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Les films que vous avez vu

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Nerval › mardi 19 février 2019 - 08:32

Mon dieu le Lord Of Chaos... C'est un film amateur? Mais comme le souligne un mec dans les commentaires : "Vice logo is enough to tell this is gonna suck.?"

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Raven › mardi 19 février 2019 - 14:10
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Lords of Cassos !

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A.Z.O.T › mercredi 20 février 2019 - 00:51

the majestic de Frank Darabont, avec ce sacré Jim carrey. Ca faisait un bout de temps que ce film trainait sur mon disque dur, vendu comme le drame de Jim Carrey. Et bien c'est plein de bons sentiments américains bien lourdingues (avec l'empilement de scènes clichés (le bisou au coucher de soleil, la mort du père, le plna sur le drapeau americain, ...). Marrant de voir que le réal a enchaîné avec the mist qui était pas mal du tout.

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Klarinetthor › mercredi 20 février 2019 - 15:10
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La chute de l'empire américain. Toujours un peu décalé pour nous qui habitons sur la rive droite du fleuve atlantique, le ciné de Denys Arcand. J'ai pas autant rigolé que pour les invasions barbares, mais ce dernier est plutot réussi. Equipes de choc (les gangsters, les flics, et nos deux ptits héros), qui se démerdent dans le grand merdier du monde du fric roi et finissent par s'en détacher ou en tout cas à le réutiliser et réinjecter un peu d'amour. Une fuite du système pas si égoiste que ça.

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mangetout › jeudi 21 février 2019 - 11:47


VICE de Andy McKay (2018)

Christian Bale est énorme dans tous les sens du terme ('tain je ne sais pas combien de kilos il a du prendre pour le film mais c'est pas discret) pour camper cette vieille baderne neo-cons de Dick Cheney et les autres acteurs ne sont pas en reste (les ressemblances sont impressionnantes aussi, entre autres Steve Carrell en Donald "fucking" Rumsfeld, Sam Rockwell en George W. Bush ou l'excellente Amy Adams en Lynne Cheney). Je ne sais pas où va se loger la fiction et la réalité dans tout ça, mais il me semble que l'état de décadence de ce pays (si jamais il a eu une certaine hauteur un jour) est patent...

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dimegoat › jeudi 21 février 2019 - 11:55
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Il me tente bien ce flim, histoire de râler un peu. Je suis toujours mi-circonspect mi-admiratif face à ces acteurs capables de transformer leur corps sur mesure pour un film, a fortiori pour quelqu'un au physique avantageux de nature. En googlant je suis aussi tombé sur ce film où il avait perdu 30 kilos... c'est quand même violent

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mangetout › jeudi 21 février 2019 - 12:52

@dimegoat : Dans VIce, Bale a du en prendre autant, comme Jeff Bridges pour The Big Lebowski. Sinon le film est une comédie bien foutue à l'humour souvent explosif.

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(N°6) › jeudi 21 février 2019 - 15:31
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Idem pour tout ce cinéma de la performance. Même si parfois, j'avoue que c'est franchement réussi (globalement quand le film ne se résume pas à ça).

Dans la série "La boxe, c'est toujours cinématographique" - Sparring - Samuel Jouy

J'adore Kassovitz acteur. Donc Kassovitz en mauvais boxeur en fin de carrière, qui se fait engager comme sparring partner d'un champion (c'est à dire s'en prendre plein la gueule) pour améliorer l'ordinaire de sa petite famille, ça me tentait bien. Comme d'hab, la boxe, ça passe tout seul. En loser pas vraiment magnifique, un peu une gueule de chien battu, mais digne, marié à sa jolie coiffeuse, Olivia Merilahti (qui me fait penser à Gaye Su Akyol) de The Do, très bien pour un début, Kasso montre encore à quel point il est toujours juste quel que soit le rôle. Film cool, prolo (ça change des grands intérieurs parisiens), sans misérabilisme ni pathos, juste ce qu'il faut d'émotion et une jolie façon de filmer le sport. Bon, c'est pas Kids Return non plus, mais ça reste vraiment attachant.

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Raven › vendredi 22 février 2019 - 19:27
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Kasso joue comme mon chat mort, je trouve.

Split, de Shyamalan... Bof. Mcmachin est pas mauvais en effet avec sa tête de prune polymorphe, mais ça reste du pain béni pour n'importe quel acteur ce genre de rôle. Le caméo final faisant lien avec Incassable et le récent Glass (pas encore vu) fait très "film de superhéros discount".

J'ai revu Incassable dans la foulée, du coup, et ça a mieux vieilli que je le craignais (il m'avait pas mal marqué à la sortie ciné, retenant un truc à la fois très cucul la praline - Shya quoi - et très sinistre, surtout la fin avec le gros bonhomme en combi orange). Le gosse, un des éléments les + énervants chez Shyamalan comme Spielberg, est même pas trop tête à claques contrairement à ceux de Sixième Sens ou Signes. J'aime bien cette austérité, voire solennité, bleue-grise, avec Bruce Willis qui tire une tronche pas possible tout du long, le concept (exposé très clairement et naïvement par le personnage de Samuel L. Jackson), et globalement l'ambiance très "Hollywood post-9/11", cette espèce de rythme détaché, flottant, mélancolico-mou, "à la American Beauty", avec la bande-son au thème trip-hop lounge orchestral, mélo et cosy à souhait. Son meilleur film assurément.

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saïmone › samedi 23 février 2019 - 15:22
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White God. Je sais plus pourquoi j'ai regardé ce film, mais c'était nul. Putain de gamine tête à claque !

Utoya. Vraiment pas mal, très immersif, avec les limites du genre (putasserie, effets de manches, etc)

Possession. Oui, avec Adjani. J'en avais un souvenir assez mauvais, vu trop jeune sans doute. Le côté surjoué est ce qui donne son caractère arrogant et fou en même temps, c'est assez marrant. Adjani a vraiment une tête qui défonce.

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(N°6) › samedi 9 mars 2019 - 14:33
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Dans la série "Les films tirés de vieilles séries" : CHiPS - Dax Shepard

Ok, j'avoue, je ne connais pas l'humoriste Dax Shepard, qui a une bonne gueule un peu à la Thierry Lhermitte, c'est à dire du mec qui à une vrai allure de beau gosse mais qui passe son temps à se ridiculiser de la manière la plus con imaginable. L'autre motard c'est Micheal Pena, pas mieux loti en quetard de la lose. Bon ben j'ai du voir à peu près un seul épisode en entier de la série en question même si je connais le générique par coeur. Sorti directement en VOD en France, une moyenne de 6 sur Imdb, autant dire que j'attendais pas un chef-d'oeuvre non plus. Parait que les fans ont un peu gueulé parce que c'était très con et très sale. C'est justement ce qui me fait marrer, que se soit très con et très sale (ahh, les dialogues sur la pratique du bouffage de cul). Et puis les scènes d'action sont pas mal foutu du tout, tout en conservant un côté complètement nawak. On est pas toujours fait pour la subtilité. Et puis surtout, un fou rire = un film valable.

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bubble › samedi 16 mars 2019 - 19:38

At Eternity's Gate

Willem dafoe magistral . Le film qui à enfin réussi à me donner le déclic pour Van Gogh que je n’appréciais pas des masses avant; sans m’être jamais vraiment intéressé au sujet.

filmé de façon subjective on est littéralement dans sa tête.

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(N°6) › lundi 18 mars 2019 - 20:46
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I, Tonya - Craig Gillespie (2017)

L'histoire fascinante de Tonya Harding, patineuse hommasse et redneck qui a été accusée d'avoir pété les genoux de la petite fiancée de l'Amérique, la douce Nancy Kerrigan, pour s'assurer une place aux JO de 94. Fascinant parce que c'est toute une amérique méprisée qui est dépeinte ici, pas toujours avec bienveillance (c'est la seule limite du film on va dire) mais avec un humour féroce. Parce qu'il faut bien rire de la tragédie, Tonya ayant du se taper une mère toxique (Allison Janney, ignoble et hilarante) et un mari total lose et violent. Patineuse athlétique ne représentant pas bien le sport de part son extraction sociale et son allure (la haine de classe en action), le film en fait une anti-héroïne attachante grace à Margot Robbie, hyper crédible sans tomber dans le travers de la grosse perf à modification physique. Ca donne aussi à réfléchir sur la façon dont des gens simples comme tout le monde sont jetés en pâture aux médias, et du coup ça m'a fait penser au terrible doc sur Amy Winehouse. Le film prend d'ailleurs la forme d'un faux docu sans que ça tourne au gimmick. Bref, c'est très drôle (bien que tragique, dans le fond) et très bien vu, avec un côté pied nickelé à la Coen (des débuts), et ça réhabilite un peu cette pauvre Tonya Harding qui méritait mieux que tout ce fiasco.

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A.Z.O.T › mardi 19 mars 2019 - 17:42

Souvenir mitigé pour ma part de Tonya, déjà le commencement du film et le ton assez pompé sur du wes anderson m'avait gêné, et ensuite le ton très acerbe envers les persos, présentés comme des demeurés profonds sans touche positive était un peu pénible à la longue.

Vu hier, le docu le silence des autres, sur la transition du régime franquiste vers le retour à la démocratie à travers le fameux pacte du silence (amnistie pour tous et tout le monde, prisonniers politiques comme franquistes). On suit un groupe de militants dans leur combat pour porter les procès contre les anciens tortionnaires du régime devant la justice internationale (encore en cours aujourd'hui), car l'espagne est encore sous la législation du pacte d'amnistie empêchant toute démarche judiciaire vis à vis du régime de Franco. Très bon docu, dans la lignée de S21, ou essential killing au niveau du sujet, c'est assez saisissant de voir à quel point le système espagnol reste figé à ce sujet et que le malaise reste toujours profond sur ce sujet. A voir.

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Aladdin_Sane › mercredi 20 mars 2019 - 22:14

La planète des vampires de Mario Bava : titre français à la con, ça a bien mal vieilli. Le mieux, ce sont les costumes SM...

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Aladdin_Sane › dimanche 24 mars 2019 - 19:42

Non, ça n'est pas Spinal Tap mais The Dirt, le biopic sur Mötley Crüe produit par Netflix. C'est bien gentillet quand même (voir limite chiant parfois), à quand le biopic sur Motörhead produit par Disney ?

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Rastignac › lundi 25 mars 2019 - 00:08
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Ah bluffé ! Je me suis dit : quoi un nouveau spinal tap ?

Sinon je porte une haine croissante pour les biopics. Musicaux notamment.

Sinon 2 : vu des films. Mad Max le dernier, ebourristiflant. Ca roule et ça crie, ça m'a accroché comme si je regardais des rats se battre pendant une heure. L'histoire derrière est d'un niveau de moyenne section, même si je suis amateur de dystopie, et que j'aime beaucoup l'histoire de fond de la série (décrépitude, vengeance, nihilisme de la tôle et des flingues).

Un autre film, un peu plus nul, The Revenant.


C'est à dire une succession de tutos survie par Di Caprio dans une Amérique (Canada ?) 18e siècle très fraiche, avec méchants indiens, méchants (et fourbes bien sûr) français, mais les meilleurs c'est les blancs qui comprennent les indiens. Encore une fois nawak, et tape à l’œil, des effets à la noix à la Arthus Bertrand dans la forêt du nord, un message proche de Steven Seagal dans Terrain Miné ou Stallone dans Rambo, il a eu des oscars, les américains parlent à eux mêmes et moi je les regarde comme je vois un autiste danser parce qu'il est un poil stressé. Sauf la scène pompé sur JJ Annaud au début avec maman ourse qui se fait le... le dos de leonardo en reniflant du groin, bien cool. Joli esprit petit ewok qui se fait bouffer par un troll.

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Raven › lundi 25 mars 2019 - 01:56
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J'ai plutôt l'impression qu'elle a été pompée à Gaspar Noé, et que c'est Di Caprio qui joue la Bellucci. (Elle m'a aussi rappelé la fameuse blague de l'ours et du chasseur...)

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Rastignac › lundi 25 mars 2019 - 06:20
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Ah oui, « la légende de l’ours bleu ».

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Aladdin_Sane › dimanche 31 mars 2019 - 14:50

A l'occasion de sa ressortie en DVD, j'ai enfin vu ce film de Milos Forman, une bien belle réalisation dont l'histoire me rappelle un peu le Michael Kohlhaas de Kleist. On y retrouve Brad Dourif et Elisabeth McGovern notamment.