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Vous écoutez quoi là ?
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- No background › mardi 1 septembre 2020 - 09:48
Daughters - You won't get what you want (2018). N'a pas fini de tourner celui-ci.
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- Dioneo › mardi 1 septembre 2020 - 10:13
Bon, du coup :
Senyawa - Acaraki
Alors c'est proche de Zoo, comme je m'y attendais - cf membre commun donc - mais avec en effet un son plus cru (sur disque en tout cas - comme je disais, Zoo en concert c'est encore autre chose), et avec un hmmm "biais expé" peut-être plus marqué, plus constant en tout cas, ou tout simplement avec moins de "forme rock" dans la façon dont c'est foutu, tourné, joué... Les voix sont bien ouf ! (Et l'approche percussive sur tous les instruments fait bien son effet "transe" ouais).
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- No background › mardi 1 septembre 2020 - 12:01
Death Grips - No love deep web (2012). Je sais pas ce qui m'a pris, j'avais oublié que c'était aussi pénible ce groupe (les trois premiers en tout cas).
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- zugal21 › mardi 1 septembre 2020 - 13:50
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- zugal21 › mardi 1 septembre 2020 - 14:10
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- No background › mardi 1 septembre 2020 - 14:58
Dälek - Abandoned language (2007). Je crois que j'étais complètement passé à côté. Il est plus axé hip hop et moins indus que les deux précédents, en cela il se rapproche plus du premier, Negro Necro Nekros. Ce qui surprend c'est ce côté "cinématographique" qui lui donne un côté classieux, comme le fait remarquer Saïmone dans sa chro. Après Death Grips, c'est juste parfait pour les oreilles (bon y a quand même la petite agression de rigueur à la fin).
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- Klarinetthor › mardi 1 septembre 2020 - 15:32
Quasi aucun standard sur ce Blue Note parisien des grandes compos de donald Byrd, Kenny Drew et de Dexter. Manque un grand morceau pour se détacher, mais l'atmosphère est là.
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- No background › mardi 1 septembre 2020 - 16:16
Howard Shore / Ornette Coleman / The London Philharmonic Orchestra - Naked lunch (1992). Je crois que c'est plus le côté "musique de film" qu'Ornette Coleman le problème, mais en tout cas, sans avoir vu le film, cette musique ne m'envoûte pas du tout.
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- Procrastin › mardi 1 septembre 2020 - 18:57
Du coup, merci disais-je! C'est vrai que c'est dur de mettre le doigt sur ce qui évoque OvO, que ce soit dans Senyawa ou Zoo, pourtant ça m'a paru évident aussi. P'tet bien le coté possession/esprit/chamanique (qui ne se traduit pourtant pas du tout de la même manière).
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- zugal21 › mardi 1 septembre 2020 - 19:03
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- vigilante › mardi 1 septembre 2020 - 20:39
Que ça fait du bien, un moment de légèreté, de paix intérieure après l'entrainement. Un moment de bien être à soi quoi. Pour le prix, franchement, le son n'est pas extraordinaire mais c'est donné.
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- Dead26 › mercredi 2 septembre 2020 - 07:27
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- No background › mercredi 2 septembre 2020 - 09:33
Ornette Coleman - Something else!!! (1958). On commence la journée tranquillou.
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- david hasselouch › mercredi 2 septembre 2020 - 10:13
https://mix-down.net/impro/1/album/ATROPA%20EP/atropa%20front.jpeg?etag=%2222dfa7-5ee3b775%22&sourceContentType=image%2Fjpeg&ignoreAspectRatio&resize=203%2B200&extract=0%2B0%2B203%2B200&quality=85
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- david hasselouch › mercredi 2 septembre 2020 - 10:15
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- Procrastin › mercredi 2 septembre 2020 - 10:18
On me l'a vendu comme une sorte de Haus Arafna, vu de la moitié ça n'a pas grand chose à voir et c'est bien inoffensif. De la darkwave qui crachotte pourtant, et ça invite à se dandiner, ya les ingredients... mais pas la magie, l'ennui guette. Ni venin, ni angoisse, ni torsion ; Plutôt de l'ether et un masque ffp2.
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- No background › mercredi 2 septembre 2020 - 11:20
Eric Dolphy - Out to lunch (1964). Première écoute, mais probablement pas la dernière, y a un feeling particulier qui se dégage de ce disque.
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- No background › mercredi 2 septembre 2020 - 11:59
Tom Zé - Grande liquidacao (1968). J'ai lu quelque part le "Sgt Pepper" brésilien. J'écouterai pas ça tous les jours mais c'est bien sympa, lumineux. Je vais probablement continuer la découverte de la musique venant du Brésil.
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- No background › mercredi 2 septembre 2020 - 12:32
Moondog - Moondog (1969). Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre. C'est plus proche de la musique classique que du jazz, mais y a vraiment quelque chose de particulier qui s'en dégage, agréablement surpris.
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- Procrastin › mercredi 2 septembre 2020 - 13:45
@No Background Ses chansons sont superbes aussi (Sur H'art songs notamment), et remplies de contrepoints très subtils. C'est triste, rêveur, sage et réconfortant à la fois. Un pansement pour les blessures de l'époque. Un grand homme, tout en humilité.
Sinon là rien à voir, pas loin de la symétrie :