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Vous écoutez quoi là ?
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- Tallis › mardi 18 janvier 2022 - 16:44
Le hasard faisant vraiment bizarrement les choses... La n°1 pour 8 violoncelles est effectivement superbe. Le reste est à l'avenant, d'ailleurs, et pas que la célébrissime n°5.
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- zugal21 › mardi 18 janvier 2022 - 18:28
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- Dioneo › mardi 18 janvier 2022 - 19:27
Quant à moi je sors du "classicisme euro-américain", pour l'heure :
Trần Văn Khê - Vietnam : Improvisations
Pièces que le musicien donne comme "nouvelle musique traditionnelle" - c'est à dire de nouveaux morceaux composés, joués, improvisés donc en suivant par ailleurs les règle - modales, rythmiques... - de la "musique traditionnelle" du pays...
Il y a vraiment de belles choses là-dedans, et des accents, des timbres - les percus/cuillères, très véloces et aux figures parfois assez virtuoses je crois - qui continuent à sonner comme à peu près rien d'autres à mon oreille des années après que j'ai découvert ce disque. Bah ça me plaît de rester surpris.
Message édité le 18-01-2022 à 19:28 par dioneo
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- Chris › mardi 18 janvier 2022 - 21:47
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- magnu › mardi 18 janvier 2022 - 23:24
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- Dioneo › mercredi 19 janvier 2022 - 09:54
Biohazard › State of the world address
MOTHERFUCKEEEEERS!!!
Message édité le 19-01-2022 à 09:57 par dioneo
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- Klozer › mercredi 19 janvier 2022 - 11:35
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- nicola › mercredi 19 janvier 2022 - 13:20
On dirait du Napalm Death des débuts (FETO demo). C’est vachement bien, ce truc.
Et puis encore du Dr Feelgood en Peel Sessions.
Message édité le 19-01-2022 à 13:21 par nicola
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- azfazz › mercredi 19 janvier 2022 - 16:44
Pas réécouté depuis des années, mais ce disque vieillit plutôt bien !
Message édité le 19-01-2022 à 16:46 par azfazz
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- zugal21 › mercredi 19 janvier 2022 - 18:28
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- nicola › mercredi 19 janvier 2022 - 19:38
Dreadzone › Peel Sessions
Oui, il y a un peu de reggae là-dedans mais pas seulement.
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- Chris › mercredi 19 janvier 2022 - 20:37
Bah oui je l'écoute encore ! Çe truc bute tout simplement : authentique, mélodiquement parfait et tellement a fleur de peau... Ça fout les poils à quasi chaque titre. La classe quoi...
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- zugal21 › mercredi 19 janvier 2022 - 20:49
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- Raven › jeudi 20 janvier 2022 - 03:54
M'attendant à moue-rire d'ennui, je me suis surpris à kiffer quasiment chaque morceau, réalisant en fait que je le connais par cœur c'con d'skeud, car il est avec Psycho Circus (et Lick it Up) celui qui tournait quand j'étais ado. (Re)visiter la majorité des KISS étant pour moi une entreprise aussi excitante que me farcir la disco de Téléphone ou Bijou - Destroyer comme exemple-type du "ah bon et ? c'est tout ?", là je dois avouer que leurs talents relatifs combinés - ça défile au mic, du soulful Stanley au râpeux Frehley - à la suite de leurs solos respectifs ici comme combinés sur la pochette re-fédératrice, donne un truc assez singulier dans le genre "album putasse-délavé", voire "album de fin de règne", cimenté par ce qu'il reste de coke au fond des poches. Une misère mais ça leur suffit à dérouler du couplet-refrain et de la mélodie qui accroche bien la couette péroxydée, même ce tocard de tireur de langue assure sa portion de show. On turbine la formule pour les masses mais au fond on en a envie de faire autre chose comme par ex des mots croisés ou du macramé, ce que les deux paires d'yeux du bas expriment très bien... Le business est florissant mais les putes font un peu chrysanthèmes. Assurément tubesque - sans doute leur plus Eddie Barclay - et en même temps bien rance ouais, avec cette touche disco très bien incorporée et pas dominante du tout à la suite du gros hit à fredonner en falsetto ("sure know something", "Dirty livin'", toutes deux extra) et une ambiance très "pimp", zonarde ("Hard times"), clinquante et roublarde ("Save your love") mais aussi bien usée de l'humeur, ça sent l'épuisement des tournées Disneyland & Zavatta, le besoin de canapipe, et ça reste KISS donc y a du refrain d'escroc où la règle est de sonner con et blaireau avant tout ("Charisma", "Magic touch"). Le son est ultra-vintage et patiné, du pur hard rock à rouflaquettes escamotables, un peu comme sur un vieux BÖC ("X-ray eyes"), et c'est ce qui fait son relatif charme "arrière-salle de bouge", glamouze-sordide, où le scintillement des boules à facettes - quatre boules au moins - se noie dans un papier peint pisseux et des peignoirs à paillettes ouverts sur ces torses à bouclettes dégueux. Bonne re-pioche.
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- Ntnmrn › jeudi 20 janvier 2022 - 11:33
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- Raven › jeudi 20 janvier 2022 - 14:32
Assassiné par la critique, notre Brousse Springue-stine adoré contre-attaquera en fronçant encore plus les sourcils, dans un blouson aviateur et sous des ampoules glauques. Toute une époque. N'empêche, Señorita se pose là, et l'intro est superbe, et les zicos niquent tout. Pour qui aime le Boss tonitruant du cuivre qualit'E Street et n'a pas peur de se frotter à cette voix archi-rockailleuse plus sale qu'un ongle de mécano, il y a la balle de mélodies (ah et on se fout facilement de sa gueule au Jean-Patoche mais sur live ça peut dépoter comme du Thin Lizzy).
Message édité le 20-01-2022 à 14:35 par raven
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- Ntnmrn › jeudi 20 janvier 2022 - 16:43
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- yog sothoth › jeudi 20 janvier 2022 - 18:29
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- zugal21 › jeudi 20 janvier 2022 - 18:33
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- nicola › jeudi 20 janvier 2022 - 19:56
Ducks Deluxe › Peel Session
Pop rock des années 70.