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Hellfest 2022 - Partie 2
Nicko › dimanche 7 août 2022
Cette année, le Hellfest s'est déroulé en deux week-ends consécutifs avec une pause salvatrice de trois jours entre chaque. nous avons décidé de faire un aller-retour chez nous pour vaquer à nos occupations (boulot/école/repos/donner à manger au chat, etc) et deux jours plus tard, hop, retour dans le TGV pour les quatre derniers jours de cette édition XXL. Alors même si on peut considérer que c'est comme enchainer deux festivals sur deux week-ends consécutifs, il faut quand se dire que le Hellfest est particulièrement intense. La plage horaire chaque jour va de 10H30 à 2h du matin avec à chaque fois trois groupes en simultanée, donc autant de chance de voir un groupe susceptible de nous intéresser. Et le poids des ans ne se fait pas ressentir que pour les musiciens, aussi pour nous festivaliers, habitués à aller à ce genre d'événements depuis des années. Et là, cette année, c'est particulièrement sportif ! Ces quelques jours de repos n'auront pas été de trop !
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YOB / Wiegedood - Le Rocher de Palmer, Cenon, 25/10/2018
Rastignac › samedi 27 octobre 2018
Quand on se balade, il est toujours mieux, toujours plus bien, en somme toujours plus flex et cool et no limit dans le plaiz que de se taper des concerts : ça ajoute de l'agréable au bienheureux. Quoi de plus normal alors que d'aller voir Yob quand on se retrouve dans l'agglomération bordelaise ? Comme ça comme ci ? Hein ?
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Magma - Coopérative de mai, Clermont Ferrand, 17/03/2017
Rastignac › samedi 18 mars 2017
Je lisais l’autre jour les propos d’un homme qui comparait l’idiotie avec l'audace, la stupidité avec les satellites géostationnaires, et, enfin, l’inculture avec la pâte à tartiner sans gluten, sans sucre, sans huile de palme, et sans pâte à tartiner. Je me suis dit : « c’est pas faux. Mais en même temps, qui sait ? » ; eh bien, messieurs dames les robots de la DGSI, de la NSA ou du Kremlin, chers espions de Google, Pirelli, Michelin, cher Dare Dare Motus, ma chère Clémentine, mes chers reptiliens illuminato, et, surtout, cher lectorat, je crois bien que je rentrais jusqu'à cette nuit dans toutes les catégories citées : je tournais autour de la terre, j’osais tout, j’en étalais partout. Jusqu’à la révélation d’une beauté fondamentale : celle rencontrée lors de mon tout premier concert de Magma.
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Interview : Radikal Satan + live Report : Agathe Max/Radikal Satan, Lyon (ou presque), le 5 octobre 2015
Dioneo › lundi 19 octobre 2015
Radikal Satan : le nom de ce groupe m’avait sonné dans l’oreille, bien avant que j’entende la moindre note, le plus petit fragment de leurs musiques étonnantes. Il s’était insinué. Bizarre mais à mon sens génial. Sautant par dessus le grotesque en en rajoutant encore, avec ce « k »… Je ne l’ai pas, ne l’avais pas, ne l’ai jamais trouvé ridicule. Ça m’intriguait. Un camarade m’avait dit « tango-doom », ou quelque chose d’approchant. J’avais failli les voir, à Paris… Je ne sais plus pourquoi mais : occasion loupée. Bon… Et puis, une, deux, je ne sais plus combien d’années plus tard, alors que j’étais revenu ici, à Lyon, ce drôle de patronyme était réapparu – comme un indice, un signe… « Radikal Satan à La Triperie ». Ça rendait… Noir, et drôle. Encore une fois : trop… Suffisamment trop – juste assez – pour que ça marche. Ça semblait la promesse d’une soirée aux lumières sang – aux vaisseaux chargés de gnôles et de butins. Et une fois dedans, ç’avait été la secousse, le bel emportement. Et le brasier, oui, mais ça, pragmatiquement, aussi : parce que littéralement on fondait, là-dedans, dans ce petit espace bondé où en effet, nous n’étions venus, pour la plupart, guère portés sur l’eau claire… Les frères argentins de Bordeaux – César et Mauricio (alias Momo) Amarante – y étaient seuls ce soir-là. Contrebasse, doigts munis d’ongles sur la caisse de l’instrument, une guitare parfois ; une cymbale défoncée, qu’il frappait du pied : César ; et Momo : au clavier – tropical et gothique, synthétique enfiévré – quand ce n’était pas au soufflet, accordéon, bandonéon. Leurs deux voix en bribes et éclats. César qui marmonnait des choses entre les morceaux, introductions ou continuations indistinctes, liens à moitié bouffés. Belle soirée, oui – dont j’étais ressorti délesté de tout poids mort, de toutes inutiles réserves… Jour plein, soir de rencontre. Flambée nuit où l’œil portait à perte, à travers. Bien évidemment, il ne m’était pas pensable d’en rester là. J’avais cherché, fouillé. J’avais trouvé cette discographie qui – tout de suite – m’avait semblé dédale où se perdre en tous sens… Zone mouvante et habitée, individus, recoins, enceintes, champs ouverts, foules, petits et grands isolés qui trament en secret, ou qui braillent… – et puis peuplée d’absences, aussi : celle des endroits et celle des êtres. Je m’y étais enfoncé… (Je vous en avais causé, ailleurs, plus longuement – en détaillant, en quelque sorte, comme je pouvais, comme il me semblait entendre). César s’était fendu de quelques précisions à propos de l'album Clochette – bout gravé d’une étrange manière de live, justement, en commentaire de sa chronique dédiée. J’avais saisi l’occasion, prolongé l’échange amorcé, proposé qu’on se « parle de visu », la prochaine fois qu’ils croiseraient dans nos parages, Lyon ou périphérie. Qu’on enregistre ça, aussi… De rendre ça public, ici. Ils étaient d’accord… Avec un « mais ». Qui était un On Ne Sait Pas Quand. Il me disait qu’un nouveau disque serait bientôt enregistré. Qu’ils y seraient quatre, cette fois. Que ça prenait du temps. Que tourner avalait les jours, les semaines, les mois. Que tout ça coûtait de l’argent. « OK, oui mais », alors… Et pourtant, finalement…
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Radikal Satan / Krupuk - Hôtel des Vil(e)s, Clermont-Ferrand, 10/10/2015
Rastignac › mardi 13 octobre 2015
Clermont-Ferrand, ville de ténèbres, cheminées d’usines, casernes, pierres volcaniques, ruelles glauques, bars perdus, snacks vides, quel autre quartier que celui de la gare pourrait être mieux disposé pour accueillir un concert de musique satanique radicale ?
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Féeries pour les ténèbres, de Jérôme Noirez
Saïmone › dimanche 12 janvier 2014
Vous aviez rêvé de l'improbable rencontre entre Gae Bolg et Mr Bungle ?
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ELECTRIC WIZARD + Sofy Major, à L'Epicerie Moderne, Feyzin, le 13 Mars 2011
Dariev Stands › jeudi 24 mars 2011
Depuis que Shrinebuilder est passé à l'épicerie moderne, utilisant le formidable son de cette remarquable salle pour faire vibrionner la moindre parcelle de nos corps éperdus, je m'étais juré de ne rater aucun concert affilié doom de près ou de loin... Alors quand les papes du genre en personne débarque de leur angleterre profonde pour nous abreuver de leur habituel déluge de basses fréquences vrombissantes, j'accours, je vole, que dis-je... Je me fais co-voiturer, quoi.
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INTERVIEW DE L'EQUIPE DE GUTS OF DARKNESS - part 2
Dariev Stands › lundi 17 décembre 2007