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Les films que vous avez vu

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Raven › jeudi 9 mai 2019 - 18:52
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Prolifiques ? Mocky > Woody !

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(N°6) › jeudi 9 mai 2019 - 18:56
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@zenith : Une citation qui va te donner du grain à moudre, il disait (après, je pense qu'il faut y voir un petit peu de fausse modestie également, quoiqu'il semble juger ses films toujours très très durement) que entre faire une dernière prise en fin de journée ou filer chez lui pour voir le match des Knicks, y avait pas photo.:)

@Raven : j'aime bien Mocky, mais faut pas déconner non plus !

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born to gulo › jeudi 9 mai 2019 - 19:03
  • Knicks
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Aladdin_Sane › jeudi 9 mai 2019 - 19:35

"Les branleurs à la Leos Carax qui pondent une bouze artypouet tous les quinze ans sur laquelle s'extasie la presse cultureuse et les plus constipés des cinéphiles, ouais, ça c'est pas du boulot, par exemple".

Vraiment, je ne pense pas qu'on puisse dire ça de Carax (en tous cas, pas de tous ses films), à part si on a été piqué au vif ou alors qu'on est d'une sacrée mauvaise foi mais bon, je reconnais que ma phrase était également au départ un simple exercice de provoc' à deux balles. No offense.

Sinon, pour revenir au sujet de ce topic, un film fantastique intéressant pas très connu me semble-t-il :

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(N°6) › jeudi 9 mai 2019 - 20:28
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@gulo : bah, ça se prononce pareil. Corrigé. De toute façon j'y connais rien en baseball

@alladin : c'était la même mauvaise foi (même si j'aime sincèrement pas Carax)

Dans la série "la lose" : MILF - Axelle Laffont

Déjà, c'est dire à quel point l'industrie pornographique a conquis la société. MILF quoi. Après, j'aime bien Axelle Laffont. J'y reviendrai. Ensuite, j'aime bien Marie-José Croze. Et puis y a Ledoyen, qui joue en général pas bien dans de mauvais films (elle est bonne dans ce chef-d'oeuvre qu'est La cérémonie, comme par hasard). Soit trois bourgeasses bien tapées (oui ben le titre étant pas classe, voilà, d'autant qu'objectivement c'est trois bombes à l'écran) qui viennent vider une maison de vacances et chassent du petit jeune. Ca a tout pour être un gros nanard (Ledoyen, déjà, mauvais signe). Et c'est pas si mal, pour peu qu'on goûte l'humour volontier pas délicat de Laffont. Non, franchement, c'est pas si mal. C'est même un peu tendre, dans le fond, et les vieux comme les jeunes s'en prennent une bonne ration. Big up à la scène où le djeun (idiome de ieuv que je suis) éduqué à Jackie et Michel veut faire squirter Marie-Jo parce qu'il croit que ça se passe comme ça dans la vie réelle. Et puis je sais pas, comme je disais, je vais voir sur la page Wiki d'Axelle Laffont, et c'est un peu l'exemple type qui montre que c'est pas parce que t'es une fille-de que c'est forcément plus facile, même en étant ni moins talentueuse ni moins mignonne qu'une autre (Camille Cottin par exemple, la nouvelle chouchou qui perso ne m'a jamais arraché un sourire et qui a fait sa réputation en pompant son concept sur Jean-Yves Lafesse, le talent en moins). Une série de projets qui marchent moyen ou pas du tout. Son film est sorti des écrans en deux semaines. Alors que bon, j'ai vu mille fois pire faire des tonnes d'entrées. Bref. J'aime bien Axelle Laffont. Et son film est pas si mal. Malgré Ledoyen.

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born to gulo › jeudi 9 mai 2019 - 20:47

T'inquiète, moi je croiyais que tu parlais de l'équipe de basket-ball #trueanddumber. Toutes les équipes new-yorkaises s'appellent les Knickerbockers en fait ?

Edit : instant culture

"Les knickerbockers1 appelés souvent en raccourci knickers, sont une forme de culottes bouffantes maintenues au niveau des genoux et qui fut à la mode dans le premier tiers du xxe siècle dans l'habillement occidental. Il pouvait également être porté par les dames souvent dans un tissu plus fin. Si les knickerbockers sont passés de mode, ils sont toutefois encore portés parfois de nos jours. Il ne faut pas confondre les knickerbockers avec le pantalon de golf tel qu'en portait Tintin qui descend au-dessous du genou.

Knickerbocker, également orthographié Knikkerbakker, Knikkerbacker, Knickerbacker, est un nom qui a été popularisé en 1809 par Washington Irving, dans son livre satirique The history of New York écrit sous le pseudonyme de Dietrich Knickerbocker, écrivain snob qui se vêtait de la sorte, et qui fait remonter son nom aux premiers colons de la Nouvelle-Hollande.

À la mode en ville dans les années 1930, le vêtement s'allonge (« plus two » : + 5 cm, ou « plus four » : + 10 cm), avant de tomber en désuétude à partir de la décennie suivante, même si quelques rares maisons de mode continuent à en fabriquer au XXIe siècle2.

Le terme a également désigné l'aristocratie de Manhattan et de façon générale, désormais obsolète, un New-Yorkais"

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(N°6) › jeudi 9 mai 2019 - 20:49
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Je parlais bien de l'équipe de basket, Woody est un fan de basket, mais j'essayais de faire une vanne. Fail.

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born to gulo › jeudi 9 mai 2019 - 21:05

Non, mais c'est moi, c'était fait avec brio.

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(N°6) › jeudi 9 mai 2019 - 21:34
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Avec qui ?

(c'était plus fort que moi)

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dimegoat › jeudi 9 mai 2019 - 21:38
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Excuse me motherfuckers, can I beg your pardon. I'm gonna see the Knicks at Madison Square Garden

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zenithzahir › jeudi 9 mai 2019 - 22:03

@N°6 : Eheh, je connaissais pas celle-là mais effectivement je l'ai plusieurs fois entendu se dénigrer sur ce sujet, et dire entre autres qu'il se considère comme un cinéaste passable et que la paresse l'empêche de viser plus haut (grosso modo).

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(N°6) › dimanche 12 mai 2019 - 00:42
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Dans la série "90's as fuck" - Déjà Mort - Olivier "La môme" Dahan

J'avais jamais vu ce film "un peu culte" bien d'époque, avec une nana paumée sans attache et indifférente au monde qui croit réussir en devenant star du X, c'est dire si c'était un autre monde. Avec son ami, aussi paumé, ils entrent dans le monde de la jeunesse dorée niçoise, défoncée jusqu'au trognon et tout aussi paumée. C'est pas pire en fait, ça se regarde malgré la réal déjà bien chichiteuse de Dahan, et que je te colle des mouvements d'appareil dans tous les sens. C'est assez cliché dans le côté "jeunesse perdue", mais Félix est plutôt pas mal (tout premier rôle, mais c'est pas comme si elle allait crever l'écran ensuite non plus... Clara Sheller 2, la copine de Darmon dans le piteux Coeur des hommes... et puis je l'avais croisé à Monoprix une fois, grippé à mort). Magimel était encore un bon acteur à l'époque, alors qu'aujourd'hui il ressemble à ce que le perso du film aurait pu devenir. Duris en fait dix caisses en mec shooté en permanence. Clément Sibony, aucune idée de ce que le mec est devenu, c'est drôle comment certaines têtes sont liées à une époque très limitée. C'est plutôt très soft sur l'aspect cul d'ailleurs, c'est plutôt une longue dérive défoncée à la Requiem for a Dream version côte d'azur. La peinture du monde du porno d'alors a pris cher, avec ses deals en VHS et ses actrices millésimées (Coralie qui a même deux lignes de dialogues, et puis j'ai reconnu Olivia Del Rio.... ahhh, le journal du hard époque Vandel). Et puis malgré le côté bien exploiteur du truc, on imagine mal le père Dorcel vivre avec deux gorilles armés prêt à tirer dans le tas. C'est que la fin vire au grand nawak. Au final, c'est beaucoup trop drama pour faire vrai, avec une voix-off pseudo profonde (mais pas assez péteuse pour rendre le truc vraiment antipathique). Et la BO, bon on passe sur Bruno Coulais (je l'ai surnommé Bruno Coulis, parce qu'il en fout partout), mais c'est la fin des 90's, alors dans les fêtes on s'éclate sur Silmaris, Dolly et Placebo, c'est chaud. Y a quand même un morceau cool de Horace Andy et surtout "Nothing Else" d'Archive, petit bijou du trip-hop sexuel-neurasthénique de l'époque.

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Dioneo › lundi 13 mai 2019 - 12:10
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"Vivre vite pour ne rien regretter"... A peu près tout ce que j'ai retenu de ce film, vu y'a bien longtemps faut dire - et que ça tournait un peu démesurément mal oué... Ceci dit j'avais plutôt bien aimé sur le coup, à cette époque où je bouffais du film aux kilomètres. (Mais ça doit bien puer son époque vu de maintenant, c'est sûr).

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Klarinetthor › lundi 13 mai 2019 - 16:08
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En même temps être fan des Knicks c'est déjà courageux en soit. Pas mal aimé la WOnder Wheel en effet, bien différent de la plupart de ses films. Et aussi adhéré à Detroit en fait.

Bon sinon malgré la saison de basket qui continue et la GoT qui a repris, j'ai eu le temps de regarder quelques dvd. La féline de Tourneur, qui m'a fait cauchemarder mais m'a un petit peu déçu; hormis la scène dans la piscine qui est quand même bien prenante. Le travail des ombres présent tout au long du film mais qui marche vraiment là. Egalement, l'Incinérateur de cadavres et le Soleil dans le filet, films tchékoslovaques. Reprise de Local Heroe, comédie 80s americano-ecossaise, toujours aussi drole.

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(N°6) › lundi 13 mai 2019 - 17:20
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La féline j'ai eu un peu la même réaction la première fois, mais faut le remettre dans le contexte, c'était vraiment de la série B avec peu de moyens et des acteurs pas toujours terrible (le mec est vraiment naze). A partir de là, faut voir ce que Tourneur en fait, et c'est des moments qui sont fabuleux. La piscine évidemment, anthologique, mais aussi la femme suivie (ou je confonds avec un autre ?), l'apparition de la femme-chat dans la soirée...

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born to gulo › lundi 13 mai 2019 - 17:35

Ah, Déjà Mort...

Peux pas être objectif sur ce film - qui me rend pas fou, hein, soyons clair, mais j'ai une certaine tendresse car 1/ c'était ma ville avant (mais pas DU TOUT mes soirées, ça fait d'autant plus drôle) 2/ le seul morceau d'Archive qui m'ait jamais fait quelque chose, découvert via la bande-annonce (et peut-être en bonne partie responsable de ce que j'aie voulu voir le film, d'ailleurs) 3/ Magimel a eu les joues creuses un jour, nom de nom ! Et ça s'entend, même s'il mangeait déjà les mots - mais disons, il ne les tartinait pas de beurre de cacahuète ni ne les inondait de vodka pour les faire passer, alors...

Me rappelais pas qu'il y avait Duris, mais ce que tu dis me rappelle des souvenirs - dans la mesure où "Duris qui en fait trop et saoule" ne désigne pas à peu près tous ses rôles".

La voix off me gonflait gentiment, quand même, avec ce pseudo-ton désabusé de pub Diesel mais version Inrockuptible.

Y avait pas aussi dans le rôle du producteur trop dangereux ce gonze à la voix infrabassique totalement intimidante et sexuelle, là, qui jouait aussi dans Kamelott - et s'est depuis un peu galvaudé ?

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(N°6) › lundi 13 mai 2019 - 17:42
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J'aime bien Duris. Mais là il est un mode freestyle.

De toute façon, les voix off désabusée mais sexy quand même, c'est la plaie. Enfin attention, tout ça est largement très très très largement moins con qu'au hasard, un film de Gaspard Noé. Ok, c'est pas difficile.

Oui, y a bien ce mec qui joue dans Kaamelot, dont je connais pas le nom. (suis passé à peu près complètement à côté de Kaamelot, au passage)

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Klarinetthor › lundi 13 mai 2019 - 18:37
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OUi le mec est vraiment naze, et malheureusement il est un personnage pivot. Mais Catwoman est aussi assez agaçante. Finalement les seconds roles sont nettement plus plaisant, même si peu contrastés (le psy, la méprisante Alice). Si, la scène de poursuite dans la rue est pas mal aussi.

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Klarinetthor › mardi 14 mai 2019 - 14:50
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El Reino. Wow. Accélération, un scénar qui commence tout doucement à placer les pièces du puzzle. Bien situé dans le temps (la fin des années 2000), mais sinon ça se passe n'importe où dans le pays, à n'importe quelle saison, dans n'importe quel parti de gouvernement. Jusqu'où peut-on s'obstiner quand on perd et qu'on est têtu et teigneux. Chapeau à Antonio de la Torre ainsi que le reste du casting bien convaincant.

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(N°6) › vendredi 24 mai 2019 - 01:05
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Dans la série, "Je ne regarde plus que des films avec des acteurs de GoT dedans" : 3 Billboards - Martin McDonagh

J'étais passé à côté quand c'était sorti au ciné, mais c'est un des films qui m'avait fait envie alors. Ahhh, le bon vieux sud ricain, la dégueulasserie humaine, une mère qui pousse au cul une enquête qui trainasse. Woody Harrelson est décidément à son aise en redneck, cette fois quand même un peu émouvant (la scène clef de son perso m'a quand même bien chopé). Frances McDormand aligne les punchlines avec un flegme poussé au max pour cacher la douleur. Sam Rockwell en mec flingué qui aime taper sur les hommes de couleur (parce qu'on peut même plus dire nègre) mais qui cache tout de même une sorte de bon fond. Un peinture mi-cool mi-sevère de l'Amérique profonde, avec peut-être une tendance à toujours vouloir trouver un juste milieu à toutes les situations et un goût du sarcasme très Coen (mais du bon côté de leur filmo). Mais globalement, grand plaisir, avec une belle chanson de Townes Van Sandt en exergue. Ah oui, et donc, Peter Dinklage en nain du village. Bizarre de le voir jouer les perso secondaires.