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Interview avec Jerry des Chants de Nihil

Ntnmrn › samedi 17 avril 2021

Les Chants de Nihil se sont toujours distingués dans la scène black metal français par un ton décalé, voire délirant, une tendance à l’autodérision, bien loin de « la course à qui sera le plus méchant ». La sortie de Le tyran et l'esthète est l'occasion de discuter musique, politique et texte avec un Jerry toujours aussi volubile en interview.
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YOB / Wiegedood - Le Rocher de Palmer, Cenon, 25/10/2018

Rastignac › samedi 27 octobre 2018

Quand on se balade, il est toujours mieux, toujours plus bien, en somme toujours plus flex et cool et no limit dans le plaiz que de se taper des concerts : ça ajoute de l'agréable au bienheureux. Quoi de plus normal alors que d'aller voir Yob quand on se retrouve dans l'agglomération bordelaise ? Comme ça comme ci ? Hein ?
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Please Lose Battle / Pryapisme - Le Tremplin, Beaumont, 16/03/2017

Rastignac › vendredi 17 mars 2017

C’est décidé. Aujourd’hui, je vais voir le monde comment il va ! Je me sors donc la voiture du garage et je fonce vers Beaumont pour découvrir enfin les prophètes de l’avènement de l’ère du Chat en Vrai, je veux bien parler de : Pryapisme en concert !
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Roadburn 2016

Rastignac › vendredi 22 avril 2016

Petite ville choupinette, Tilburg, coincée entre Eindhoven, Breda et Bois-le-Duc est le genre d’endroit où le touriste moyen ne s’arrêtera pas, sauf s’il est amateur de bière trappiste, de poney fringuant ou de ballades à vélo au milieu des champs, forêts et maisons en briquette ; par contre le métalleux, le curieux, ou l’amateur de psychédélie plus ou moins forte connait bien le nom de Tilburg. Foyer de concerts se passant au 013 « Poppodium », la ville accueille notamment le joli Netherland Deathfest et le Roadburn Festival dont je vais vous parler. Bande d’impies hippies.
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Kadavar, Paris, Trabendo, 17 nov. 2015

Nicko › mercredi 18 novembre 2015

Quoi de plus banal pour nous, fans de musique - surtout lorsqu'elle est jouée en live -, que d'aller à un concert ? Attendre les annonces de concert avec anxiété pour découvrir les noms synonymes de soirées musicales vibrantes, acheter sa place, le jour J se préparer en vue de la soirée, prendre le métro, arriver sur les lieux, passer une bonne soirée en communion avec tous les autres fans venus se réunir pour assister aux performances des différents artistes, boire des coups, chanter, danser, rigoler, acheter un T-shirt, et puis tranquillement rentrer chez soi la tête pleine de supers bons souvenirs. Il n'y a véritablement rien d'exceptionnel ici. Sauf que depuis, il y a eu un funeste vendredi 13 novembre 2015 où nombre de fans avaient commencé leur journée de concert comme celle que j'ai brièvement décrite plus haut, sauf que pour eux, il n'y a pas eu de retour tranquille à la maison. Tout s'est arrêté brutalement aux sons d'armes de guerre qui n'auraient jamais dû avoir leur place dans une salle de concert. Et quand on fait autant de concerts depuis une vingtaine d'années, on a forcément des proches, des potes mélomanes, qui étaient présent au Bataclan ce soir-là. On se sent d'autant plus concerné par ces événements. On pense à ces potes qui ont vécu l'horreur et, pour les plus chanceux qui s'en sont sortis, qui vont devoir vivre avec ce cauchemar.
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Interview : Mesdames + Live Report : Mesdames/Rozi Plain, Lyon (La Triperie), le 13 octobre 2015

Dioneo › vendredi 13 novembre 2015

Il y a des soirées chaleureuses qui concluent des jours gris, pas très gais. On s’y rend – à l’endroit familier ; ou quelquefois inconnu – et soudain tout change. Sur le chemin, même, on se détend. On prévoit… Mais pas trop. J’avais vu Mesdames, groupe de Chambéry, dans cette même salle – La Triperie, dans les Pentes, le quartier de la Croix Rousse, à Lyon – une première fois, un an à peine plus tôt, en 2014. J'avais été soufflé, tout de suite, par leur énergie ; et l’impression, aussi, d’une délicatesse ; ou plutôt, ou surtout : d’une sensibilité vive, à vif, derrière l’agitation. Compositions remuées et fines… Musique pas cernable. Qu’eux-mêmes ne semblaient pas savoir trop, vouloir vraiment définir, nommer, rattacher… Les morceaux qu’ils avaient joués ce soir là n’étaient pas ceux de l’album qu’ils vendaient, à la fin, au stand. Les versions en studio de ceux-là restaient à venir… J’avais ramené l’objet chez moi, toujours, dans sa pochette-carton un peu rugueuse, avec son titre impossible – Mesdamus Werke Verzeichnis… a-t-on idée. J’avais écouté – et donc découvert, puisque ces chansons en étaient d’autres. J’avais aimé. Beaucoup. On avait idées… J’avais trouvées celles-ci, de pistes, un peu moins rudes, moins vertement balancées que celles entendues en direct. Je vous en avais parlé, en chronique. Et puis… Je m’étais dit qu’ils repasseraient bien par là. On avait discuté un peu – échangé par mails – avec Loup Uberto, chanteur et claviériste, ensuite. Ça leur allait, qu’on cause… Ça leur disait, oui, à la prochaine, qu’on se rencontre. Le deuxième album était arrivé. Pas beige-recyclé, cette fois, mais le fourreau en couleurs qui crient. Et dans les « sillons » – guillemets, puisque que l’objet n’existait alors qu’en CD, que ceux-là n’en on pas vraiment, que ça porte d’autres noms… – ça vibrait plus rudement, aussi ! Fichtre… Ils revenaient, repassaient dans mes parages. Il était dit que j’y serai.
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Interview : Radikal Satan + live Report : Agathe Max/Radikal Satan, Lyon (ou presque), le 5 octobre 2015

Dioneo › lundi 19 octobre 2015

Radikal Satan : le nom de ce groupe m’avait sonné dans l’oreille, bien avant que j’entende la moindre note, le plus petit fragment de leurs musiques étonnantes. Il s’était insinué. Bizarre mais à mon sens génial. Sautant par dessus le grotesque en en rajoutant encore, avec ce « k »… Je ne l’ai pas, ne l’avais pas, ne l’ai jamais trouvé ridicule. Ça m’intriguait. Un camarade m’avait dit « tango-doom », ou quelque chose d’approchant. J’avais failli les voir, à Paris… Je ne sais plus pourquoi mais : occasion loupée. Bon… Et puis, une, deux, je ne sais plus combien d’années plus tard, alors que j’étais revenu ici, à Lyon, ce drôle de patronyme était réapparu – comme un indice, un signe… « Radikal Satan à La Triperie ». Ça rendait… Noir, et drôle. Encore une fois : trop… Suffisamment trop – juste assez – pour que ça marche. Ça semblait la promesse d’une soirée aux lumières sang – aux vaisseaux chargés de gnôles et de butins. Et une fois dedans, ç’avait été la secousse, le bel emportement. Et le brasier, oui, mais ça, pragmatiquement, aussi : parce que littéralement on fondait, là-dedans, dans ce petit espace bondé où en effet, nous n’étions venus, pour la plupart, guère portés sur l’eau claire… Les frères argentins de Bordeaux – César et Mauricio (alias Momo) Amarante – y étaient seuls ce soir-là. Contrebasse, doigts munis d’ongles sur la caisse de l’instrument, une guitare parfois ; une cymbale défoncée, qu’il frappait du pied : César ; et Momo : au clavier – tropical et gothique, synthétique enfiévré – quand ce n’était pas au soufflet, accordéon, bandonéon. Leurs deux voix en bribes et éclats. César qui marmonnait des choses entre les morceaux, introductions ou continuations indistinctes, liens à moitié bouffés. Belle soirée, oui – dont j’étais ressorti délesté de tout poids mort, de toutes inutiles réserves… Jour plein, soir de rencontre. Flambée nuit où l’œil portait à perte, à travers. Bien évidemment, il ne m’était pas pensable d’en rester là. J’avais cherché, fouillé. J’avais trouvé cette discographie qui – tout de suite – m’avait semblé dédale où se perdre en tous sens… Zone mouvante et habitée, individus, recoins, enceintes, champs ouverts, foules, petits et grands isolés qui trament en secret, ou qui braillent… – et puis peuplée d’absences, aussi : celle des endroits et celle des êtres. Je m’y étais enfoncé… (Je vous en avais causé, ailleurs, plus longuement – en détaillant, en quelque sorte, comme je pouvais, comme il me semblait entendre). César s’était fendu de quelques précisions à propos de l'album Clochette – bout gravé d’une étrange manière de live, justement, en commentaire de sa chronique dédiée. J’avais saisi l’occasion, prolongé l’échange amorcé, proposé qu’on se « parle de visu », la prochaine fois qu’ils croiseraient dans nos parages, Lyon ou périphérie. Qu’on enregistre ça, aussi… De rendre ça public, ici. Ils étaient d’accord… Avec un « mais ». Qui était un On Ne Sait Pas Quand. Il me disait qu’un nouveau disque serait bientôt enregistré. Qu’ils y seraient quatre, cette fois. Que ça prenait du temps. Que tourner avalait les jours, les semaines, les mois. Que tout ça coûtait de l’argent. « OK, oui mais », alors… Et pourtant, finalement…
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Entretien : La Nóvia (avec les membres de Jéricho et Toad), Jardin des Chartreux, Lyon, le 16 juillet 2015

Dioneo › lundi 27 juillet 2015

Il fallait bien qu’on en vienne là… Qu’on cesse de rater l’occasion, de remettre à plus tard. J’avais abordé Yann Gourdon avant l’un de ses concerts lyonnais – au Café du Rhône, en duo avec An Tez, sous le nom de Vaacum – pour lui proposer… Plutôt qu’une interview, un entretien, une discussion. À propos de La Nóvia – ce collectif dont il est un des membres, peut-être le plus visible… Pas le seul - ceux là font corps, d’un groupe à l’autre, singuliers, distincts... Manifestement d’accord. Je voulais parler de cette… Communauté ? Oublions, alors, toute connotation baba et, ou, encore plus, sectaire... J’aurais dit volontiers « commune » - sans jamais penser « chauvinisme ». Ça m’intriguait – ça continue de m’enchanter, de me surprendre… – cette idée surtout pas fixe mais à quoi ils tiennent. Ce mouvement insaisissable mais jamais dans le vague. Les veillées de la Baracande, les bourrées, valses, polkas, de Toad. Les chants intoxicants de Jéricho. Les voix du Cantal qui remontent de la terre et tombent de ce ciel là pour saisir, chez Faune. Les particules sonores en nuages, nuées, constellations, du Verdouble… Le Verdouble, je le savais, devait jouer quelques semaines plus tard au festival Échos, à la ferme du Faï, dans les Hautes Alpes. (Je vous ai conté ça, ailleurs, il y a peu). Il y aurait là Yann Gourdon, donc, et son comparse dans ledit duo, Yvan Étienne, autre vielleux. Rendez-vous avait été pris, convenu. Puis… Sur place – circonstances, charges, nuits blanches – différé. Quelques semaines après, d’autres groupes du collectif devaient encore jouer à Lyon - au Jardin des Chartreux, dans le cadre des jeudis des Musiques du Monde, organisés tout l'été par les CMTRA (Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes). Jéricho, justement, et Toad, et le duo Violoneuses. Cette fois devrait bien être la bonne.
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Festival Échos #3 - La Ferme du Faï (Hautes Alpes), les 26 et 27 juin 2015

Dioneo › vendredi 3 juillet 2015

Événement rare, lieu peu commun… La ferme du Faï – corps de bâtisses sis au dessus d’un village nommé Le Saix, dans les Hautes Alpes, à plus de mille mètres d’altitude – accueillait, les 26 et 27 juin derniers, la troisième édition du festival Échos, organisé par l’association Dôme (de Villeurbanne, en région lyonnaise). Le reste du temps la ferme – réaménagée il y a certaines années par des volontaires aux idées non-alignées, non-attentistes, travailleurs, esprits libres d’un genre particulier – héberge des jeunes venus là pour des chantiers, des ateliers, diverses actions culturelles, sociales (j’avoue ne pas connaître tous les détails de cette histoire, de ces programmes)… Pour l’heure – ces deux jours, deux nuits ; plus un dimanche matin le temps que tout le monde émerge – c’est une autre foule, d’autres habitants de passage qui s’y étaient rendus. Pour autre chose. … Autour, il y a la vallée. En face de la pente, une falaise parabolique. Et plantées vis à vis – par ceux-là mêmes qui avaient donc, plus tôt, investi l’endroit – trois trompes, système d’amplification exceptionnel, unique. La plus grande – celle des basses, en béton – éploie ses sept mètres cinquante de diamètre, et douze de long. Celle des aigus, orientable, se tient un peu à l’écart sur sa caisse à roues et à vérins. Les trois – il en a une aussi pour les fréquences médium – reprennent le son de haut-parleurs plantés à leurs bases, les mécaniques enfouies en terre. Et lorsqu’elles sonnent, vibrent, chantent… C’est la falaise, la vallée entière, qui font caisse de résonance, qui renvoient le son, le répercutent, le véhiculent et le démultiplient. Les artistes jouent plus bas, entre une pièce d’eau immobile et l'onde qui passe doucement. C’est tout cela que nous sommes venu chercher. Pour ma part curieux, tâchant de ne rien vouloir de trop précis par avance, me rendant là pour la première fois ; une bonne moitié des musiciens programmés (du moins pour ceux du premier soir) m’étant totalement inconnus. Entrée réservée cinq jours plus tôt. Celui d'après, les gens du Dôme avaient lancé le message : "COMPLET" ; la jauge était pleine. Je me sens heureux de n’avoir pas à rater ça… Samedi dans la journée, nous embarquons, deux camarades et moi. Trois heures – ou un peu plus – de route… En fin d’après-midi, nous y sommes. Ci-dessous, on lira si l’on veut souvenirs et impressions – encore frais – que m’ont laissés ce séjour, ces événements. L’ordre où on les trouvera n’est pas toujours, à coup sûr, celui selon quoi ils sont exactement survenus, tel qu'en attesterait le programme général annoncé, son déroulé objectif… On est prié de croire que j'aurai restitué aussi proche que possible, avec autant de détail qu’il m’aura été loisible, ce que j’ai vécu là-bas le temps de ces quelques dizaines d’heures.
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Tietäjät (The People Who Know The Way)

Wotzenknecht › lundi 3 mars 2014

Le conteur anglais Nick Hennessey s'associe à des musiciens finnois pour une première du poème épique Kalevala conté et chanté en anglais sur une musique semi-improvisée. Concert organisé par l'Académie Sibelius au Musiikkitalo, Helsinki, le 28 février 2014.
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DEERHOOF + REVEILLE au Marché Gare, Lyon, le 29 Novembre 2012

Dariev Stands › mardi 4 décembre 2012

J’avais déjà pris ma baffe en Avril dernier, lorsque je les avais vus pour la première fois sur scène, à l’Epicerie Moderne, avec le kaleidoscopique Dustin Wong en première partie. J’avais failli en faire un live-report d’une ligne, qui aurait en gros consisté en « Chroniqueur officiellement en état de choc suite à deux claquasses consécutives, demande congé sabbatique pour se remettre. ».
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NUMBERS NOT NAMES + DEATH GRIPS + THE BUG au Transbordeur, Lyon, le 10 Novembre 2012

Dariev Stands › jeudi 15 novembre 2012

C’était un peu la grosse soirée du festival Riddim Collision, organisé par le label Lyonnais Jarring Effects. Celle que tout le monde guettait. Les deux salles du Transbo qui enchaînent les concerts jusqu’à 5h du matin. Les groupes tournent, la bière coule à flot, et les fumigènes s’accumulent sous les énormes crochets suspendus à la structure métallique façon chantier naval qui surplombe la petite salle. Bon, ça fait un peu facile de ne parler que de LA grosse soirée d’un festival, mais il n’y avait pas grand-chose à se mettre sous la dent pour moi dans le reste de la prog… Et qui plus est, il était prévu que je vous parle de Jack & The Bearded Fishermen, groupe de stoner du coin dont l’EP m’avait bien enthousiasmé ; seulement voilà, les aléas de l’organisation d’un gros festival en auront décidé autrement. J’ai bien failli ne pas vous parler de Death Grips et les autres non plus, car les videurs du transbo se sont mis en tête que si j’avais des marqueurs sur moi, c’était forcément pour tagguer les chiottes de la salle… Ah les grosses affiches et les grandes salles, quel bonheur. Pourtant, avec tout le désintérêt que je porte sur ce genre de gros concerts – que j’essaie d’éviter – vous allez voir que le jeu en valait la peine. Voilà des groupes qui, jusqu’ici, n’ont que peu eu l’occasion de jouer dans de grandes salles, et ils y prennent une dimension supplémentaire.
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Animal Collective, Pig Out, Caribou, Rusty Santos, Jane, Robin Guthrie, Radio Dept..MIDI FESTIVAL, villa de noailles, Hyères, du 27 au 29 Juillet 2007

Dariev Stands › vendredi 13 juin 2008

Certains parmis vous, nottament les amateurs d’electro (je sais que vous vous cachez, petits canaillous), se rappellent peut-être avec nostalgie du festival AquaPlanning de Hyères, qui s’était éteint de triste manière en 2004 pour cause de "manque de soutien financier et logistique de la municipalité", ce qui n’a rien d’étonnant vu que le maire de la ville n’a pas changé en plus de vingt ans… C’était un festival fièrement orienté electro, se déroulant à la fois sur la plage et sur le site de la Villa de Noailles - lieu enchanteur sur lequel j’aurai l’occasion de revenir – et ayant eu la chance d’acceuillir depuis 99 la crème de la crème. Aphex Twin, Plaid, Mu-Ziq, Herbert, Air, M83 lorsqu’ils étaient encore tout bourgeonnants, Chicks on speed, Rapture, LCD Soundsystem, Fad gadget, Bertrand burgalat, I-F, The Hacker, To Rococo Rot… Excusez du peu.
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KINDERTOTENLIEDER

Wotzenknecht › samedi 10 novembre 2007

Conception : Gisèle Vienne. Texte : Dennis Cooper. Musique : KTL (Stephen O'Malley & Peter Rehberg), + enregistrement de 'The sinking belle(dead sheep)' par Sunn0))) & Boris. Plus d'information ici : http://www.les-subs.com/gisele-vienne.htm
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La musique électronique

Nicko et Phaedream › mardi 13 juin 2006

La musique électronique (MÉ) trouve son berceau aussi loin que le début des années 1910 avec L’Art des bruits, du mouvement Dadaïste. Un mouvement de liberté artistique, plastique et littéraire, crée par de jeunes artistes de toutes nationalités durant la 1ière Guerre Mondiale. Certes ce n'était pas de la réelle MÉ, mais c'était la naissance d'une nouvelle forme d'art. Un mouvement important qui allait ouvrir la porte aux plus audacieux.
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