - 22:49
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Ah ça les comédies françaises c'est plus de la bande-annonce, c'est de la débande-annonce... là vu le niveau de brainstorming, il est tout à fait possible de voir un Jacquouille La Fripouille Les Origines, en trois parties.

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saïmone › jeudi 17 octobre 2019 - 15:24
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La psychanalyse te dirait sans doute qu'en ces temps d'absence de Père Symbolique (ouvrant la porte aux Pères de Papiers s'illustrant dans les populismes qui grimpent à travers le monde), notre monde saturé par l'image ne pouvait que logiquement s'intéresser aux Origines de chaque parlêtre, s'incarnant dans la dérive métonymique (c'est à dire au plus près du langage) des créations cinématographiques concernant l'Origine des Figures Populaires Mythologiques.

Alors qu'en fait on veut juste faire sortir le jus jusqu'à la dernière goutte, pour la faire boire jusqu'à la lie pour, avant la fin du monde, jouir un dernier petit coup (merde ça aussi c'est psychanalytique)

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(N°6) › jeudi 17 octobre 2019 - 15:55
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Ah ah mais bordel ! C'est comme le sketch de Tranxen 200 quand ils causent matos, j'ai jamais su si c'était du bullshit ou si c'était écrit à base de vrais infos techniques (ce qui serait encore plus drôle). Bon au final c'est bien sûr du bullshit, mais faut pas le dire trop fort...

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(N°6) › samedi 19 octobre 2019 - 23:18
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Dans la série "performance d'acteur légendaire" : D'après une histoire vraie - Roman Polanski (2017)

J'ai jamais vu un truc comme le jeu d'Eva Green dans ce film. A sa décharge, je pense que c'est totalement la faute de la direction d'acteur de Polanski, parce que la scène où elle cesse de faire ses yeux de grosse méchante et globalement d'en faire un milliard de caisse, elle est plutôt pas mal. Pour le reste c'est complètement dingue, c'est à se rouler par terre tellement elle surjoue la vilaine perverse qui fait peur. Y a une scène que je sauve, c'est celle avec Brigitte Rouan (putain, comme elle a une tête de mamie) à la station service. Sinon, c'est un naufrage comme on en fait rarement de la part d'un réal aussi bon que Polanski. Eva Green forever.

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Raven › dimanche 20 octobre 2019 - 00:33
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Dommage sa Vénus était top ; j'ai matté la b-a du coup... oula, puissante odeur nanardesque en effet ! Miss Peregrine est plus sexy que Kathy Bates, mais ça a clairement pas l'air d'être au niveau de Misery (même si ça a l'air casse-pieds...hem)

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Scissor Man › dimanche 20 octobre 2019 - 12:39

Nanardise en effet. Faut surtout pas le voir après avoir lu le bouquin de Delphine Le Vigan. J’étais consterné, tout ce qui faisait l’intérêt du livre (le syndrome de la page blanche après le succès, les lettres anonymes, ambiguïté entre fiction et réalité, toute la montée en puissance de ce personnage intrusif et trouble ; la copine dont on ne sait rien, qui porte les mêmes fringues, tout ce qui ressemble de loin ou de près à JF partagerait appartement, bref la qualité première du bouquin, tous ces chapitres sont gommés, expédiés, sacrifiés pour ne retenir que la dernière partie à la campagne avec un médiocre virage à la Misery, version téléfilm régional de France 3. Le problème n’est pas seulement la direction d’acteur, Eva Green peine à convaincre c’est certain, c’est surtout le parti pris de Polanski, vider le livre de tout ce qui pouvait faire son charme constitue une erreur de taille qui rend le film grotesque et drôle, involontairement.

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(N°6) › jeudi 24 octobre 2019 - 15:00
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Dans la série "film de la Toussaint" - Force majeure - Pierre Jolivet (1989)

Drôle de film. En gros, Cluzet et Bruel apprennent que leur ancien compagnon temporaire de voyage est enfermé en prison (en Thaïlande ?) et qu'il sera exécuté sous 7 jours si ils ne se livrent pas aux autorité pour prendre en charge une partie de la responsabilité (ils leur avait laissé comme des cons leurs doses de beu avant de quitter le pays, le faisant passer pour un trafiquant) et donc de la peine (deux ans). Grosse question métaphysique du coup. Sauver un homme et sacrifier une partie (ou toute, on sait quand on part mais pas quand on revient) sa vie ? Ou pas. Bruel est bien en étudiant matheux un peu paumé et fragile confronté à une situation impossible. Cluzet fait du Cluzet en prolo lillois hableur et fort en gueule, qui n'hésite pas à vendre son histoire à la presse (là-dessus le trait est un peu grossier mais sans doute réaliste) mais ne cesse de changer d'avis sur ce qu'il doit faire, tentant de se rattacher à une famille de circonstance. Y a Kristin-Scott Thomas qui vient tenter de les convaicre, en ex du condamné à mort peut-être un peu rongée d'une part de culpabilité (il s'est barré à cause d'elle). Bon y a de quoi donner à réfléchir. La réal est un peu service minimum (Jolivet n'a jamais été un réal particulièrement habile), le ton est grisâtre (film de Toussaint bonjour), la musique de Jannick Top est bien dégueulasse et bien de son époque, la fin tombe comme un couperet, mais ce qui est intéressant c'est cette étude de la nature humaine à travers un sujet quand même hyper chargé en terme de questionnements profonds. Drôle de film.

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Rendez-Moi2 › dimanche 27 octobre 2019 - 07:22

Salut tout le monde, question pour les connaisseurs de Nicolas Cage aka crazyface : quels sont ses performances les plus folles ? Je viens de voir Wicker Man et c'était ouf, j'ai vu Volte Face, le film où il est en ripoux en Louisiane, Con Air, Leaving Las Vegas, Mandy (quil était dingue) et j'en oublie sûrement mais je veux le voir faire des explosions avec son visage <3

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Alfred le Pingouin › dimanche 27 octobre 2019 - 10:06

Vampire's Kiss, d'où sortent la plupart des mêmes qui tournent sur lui, et Bad Lieutenant de Herzog sont des grosses tueries.