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Garmonbozia Fête Ses 20 Ans !

Nicko › dimanche 11 novembre 2018

En cette fin de mois d'octobre avait lieu un festival particulier à plus d'un titre en Bretagne, intitulé "Garmonbozia fête ses 20 ans". Pour ceux qui se demandent ce qu'il se cache derrière ce nom un peu bizarre venant tout droit de l'univers de David Lynch, l'association Garmonbozia est un des organisateurs de concerts métalliques (principalement) les plus actifs en Bretagne et à Paris (mais pas uniquement). C'est donc en grande partie grâce à leur travail que nous avons droit à notre dose de concerts dans la capitale. L'association fête en cette année 2018 ses 20 ans et a décidé de marquer le coup en organisant dans son fief de Rennes un festival sur deux jours dans une très belle salle en plein centre-ville avec au programme pas moins de 16 groupes représentant les principaux courants musicaux des concerts que l'association organise, à savoir du black metal, du death metal, du stoner, du rock psychédélique, du thrash ou du hardcore. Bref, nous étions donc prêts pendant ces deux journées à voir des performances plutôt éclectiques, avec comme têtes d'affiches, Enslaved et Carcass.
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Interview : Radikal Satan + live Report : Agathe Max/Radikal Satan, Lyon (ou presque), le 5 octobre 2015

Dioneo › lundi 19 octobre 2015

Radikal Satan : le nom de ce groupe m’avait sonné dans l’oreille, bien avant que j’entende la moindre note, le plus petit fragment de leurs musiques étonnantes. Il s’était insinué. Bizarre mais à mon sens génial. Sautant par dessus le grotesque en en rajoutant encore, avec ce « k »… Je ne l’ai pas, ne l’avais pas, ne l’ai jamais trouvé ridicule. Ça m’intriguait. Un camarade m’avait dit « tango-doom », ou quelque chose d’approchant. J’avais failli les voir, à Paris… Je ne sais plus pourquoi mais : occasion loupée. Bon… Et puis, une, deux, je ne sais plus combien d’années plus tard, alors que j’étais revenu ici, à Lyon, ce drôle de patronyme était réapparu – comme un indice, un signe… « Radikal Satan à La Triperie ». Ça rendait… Noir, et drôle. Encore une fois : trop… Suffisamment trop – juste assez – pour que ça marche. Ça semblait la promesse d’une soirée aux lumières sang – aux vaisseaux chargés de gnôles et de butins. Et une fois dedans, ç’avait été la secousse, le bel emportement. Et le brasier, oui, mais ça, pragmatiquement, aussi : parce que littéralement on fondait, là-dedans, dans ce petit espace bondé où en effet, nous n’étions venus, pour la plupart, guère portés sur l’eau claire… Les frères argentins de Bordeaux – César et Mauricio (alias Momo) Amarante – y étaient seuls ce soir-là. Contrebasse, doigts munis d’ongles sur la caisse de l’instrument, une guitare parfois ; une cymbale défoncée, qu’il frappait du pied : César ; et Momo : au clavier – tropical et gothique, synthétique enfiévré – quand ce n’était pas au soufflet, accordéon, bandonéon. Leurs deux voix en bribes et éclats. César qui marmonnait des choses entre les morceaux, introductions ou continuations indistinctes, liens à moitié bouffés. Belle soirée, oui – dont j’étais ressorti délesté de tout poids mort, de toutes inutiles réserves… Jour plein, soir de rencontre. Flambée nuit où l’œil portait à perte, à travers. Bien évidemment, il ne m’était pas pensable d’en rester là. J’avais cherché, fouillé. J’avais trouvé cette discographie qui – tout de suite – m’avait semblé dédale où se perdre en tous sens… Zone mouvante et habitée, individus, recoins, enceintes, champs ouverts, foules, petits et grands isolés qui trament en secret, ou qui braillent… – et puis peuplée d’absences, aussi : celle des endroits et celle des êtres. Je m’y étais enfoncé… (Je vous en avais causé, ailleurs, plus longuement – en détaillant, en quelque sorte, comme je pouvais, comme il me semblait entendre). César s’était fendu de quelques précisions à propos de l'album Clochette – bout gravé d’une étrange manière de live, justement, en commentaire de sa chronique dédiée. J’avais saisi l’occasion, prolongé l’échange amorcé, proposé qu’on se « parle de visu », la prochaine fois qu’ils croiseraient dans nos parages, Lyon ou périphérie. Qu’on enregistre ça, aussi… De rendre ça public, ici. Ils étaient d’accord… Avec un « mais ». Qui était un On Ne Sait Pas Quand. Il me disait qu’un nouveau disque serait bientôt enregistré. Qu’ils y seraient quatre, cette fois. Que ça prenait du temps. Que tourner avalait les jours, les semaines, les mois. Que tout ça coûtait de l’argent. « OK, oui mais », alors… Et pourtant, finalement…
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ORCHID - Glaz'art, Paris, 4 nov. 2013

Nicko › samedi 9 novembre 2013

Alors ce soir au Glaz'art, on va faire un voyage dans le temps. Parce que l'affiche du soir, c'est du psychédélique version 70's à mort ! Bien que je ne sois pas le plus grand fan du monde du genre, y'a quand même un groove fabuleux dans ce genre. Et quand en plus, en tête d'affiche, c'est le groupe américain Orchid, c'est simplement la soirée impossible à louper !! D'autant plus que le groupe avait annulé sa précédente tournée européenne au printemps dernier. Pour couronner le tout, le prix des places est indécemment bas, une qinzaine d'euros.
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Top 10 2010

Phaedream › vendredi 4 février 2011


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