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Vous écoutez quoi là ?
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- No background › mercredi 11 mars 2020 - 13:57
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Lingua Ignota & The Rita - Commissioned (EP) (2019). Deux reprises de Lingua Ignota, The girls from the streets de Scott Walker et Jolene de Dolly Parton, quasi acapella. The Rita s'occupe ensuite de faire du bruit, perso je ne vois absolument pas l'intérêt de cette "musique". Sinon j'ai lu que Lingua Ignota préparait un album de reprises, j'ai hâte d'entendre sa version de Kim d'Eminem.
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- No background › mercredi 11 mars 2020 - 14:52
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Sightless Pit - Grave of a dog (2020). Soit le batteur de The Body, le chanteur de Full of Hell et Kristin Hayter, alias Lingua Ignota. Le côté noise est le plus présent, avec des touches électro (The Body, deux premiers morceaux), des vocaux criards (Full of Hell) ou clairs (Lingua Ignota). Ne connaissant pas les autres membres et leurs projets respectifs, j'apprécie surtout la voix de Kristin dans un autre environnement sonore, plus bruyant (on a tout de même deux morceaux calmes).
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- Rendez-Moi2 › mercredi 11 mars 2020 - 18:22
J'aurais pas dû réécouter ce truc, les prods sont superbes mais ruinées par des "performances" merdiques. A mort Rim K.
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Pour me réconforter.
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- zugal21 › mercredi 11 mars 2020 - 19:20
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- Dioneo › jeudi 12 mars 2020 - 09:57
Split :
Fumata/Torn from Earth
La partie mexicaine (Fumata) vient de s'achever - toujours aussi doom/darkfumette, comme sur l'album - et toujours très bon dans l'optique ; je trouve même qu'ils ont encore gagné en maîtrise de l'ambiance poisseuse/épaisse/lourde.
Là je passe donc sur la partie hongroise du truc (Torn from Earth). Ça démarre davantage postrock/postcore/postneurosis, avec voix ouin-ouin-de-l'apocalypse et son un peu trop contenu dans des boîtes bien carrées (rectangulaires, allez) pour mon goût. (Un peu envie de leur dire "bah les gars, tirez donc une taff sur le gros spliff de vos camarades de disque trans-océaniques... ça vous déconstipera peut-êre un poil du groove, dites-voir" ; le genre de pensées qui d'ailleurs me viennent souvent quand j'écoute des groupes comme ça...).
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- Alliage › jeudi 12 mars 2020 - 11:14
Vivement sa chronique :
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- No background › jeudi 12 mars 2020 - 11:19
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Uboa - The origin of my depression (2019). Album recommandé quelque part sur le Net sous les commentaires de Lingua Ignota. Le côté indus noise est plus présent, le chant clair moins prenant (en même temps la comparaison est difficile face à une formation de chant classique), mais on retrouve ces alternances mélancolie / agression et on sent la démarche sincère sur le besoin d'expulser ce qui ronge de l'intérieur, même si au premier abord, cela peut sembler parfois fait de manière assez grossière.
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- No background › jeudi 12 mars 2020 - 13:24
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Klaus Nomi - Klaus Nomi (1981). Quand le chant d'opéra s'invitait dans la new wave. Les morceaux les plus calmes (Keys of life, Cold song) me parlent plus, n'étant pas fana de synthpop (ni de l'aspect parfois burlesque de la chose).
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- No background › jeudi 12 mars 2020 - 15:06
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The Haxan Cloak - Excavation (2013). Cette pochette m'avait toujours interpellé, et puis la chronique de Wotz, mais je l'avais jamais écouté. Album de dark ambient qui a ses creux, mais le premier quart d'heure est très bon ainsi que quelques moments des deux derniers longs morceaux, j'apprécie surtout le travail sur le son en fait, c'est bien immersif.
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- Dioneo › jeudi 12 mars 2020 - 16:46
Belly - King
Je l'ai beaucoup moins écouté que Star (le précédent et premier)... Au point que je le connais à peine, en fait. Bon... Le son est moins bizarrement foutu que sur ledit (j'avais mis un moment à m'y faire, à vrai dire), plus "gros". Ça part plus souvent dans leur veine indy-country (ou alt-country comme ils disent là-bas) que sur Star, comme (quand-même) dans mon souvenir.
En fait il sonne plus "normal" tout court que l'autre (je crois que je n'avais même pas écouté leur album de reformation de 2018 (Dove)), sans que j'arrive tout à fait à cerner ce qui me fait dire ça. Mais d'où, je crois, que je lui trouve moins de charme. (Enfin, méfions-nous tout de même... Star, j'ai d'abord failli le prendre pour un truc anodin en dehors du morceau Low Red Moon, qui m'avait tout de suite croché).
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- zugal21 › jeudi 12 mars 2020 - 17:34
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- zugal21 › jeudi 12 mars 2020 - 19:59
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- (N°6) › jeudi 12 mars 2020 - 21:15
Dan Snaith a vraiment la gueule d'un mec qui a passé un doctorat de mathématique, et ça tombe bien parce que c'est le cas. Comme quoi, l'habit de fait pas le moine car...
...putain Caribou a encore sorti une petite perle de... euh... chill-out-electronica-pop-house ? Ca va encore être la tannée avec les styles pour les chro. Bref, c'est encore une fois merveilleux, avec du beat ciselé, de la mélodie popinette super bien arrangée et même du banger sexy.
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- Klarinetthor › jeudi 12 mars 2020 - 21:25
en attendant de voir ça au sonic protest, enfin si le droit de réunion est encore valable et les voyages possibles. Mike Cooper - Raft, passé de folkeux 60s à avambient 2010s. pas autant que Scott Walker mais une certaine évolution.
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- zugal21 › vendredi 13 mars 2020 - 08:35
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- No background › vendredi 13 mars 2020 - 10:56
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Demi Portion - Les histoires (2013). Rappeur de Sète. Boom bap plutôt gentil. On sent qu'il connaît ses classiques (en particulier Comme un rat dans l'coin de Fabe, refrain repris dans "Comme un rash" et même sample dans "Avec plaisir"). Album trop long et inégal, comme toujours dans le rap français.
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- No background › vendredi 13 mars 2020 - 13:51
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Full Of Hell - Trumpeting ecstasy (2017). J'ai jamais accroché au death metal et au grindcore, mais pour l'instant ça passe. C'est quand même bien furieux cette affaire. C'est chro par Saïmone au passage.
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- No background › vendredi 13 mars 2020 - 14:56
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The Body & Full Of Hell - One day you will ache like I ache (2016). Entre les bruits stridents et la bouillie de voix saturées, ben finalement je préfère Full Of Hell en solo, la voix de The Body est à la limite du supportable.
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- No background › vendredi 13 mars 2020 - 15:22
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Full Of Hell - Weeping choir (2019).
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- zugal21 › vendredi 13 mars 2020 - 17:37
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