Vous êtes ici › Forums de discussionsArts généraux › Les films que vous avez vu

Recherche dans les forums


Sujet ou corps des messages :    Auteurs :    


Les films que vous avez vu

résultats 10121 à 10140 sur un total de 10795 • page 507 sur 540

Message
GrahamBondSwing › lundi 13 juillet 2020 - 20:43

N°6 m'a doublé : Margot Robbie est phénoménale dans "Moi,Tonya" (oscar loupé de peu)

Message
born to gulo › mardi 14 juillet 2020 - 01:05

Je viens de le voir enfin, tiens, le Tartarin, après un premier échec en VO. M'a principalement donné envie de ressortir le meilleur album de Download. Mais la lente montée en pression avec le ranch, puis le dernier néon de restau qui s'allume, rouge, puis les phares de la bagnole quand elle apparaît, est pas trop mal.

Puis Brad Pitt renoue un peu avec ce que j'ai longtemps considéré comme son meilleur rôle : Floyd dans True Romance.

LDC inexistant, comme d'hab.

Message
heirophant › samedi 18 juillet 2020 - 16:53

La nuit nous appartient : le white privilege à son sommet. De la pure propagande sexiste et misogyne qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire.

Message
vigilante › dimanche 19 juillet 2020 - 09:40

Dans la série Neo Noire toujours un peu musclée, quel bonheur de ressortir L.A Confidential. Rythmé comme il faut, tous les ingrédients du polar justement dosés, trois acteurs irréprochables...une Kim Bassinger irréelle. A revoir, mais je ne vous ai rien dit, votre ami Hush Hush...

Message
born to gulo › dimanche 19 juillet 2020 - 10:56
  • Basinger
Message
vigilante › dimanche 19 juillet 2020 - 11:38

N'y vois aucun lapsus :))

Message
Raven › mercredi 22 juillet 2020 - 00:59
avatar

Moi, Tonya suite aux conseils dans ce fofo. Margot est effectivement très balèze là-dedans. Elle m'a pas mal rappelé Kathleen Turner, circa La Guerre des Roses. Y a un côté Billy Elliot redneck, coupé au Coen Bros, enfin c'est très "américain vu du bas" sans fausse empathie non plus (à part pour la patineuse), et la galerie de foireux est bien composée (le gros puceau mytho surtout, et la mère qui est une belle saloperie). Après, le côté "un titre par scène" - "à la Scorcese" est vite casse-pieds. Je me plains pas d'écouter du vieux AOR/FM bien ringue, mais c'est quoi cette foutue manie de coller une chanson toute les deux-trois scènes, ce truc qu'on a dans toutes les séries actuelles et qui fait cache-misère ? Par contre sur le final, j'admets, la reprise de "The Passenger" m'a cueilli en beauté... Faut dire que c'est pas n'importe qui qui la chante non plus.

Message
Raven › vendredi 24 juillet 2020 - 16:05
avatar

Le Traître (Marco Bellocchio, 2019)

Un film italien basé sur le pion de Cosa Nostra qui a fait "tomber" l'organisation, à la suite de la mort de deux de ses fils dans la guerre des clans, et qui s'est retrouvé avec le juge Falcone contre le boss psychopathe Toto Riina... ça use de quelques clichés et trucs grossiers (jusqu'à apposer un compteur de morts à la Hot Shots dans un coin de l'écran !) mais ce personnage de simple soldat "repenti" est touchant. À défaut d'être un classique film de gangsters (même si y a du Coppola dans la première partie), c'est un excellent film de procès, puisque les scènes au tribunal occupent bien la moitié du temps ; avec du tragicomique à revendre, notamment quand les vieux capi font tout un cinéma dans leur box comme des mioches pour pas être auditionnés.

Message
dimegoat › vendredi 24 juillet 2020 - 16:20
avatar

Il y avait eu un très bon reportage récemment sur Arte consacré à Riina, et notamment sur ce gigantesque procès de Palerme. Je ne sais pas s'il est encore en ligne.

Message
vigilante › vendredi 24 juillet 2020 - 18:11

Je l'ai vu ce replay. Quel nid de vermine...écœurant. Mais intéressant pour connaitre la genèse et l'évolution de la pieuvre.

Message
born to gulo › vendredi 24 juillet 2020 - 18:14

Très très bon, le Traditore, rien que pour l'acteur principal, et puis la scène où son soce refuse de témoigner s'il a pas le droit de parler patois, à la vitesse patois.

Message
vigilante › vendredi 24 juillet 2020 - 18:14

Quelqu'un a vu celui là ? Il vaut le coup ?


Message
born to gulo › vendredi 24 juillet 2020 - 18:17

Boukhrief, Civil... ça vend pas du rêve.

Message
Raven › vendredi 24 juillet 2020 - 18:22
avatar

"et puis la scène où son soce refuse de témoigner s'il a pas le droit de parler patois, à la vitesse patois."

Oui fabuleuse cette scène, j'avais oublié de mentionner cette tête brûlée de sicilien. Et puis quand on le retrouve vendeur de voitures aux States, à pas plus vouloir causer autre chose que sa langue et à les envoyer promener gaiement...

Message
vigilante › vendredi 24 juillet 2020 - 18:26

@Gulo, oui j'hésite...

Message
Raven › vendredi 24 juillet 2020 - 18:27
avatar

Le Convoyeur était pas mal de mémoire, avec Dupontel en mode De Nireux. Mais pas sûr qu'il passe la revoyure.

Message
(N°6) › vendredi 24 juillet 2020 - 18:40
avatar

La docu sur Arte était excellent en effet.

J'avais plutôt bien aimé le film de Boukhrief, qui a quand même connu un destin de ouf (les affiches dans le métro, quelques jours avant le 13 Novembre 2015). J'ai du en dire quelques mots dans ce thread, mais bon courage pour les retrouver (suis pas responsable du moteur de recherche...).

Message
Raven › vendredi 24 juillet 2020 - 19:38
avatar

Tu en parlais ici.

Je note pour le docu Cosa n'Arte que vous mentionnez...

Message
vigilante › vendredi 24 juillet 2020 - 19:55

Oh je ne sais pas si tu le reverras, la course aux docu est souvent peine perdue...et c'est bien dommage ! Tu aurais enfin vu celui sur le rhum dont je te rabats les oreilles
J'en ai sur ma wantlist des docus loupés.....
Celui là par exemple bordel
https://www.bing.com/videos/search?...

Message
(N°6) › vendredi 24 juillet 2020 - 20:42
avatar

En parlant de documentaire : Whitney, Can I Be Me - Nick Broomfield (2017)

Bien loin de l'image que l'industrie a façonné pour elle, ce qui lu a valu une certaine acrimonie de la communauté noire, qui l'accuse de "chanter pour les blancs", Whitney Houston, petite fille du ghetto de Newark, fille de musicienne (Cissy, typique de la mère qui cannibalise son enfant), issue d'une famille de toxico et toxico elle-même, au minimum bi-sexuelle mais c'est pas jouable à l'époque (et encore moins dans une communauté noire très pieuse), pauvre Whitney Houston que son mariage avec la star du r'n'b Bobby Brown, quetard et fétard, ne va pas arranger (elle est toxico, lui alcoolique, il vont mettre ça en commun). Il y a bien Robyn, son amie de toujours, son double et amour (plus que platonique ? On ne le saura pas), la seule qui aurait pu la sauver d'elle-même et d'un entourage qui se préoccupe surtout de faire tourner la machine à pognon (plus de N°1 consécutifs que les Beatles), mais elle sera évincée à force de pression (de la mère, du mari). Tout comme le garde du corps qui se voit congédié après la rédaction d'un rapport tirant la sonnette d'alarme sur l'addiction de Whitney et la mauvaise influence de son entourage. Tout ça est d'une immense tristesse, c'est à mettre en parallèle avec l'excellent "Amy" (sur Amy Winehouse) et ça dresse le portrait d'un simple être humain au talent stupéfiant (elle aurait pu faire n'importe quoi de sa voix) qui n'aura jamais pu être vraiment elle-même et qui aura été brisée par l'industrie du divertissement, des relations toxiques, le poids de la religion et de l'hétéronormativité. (le fait que sa propre fille soit morte à 22 ans des même causes, overdose, c'est vraiment la cerise sur ce gateau déprimant)