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Hellfest 2022 - Partie 1

Nicko et Chris › dimanche 7 août 2022

Le Hellfest est de retour ! Après deux années de pandémie, les conditions sanitaires sont devenues suffisamment bonnes pour permettre à nouveau le rassemblement de plusieurs milliers de personnes dans cette petite ville de Clisson en Pays de la Loire. Et en cette année de reprise, l'édition 2022 du Hellfest fut historique. Car ce ne sont pas, comme habituellement, 3 jours de festival sur un week-end auxquels nous avons eu droit, mais rien de moins que... 7 jours étalés sur deux week-ends consécutifs avec une pause de 3 jours entre les deux week-ends. Bref, au lieu des traditionnels 160 groupes qui se succédaient lors des éditions précédentes, cette année, environ 350 artistes ont été conviés pour ce cru XXL du Hellfest. Et pour le coup, niveau line-up et têtes d'affiches, le Hellfest a vraiment tapé très très fort. Visez un peu ces 7 têtes d'affiches pour chacune des journées du festival : Deftones, Ghost, Gojira, Scorpions, Nine Inch Nails, Guns N' Roses et Metallica ! Il y en a pour tous les goûts, des gloires des années 90, des groupes plus récents qui ne cessent d'attirer un public plus large, des anciennes gloires des années 70-80, des mastodontes du hard-rock/heavy-metal des années 80 avec un final explosif le dernier jour avec l'un des groupes les plus fédérateurs du genre. Et c'est sans compter le reste de l'affiche avec d'autres grosses pointures, certains choix se sont avérés compliqués, et nous le savions en arrivant sur le site...
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☉ - L'Effondras aux Passagers du Zinc (Besançon) - Interview et live report

Dioneo › mardi 14 décembre 2021

On se demandait quand ça s'arrêterait... Ce « RIEN » persistant au niveau des concerts, de la vie dans les caves. On appelait ça de nos vœux, pas éteints – attisés plutôt, l'abattement premier passé, la routine commençant à gêner vraiment trop aux entournures, de cet à-l'ouest-rien-de-nouveau. A l'ouest et partout ailleurs, d'ailleurs, à en croire les nouvelles lues, entendues (moins fraîches que ressassées) d'à peu près n'importe où dans le monde. R.A.S., R.A.S., R.A.S. … Comme un non-recevoir – un non-signal brouillé émis en continu. Bon... Puis à vrai dire, l'été venant, on avait commencé à percevoir quelques éclats furtifs, pourtant. Des sorties de résidences à défaut de concerts appelés techniquement, légalement comme ça - les groupes pas morts avaient continué d'enregistrer des choses. Quelques fêtes d'anniversaires un peu grosses, en juillet/août, avec des adhésions associatives en guise de cartes. L'envie de bouger nous avait pris – nous avait rappelée qu'elle ne nous lâchait pas. Quelques dates avaient suivies, les potes et d'autres qui jouaient en plein air – avec ou sans stands de brasseurs en agréments ou en prétextes. Nous – avec la Compagnonne – on avait changé de ville, aussi, filé plus à l'Est (… du nouveau ?) pour nous y installer un moment. Nouvelle ville – Besançon. Autre lumière. Les rues en pierres bleues et jaunes, le ciel parfois chargé mais toujours visible, autrement qu'en couloirs étroits au-dessus des bâtiments. Un ciel moins clos, brume ou pas sur les collines – de l'inédit, pour moi le Lyonnais passé aussi longuement par Paris. On... Respire. Et puis voilà, un jour on voit ça : L'Effondras – de Lyon, justement, en partie, de l'Ain, aussi – qui jouent aux Passagers du Zinc. Un lieu connu par les gens d'ici, à mi-pente dans le quartier Battant, au-dessus du Doubs – par nombre de groupes d'un peu partout en France (et en Suisse ?), aussi, de celles et ceux qui ont eu l'occasion de passer dans le coin au hasard plus ou moins maîtrisé d'une tournée ou d'une autre. Un bar au rez de chaussée. Un capot de DS – la vieille caisse de chez Citroën, oui – qui s'ouvre sur la salle, en bas. L'Effondras... Justement, on voulait se parler – mutuellement. Justement, je m'étais « remis » à leur musique, un nouvel album étant sorti – du « nulle-part » dont on causait plus haut – en mai de cette année. Écouté, vite, ici. Et puis le reste, en remontant le fil des disques et des années. Et puis encore, après, dans le sens usuel du défilement... En deux trois messages, on a pris rendez-vous. On y serait... Le soir dit, la porte passée, Méghane, la tenancière, me dit du bar : « ils sont en terrasse ». Elle m'y guide, on prend pied, on bavarde un instant. Un type s'arrête pour nous parler – de l'observance des interdits, de ce qu'il mange, ce qu'il boit, ce qu'il fume. Il prend congé – une bonne demie-douzaine de fois, en s'éloignant chaque fois d'un ou deux pas. Pas très centré... C'est vivant, Battant. C'est passant, aussi, cette rue, question bagnoles. On se met d'accord pour « faire ça plutôt à l'intérieur »...
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Motocultor 2019

Nicko › jeudi 5 septembre 2019

Enfin le Motocultor ! Bizarrement, nous n'avions jamais suivi ce festival jusqu'à présent. Entre le manque de disponibilité et certaines affiches moins bonnes que d'autres, jamais les étoiles n'avaient pu s'aligner... jusqu'à cette édition 2019 ! Cette année, nous étions disponibles et en plus l'affiche était particulièrement alléchante. Aussi, pour cette douzième édition, le festival a rajouté une journée le jeudi pour passer à 4 jours pour un événement spécial, une première journée placée sous le signe du rock celtique avec en tête d'affiche la venue de l'opéra-rock Excalibur d'Alan Simon qui fête son vingtième anniversaire à cette occasion avec un set de pas moins de 3 heures et plus d'une centaine de musiciens ! Les trois autres jours sont plus traditionnels avec comme têtes d'affiche les punks de NOFX, les légendes nationales du hard-rock Trust et les coreux d'Hatebreed. Au-delà de ces têtes d'affiche, le festival fait preuve d'un grand éclectisme avec notamment la présence de formations aussi diverses que Hypocrisy, Kadavar, The Night Flight Orchestra, Magma, Gaahl's Wyrd, Incantation, Gronibard, Ihsahn, Marduk, Ange, Les Ramoneurs de Menhirs parmi d'autres, auxquels s'est ajouté Henri Dès qui doit interpréter ses chansons pour enfants en mode punk-rock avec le groupe de son fils ! Bref, le Motocultor est un festival à part que nous nous devions de découvrir. Voici donc le report de cette édition 2019 que nous attendions avec impatience.
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Garmonbozia Fête Ses 20 Ans !

Nicko › dimanche 11 novembre 2018

En cette fin de mois d'octobre avait lieu un festival particulier à plus d'un titre en Bretagne, intitulé "Garmonbozia fête ses 20 ans". Pour ceux qui se demandent ce qu'il se cache derrière ce nom un peu bizarre venant tout droit de l'univers de David Lynch, l'association Garmonbozia est un des organisateurs de concerts métalliques (principalement) les plus actifs en Bretagne et à Paris (mais pas uniquement). C'est donc en grande partie grâce à leur travail que nous avons droit à notre dose de concerts dans la capitale. L'association fête en cette année 2018 ses 20 ans et a décidé de marquer le coup en organisant dans son fief de Rennes un festival sur deux jours dans une très belle salle en plein centre-ville avec au programme pas moins de 16 groupes représentant les principaux courants musicaux des concerts que l'association organise, à savoir du black metal, du death metal, du stoner, du rock psychédélique, du thrash ou du hardcore. Bref, nous étions donc prêts pendant ces deux journées à voir des performances plutôt éclectiques, avec comme têtes d'affiches, Enslaved et Carcass.
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YOB / Wiegedood - Le Rocher de Palmer, Cenon, 25/10/2018

Rastignac › samedi 27 octobre 2018

Quand on se balade, il est toujours mieux, toujours plus bien, en somme toujours plus flex et cool et no limit dans le plaiz que de se taper des concerts : ça ajoute de l'agréable au bienheureux. Quoi de plus normal alors que d'aller voir Yob quand on se retrouve dans l'agglomération bordelaise ? Comme ça comme ci ? Hein ?
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Nifelheim, Paris, Gibus, 2 mai 2018

Nicko › mardi 8 mai 2018

Ce soir au Gibus de Paris, on a rendez-vous avec l'essence même du metal, à tout point de vue ! Petite tournée européenne mise en place à la dernière minute, les jumeaux les plus connus de la scène metal internationale sont de passage dans la capitale française (après une date à Lyon la veille). Nifelheim, c'est LE groupe à voir dans sa vie en concert pour comprendre ce qu'est le metal direct, sans fioritures et sans aucun compromis ! Sortez le cuir, les clous et les cartouchières, c'est parti !
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Kadavar, Paris, Trabendo, 17 nov. 2015

Nicko › mercredi 18 novembre 2015

Quoi de plus banal pour nous, fans de musique - surtout lorsqu'elle est jouée en live -, que d'aller à un concert ? Attendre les annonces de concert avec anxiété pour découvrir les noms synonymes de soirées musicales vibrantes, acheter sa place, le jour J se préparer en vue de la soirée, prendre le métro, arriver sur les lieux, passer une bonne soirée en communion avec tous les autres fans venus se réunir pour assister aux performances des différents artistes, boire des coups, chanter, danser, rigoler, acheter un T-shirt, et puis tranquillement rentrer chez soi la tête pleine de supers bons souvenirs. Il n'y a véritablement rien d'exceptionnel ici. Sauf que depuis, il y a eu un funeste vendredi 13 novembre 2015 où nombre de fans avaient commencé leur journée de concert comme celle que j'ai brièvement décrite plus haut, sauf que pour eux, il n'y a pas eu de retour tranquille à la maison. Tout s'est arrêté brutalement aux sons d'armes de guerre qui n'auraient jamais dû avoir leur place dans une salle de concert. Et quand on fait autant de concerts depuis une vingtaine d'années, on a forcément des proches, des potes mélomanes, qui étaient présent au Bataclan ce soir-là. On se sent d'autant plus concerné par ces événements. On pense à ces potes qui ont vécu l'horreur et, pour les plus chanceux qui s'en sont sortis, qui vont devoir vivre avec ce cauchemar.
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Interview : Radikal Satan + live Report : Agathe Max/Radikal Satan, Lyon (ou presque), le 5 octobre 2015

Dioneo › lundi 19 octobre 2015

Radikal Satan : le nom de ce groupe m’avait sonné dans l’oreille, bien avant que j’entende la moindre note, le plus petit fragment de leurs musiques étonnantes. Il s’était insinué. Bizarre mais à mon sens génial. Sautant par dessus le grotesque en en rajoutant encore, avec ce « k »… Je ne l’ai pas, ne l’avais pas, ne l’ai jamais trouvé ridicule. Ça m’intriguait. Un camarade m’avait dit « tango-doom », ou quelque chose d’approchant. J’avais failli les voir, à Paris… Je ne sais plus pourquoi mais : occasion loupée. Bon… Et puis, une, deux, je ne sais plus combien d’années plus tard, alors que j’étais revenu ici, à Lyon, ce drôle de patronyme était réapparu – comme un indice, un signe… « Radikal Satan à La Triperie ». Ça rendait… Noir, et drôle. Encore une fois : trop… Suffisamment trop – juste assez – pour que ça marche. Ça semblait la promesse d’une soirée aux lumières sang – aux vaisseaux chargés de gnôles et de butins. Et une fois dedans, ç’avait été la secousse, le bel emportement. Et le brasier, oui, mais ça, pragmatiquement, aussi : parce que littéralement on fondait, là-dedans, dans ce petit espace bondé où en effet, nous n’étions venus, pour la plupart, guère portés sur l’eau claire… Les frères argentins de Bordeaux – César et Mauricio (alias Momo) Amarante – y étaient seuls ce soir-là. Contrebasse, doigts munis d’ongles sur la caisse de l’instrument, une guitare parfois ; une cymbale défoncée, qu’il frappait du pied : César ; et Momo : au clavier – tropical et gothique, synthétique enfiévré – quand ce n’était pas au soufflet, accordéon, bandonéon. Leurs deux voix en bribes et éclats. César qui marmonnait des choses entre les morceaux, introductions ou continuations indistinctes, liens à moitié bouffés. Belle soirée, oui – dont j’étais ressorti délesté de tout poids mort, de toutes inutiles réserves… Jour plein, soir de rencontre. Flambée nuit où l’œil portait à perte, à travers. Bien évidemment, il ne m’était pas pensable d’en rester là. J’avais cherché, fouillé. J’avais trouvé cette discographie qui – tout de suite – m’avait semblé dédale où se perdre en tous sens… Zone mouvante et habitée, individus, recoins, enceintes, champs ouverts, foules, petits et grands isolés qui trament en secret, ou qui braillent… – et puis peuplée d’absences, aussi : celle des endroits et celle des êtres. Je m’y étais enfoncé… (Je vous en avais causé, ailleurs, plus longuement – en détaillant, en quelque sorte, comme je pouvais, comme il me semblait entendre). César s’était fendu de quelques précisions à propos de l'album Clochette – bout gravé d’une étrange manière de live, justement, en commentaire de sa chronique dédiée. J’avais saisi l’occasion, prolongé l’échange amorcé, proposé qu’on se « parle de visu », la prochaine fois qu’ils croiseraient dans nos parages, Lyon ou périphérie. Qu’on enregistre ça, aussi… De rendre ça public, ici. Ils étaient d’accord… Avec un « mais ». Qui était un On Ne Sait Pas Quand. Il me disait qu’un nouveau disque serait bientôt enregistré. Qu’ils y seraient quatre, cette fois. Que ça prenait du temps. Que tourner avalait les jours, les semaines, les mois. Que tout ça coûtait de l’argent. « OK, oui mais », alors… Et pourtant, finalement…
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Radikal Satan / Krupuk - Hôtel des Vil(e)s, Clermont-Ferrand, 10/10/2015

Rastignac › mardi 13 octobre 2015

Clermont-Ferrand, ville de ténèbres, cheminées d’usines, casernes, pierres volcaniques, ruelles glauques, bars perdus, snacks vides, quel autre quartier que celui de la gare pourrait être mieux disposé pour accueillir un concert de musique satanique radicale ?
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CTM Festival - Electric Wizard, Extreme Precautions - Astra Kulturhaus, Berlin, 25/01/2015

Rastignac › mercredi 4 février 2015

"Berlin est une ville qui fait la moitié de la France." C'est ce que je me suis dis en me faisant emporter à toute berzingue par une bagnole là-bas, dans ces méandres d'avenues énormes, pleines de bars, de trucs cachés, d'histoire contemporaine. Cette ville, malgré tout l'éclairage qu'elle subit depuis longtemps reste pour moi un labyrinthe infini... tellement mutant, qui dégage tellement de bizarreries et de paradoxes, de jeunesse et d'interrogations, de combats et de rêveries. En tout cas vous y retrouverez un paquet de machins sombres et expérimentaux, il suffit de lever le nez ou le baisser, c'est bath non ? Un de ces trucs est le festival CTM... Alors, c'est quoi le CTM festival ?
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Inquisition, Divan du Monde, Paris, 28 janv. 2015

Nicko › dimanche 1 février 2015

Ce soir, pour moi, il s'agit du premier concert de l'année 2015. Je pense qu'on peut difficilement avoir une meilleure affiche pour débuter une année de concert. 4 groupes sont à l'affiche dont 3 véritablement cultes dans la scène black metal. Honnêtement, Inquisition, Archgoat et Ondskapt, ça a de la gueule !! Tout ce joli petit monde se retrouve à Paris,au Divan du Monde avec 500 fans acquis à leur cause ! La salle est ultra-pleine et à mon avis, peu de metalheads ont été déçus de la soirée.
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Interview : Zühn

Dioneo › vendredi 10 octobre 2014

J’ai découvert Zühn par un quasi hasard. En cherchant tout autre chose – en continuant de me balader sur le site du label Los Emes Del Oso après y avoir trouvé ce pourquoi j’y étais d’abord venu. J’explorais leur déstabilisant et réjouissant foutoir de catalogue - avec ses objets singuliers, ses albums parfois enregistrés au dictaphones et ses images relevant souvent du montage sauvage, du collage à l'arrache, du brut d’informatique sommaire. Au milieu de tout ça une pochette m’a chopé l’œil. Simple, presque sobre au milieu de ce déchainement de couleurs primaires ; sensuelle très simplement ; une religieuse nue, le sexe caché par un triangle noir mais le vêtement ouvert en grand dévoilant tout son corps. Un nom : Zühn. Et un titre : Los Sueños, Lucifer. "Los Sueños" signifie : Les Rêves... Mon imagination était lancée. Et l’écoute du disque – au son qui plus est cette fois pas du tout lo-fi, pas du tout surproduit mais très lisible, épais – n’avait rien fait pour la calmer… Quatre albums en quatre ans, tous disponibles uniquement en téléchargements gratuits. Aucune indication quant à qui jouait, depuis où… Une prédilection certaines pour l'alchimie des éléments – le feu, la glace – et les thèmes mystiques… Toujours, seulement : une image simple mais évocatrice ; des titres souvent allusifs, noms communs plutôt que phrases, explications. Une vibration prenante - pleine et aérée - dont la richesse se révélait au fil des écoutes. Un doute me venait sur les influences du groupe, ses possibles motifs… Et d’ailleurs était-ce bien un groupe ? Y avait-il vraiment du Earth ou du Morriconne, dans cette musique ? Ou bien des racines plus lointaines, communes à ceux-là – d'Amérique et d'Europe obsédées par un autre Orient ? D'où venait ce souffle vaste ? Cette hantise, cette aspiration que je croyais bien y sentir : d'une fusion, d’une immersion dans l’univers vivant ; aussi, cette conscience aigüe qui y rôdait : de notre solitude ? Renseignement pris – car notre époque permet aussi de contacter d’un seul clic ceux qui sans se cacher ne cherchent pas à s’étaler – Zühn est bien un seul homme - Simon ; la proposition fut lancée - et acceptée - d'une interview. De la quête d’une communion ; de l’incommunicable par les mots ; des guitares à deux sous qui en valent bien certaines autres ; de la musique non-payante mais jamais gratuite… De la nécessité de faire claquer le volume.
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Hellfest 2014 par Stéphane

Stéphane › mercredi 2 juillet 2014

Comme chaque année, la grande messe noire du metal se tient à Clisson, et cette cuvée du Hellfest 2014 avait une saveur toute particulière à mes yeux. A l'affiche, un groupe me fait de l'oeil, un groupe que je n'ai encore jamais vu et qui fait partie de mes quatre références absolues, Emperor. J'étais pressé, je n'ai pas été déçu. Revue de détail.
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Blastfest 2014

Nicko › jeudi 6 mars 2014

Un nouveau festival s'est créé en ce mois de février dans le berceau du black metal norvégien, à Bergen. Quand les premiers groupes ont été annoncé, il ne m'a pas fallu plus d'une demi-journée pour m'organiser et décider d'aller assister à ce festival de 3 jours. Et heureusement que je n'ai pas trop réfléchis pour me décider parce qu'avec 200€ d'avion, 150€ d'hôtel et plus de 200€ pour le festival (oui, oui, minimum 15€ plus cher que le Hellfest...), ça fait tout de suite un sacré budget. Ajouté à cela des prix sur place extrêmement élevés (juste pour donner un ordre d'idée, une bière coûtait pendant le festival entre 10€ et 15€...), il faut avoir quelques économies avant de partir !!!
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MAKE A CHANGE... KILL YOURSELF - Klub, Paris, 17 déc. 2012

Nicko › mardi 18 décembre 2012

Ce soir, au Klub, c'est concert pour déprimés et suicidaires ! Ca tombe bien, j'avais justement besoin d'un p'tit remontant !! Un temps annulé à une dizaine de jours de la date, le concert a finalement eu lieu. Au départ, la tournée devait faire une dizaine de villes en Europe, au final, seuls Paris et Zürich seront joués. Alors le Klub, c'est vraiment une toute petite salle, pas de scène ni d'estrade, le groupe joue au même niveau que le public, ça donne une grande proximité avec les musiciens. Make A Change... Kill Yourself est un groupe danois que j'ai découvert il y a quelques années, un peu par hasard, mais qui m'avait très agréablement surpris. Vu la petite renommée de la formation, je n'imaginais pas un jour la voir en concert à Paris, surtout dans ce style si extrême et jusqu'au-boutiste. Je ne pouvais manquer une telle soirée.
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GONG + JACK DUPON aux Abattoirs, Bourgoin-Jailleu, le 27 Octobre 2012

Dariev Stands › lundi 29 octobre 2012

C’est en ce samedi soir de blizzard furieux soufflant sur notre engin motorisé à couleur Pot-Head Pixie que nous avons bravé la déferlante (digne d’un album de Bathory, ce vent, sans rire), pour atteindre la salle de concert, bucoliquement nommée les Abattoirs, où Gong se produisait ce soir-là. Groupe issu d’un accident (Daevid Allen, australien expatrié à Londres, reste coincé au Havre faute de papiers en règle, au retour d’une descente sur la riviera avec son groupe Soft Machine), Gong aura par la force des choses développé des connexions privilégiées avec notre riant pays, intégrant même une majorité de musiciens français dans ses rangs à ses débuts. On les a longtemps associé (à tort), à Magma, et aujourd’hui encore, la pauvreté accablante des lieux de concerts en France les force à utiliser les mêmes réseaux pour se produire (dans les 70’s, c’était le fameux réseau des MJC, tissé entre autres par la tête chercheuse Giorgio Gomeslky). Du coup, c’est sans surprise que Gong, ne pouvant pas se produire à Lyon, passe dans la même salle que Magma quelques mois plus tôt, qui a d’ailleurs déjà accueilli quelques grands noms du Canterbury par le passé…
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Sepultura / Exodus / Destruction / Heathen - 27/11/2011 - Paris (bataclan)

Stéphane › lundi 28 novembre 2011

Du thrash, de la bière et de la sueur nom de Dieu.
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THE LEGENDARY PINK DOTS – Interview avec Edward Ka-Spel au Sonic, Lyon, le 21/04/2011

Dariev Stands › mercredi 1 juin 2011

Ce concert du Jeudi 21 Avril 2011, vous n’avez pas pu y échapper : le flyer en était placardé sur la page d’acceuil du site longtemps à l’avance. Les Legendary Pink Dots faisaient une petite tournée française, accompagnés des prometteurs [bleu], et guts of darkness était partenaire de l’évènement pour l’occasion… Pour ceux n’ayant pas pu s’y rendre (il semble que la péniche du Sonic était pleine, ou quasi-pleine), voici donc une interview d’Edward Ka-Spel, chanteur, conteur, et leader du groupe depuis ses tout débuts voici maintenant plus de 30 ans. Une interview que votre serviteur a voulu différente, bien conscient de la réticence de Ka-Spel à livrer les secrets de sa poésie mystique en clair-obscur. J’ai donc opté pour une thématique « mélomane », vu que Ka-Spel fait régulièrement montre de sa passion indefectible pour toutes les musiques bizarres et interlopes possibles, des premiers Genesis à Spiritualized, en passant par PFM ! Pour preuve, la rubrique “choses magnifiques qui ont croisé notre chemin” sur la mailorder du groupe (terminal kaleidoscope), véritable mise en lumière d’illustres inconnus glanés au fil des cadeaux donnés par les fans du groupes, notoirement dévoués et barges. Histoire de ne pas déroger, j’offris donc 3 cd au groupe. Mais avant cela parlons un peu du concert…
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King’s X au Ninkasi Kao, Lyon, 23 Avril 2011

Dariev Stands › lundi 9 mai 2011

Il faut quand même glisser une ligne sur un sujet peu abordé mais néanmoins houleux : les timings des concerts. Selon les salles, pour la seule ville de Lyon, un concert peut commencer à 19h comme à 23h… Il faut donc être au courant de la politique de la salle avant de se rendre au concert sous peine de rater le début, ou de poireauter 3 heures avant que la moindre note ne soit jouée… Le Ninkasi Kao, lui, joue plutôt dans la première catégorie, malgré sa position assez confortable niveau voisinnage (et le dernier métro étant vers minuit). Nous ratâmes donc la première partie et – malheur – un bout du set de King’s X ce soir-là. Ces disparités de « timing » ont pourtant leurs avantages : vous pouvez vous rendre à deux concerts différents le même soir, et voir les deux têtes d’affiches, en vous dépêchant un peu…
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