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☉ - L'Effondras aux Passagers du Zinc (Besançon) - Interview et live report
Dioneo › mardi 14 décembre 2021
On se demandait quand ça s'arrêterait... Ce « RIEN » persistant au niveau des concerts, de la vie dans les caves. On appelait ça de nos vœux, pas éteints – attisés plutôt, l'abattement premier passé, la routine commençant à gêner vraiment trop aux entournures, de cet à-l'ouest-rien-de-nouveau. A l'ouest et partout ailleurs, d'ailleurs, à en croire les nouvelles lues, entendues (moins fraîches que ressassées) d'à peu près n'importe où dans le monde. R.A.S., R.A.S., R.A.S. … Comme un non-recevoir – un non-signal brouillé émis en continu.
Bon... Puis à vrai dire, l'été venant, on avait commencé à percevoir quelques éclats furtifs, pourtant. Des sorties de résidences à défaut de concerts appelés techniquement, légalement comme ça - les groupes pas morts avaient continué d'enregistrer des choses. Quelques fêtes d'anniversaires un peu grosses, en juillet/août, avec des adhésions associatives en guise de cartes. L'envie de bouger nous avait pris – nous avait rappelée qu'elle ne nous lâchait pas. Quelques dates avaient suivies, les potes et d'autres qui jouaient en plein air – avec ou sans stands de brasseurs en agréments ou en prétextes. Nous – avec la Compagnonne – on avait changé de ville, aussi, filé plus à l'Est (… du nouveau ?) pour nous y installer un moment. Nouvelle ville – Besançon. Autre lumière. Les rues en pierres bleues et jaunes, le ciel parfois chargé mais toujours visible, autrement qu'en couloirs étroits au-dessus des bâtiments. Un ciel moins clos, brume ou pas sur les collines – de l'inédit, pour moi le Lyonnais passé aussi longuement par Paris. On... Respire.
Et puis voilà, un jour on voit ça : L'Effondras – de Lyon, justement, en partie, de l'Ain, aussi – qui jouent aux Passagers du Zinc. Un lieu connu par les gens d'ici, à mi-pente dans le quartier Battant, au-dessus du Doubs – par nombre de groupes d'un peu partout en France (et en Suisse ?), aussi, de celles et ceux qui ont eu l'occasion de passer dans le coin au hasard plus ou moins maîtrisé d'une tournée ou d'une autre. Un bar au rez de chaussée. Un capot de DS – la vieille caisse de chez Citroën, oui – qui s'ouvre sur la salle, en bas. L'Effondras... Justement, on voulait se parler – mutuellement. Justement, je m'étais « remis » à leur musique, un nouvel album étant sorti – du « nulle-part » dont on causait plus haut – en mai de cette année. Écouté, vite, ici. Et puis le reste, en remontant le fil des disques et des années. Et puis encore, après, dans le sens usuel du défilement... En deux trois messages, on a pris rendez-vous. On y serait... Le soir dit, la porte passée, Méghane, la tenancière, me dit du bar : « ils sont en terrasse ». Elle m'y guide, on prend pied, on bavarde un instant. Un type s'arrête pour nous parler – de l'observance des interdits, de ce qu'il mange, ce qu'il boit, ce qu'il fume. Il prend congé – une bonne demie-douzaine de fois, en s'éloignant chaque fois d'un ou deux pas. Pas très centré... C'est vivant, Battant. C'est passant, aussi, cette rue, question bagnoles. On se met d'accord pour « faire ça plutôt à l'intérieur »...
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Hellfest 2017
Nicko › lundi 31 juillet 2017
Sans vouloir paraphraser mes précédents reportages sur le Hellfest, le festival est, tel le Wacken Open Air, un rendez-vous incontournable et récurrent année après année. Mi-juin, on sait qu'on a le rituel du Hellfest, et ce, pour l'instant, quel que soit l'affiche proposée ! Cette année, tous les pass 3-jours sont partis sans qu'une seule annonce de groupes n'ait été faite ! De toute manière, il faut bien avouer que jusqu'à présent, nous avons été rarement déçus par l'affiche, le festival étant tellement éclectique que forcément, nous allons trouver de quoi nous sustenter ! Cette année, les 3 têtes d'affiche proposées sont les vétérans de Deep Purple, Aerosmith (qui annoncent tous les deux cette tournée comme étant leur dernière sur le vieux continent) ainsi que Linkin Park. A côté de ça, nous avons tout un tas de grosses pointures dans divers style comme Behemoth, Rob Zombie, Airbourne, Apocalyptica, Prophets of Rage, Slayer et tant d'autres dans les autres scènes en black, death, doom, punk, rock, stoner, hardcore.
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Entretien : La Nóvia (avec les membres de Jéricho et Toad), Jardin des Chartreux, Lyon, le 16 juillet 2015
Dioneo › lundi 27 juillet 2015
Il fallait bien qu’on en vienne là… Qu’on cesse de rater l’occasion, de remettre à plus tard. J’avais abordé Yann Gourdon avant l’un de ses concerts lyonnais – au Café du Rhône, en duo avec An Tez, sous le nom de Vaacum – pour lui proposer… Plutôt qu’une interview, un entretien, une discussion. À propos de La Nóvia – ce collectif dont il est un des membres, peut-être le plus visible… Pas le seul - ceux là font corps, d’un groupe à l’autre, singuliers, distincts... Manifestement d’accord. Je voulais parler de cette… Communauté ? Oublions, alors, toute connotation baba et, ou, encore plus, sectaire... J’aurais dit volontiers « commune » - sans jamais penser « chauvinisme ». Ça m’intriguait – ça continue de m’enchanter, de me surprendre… – cette idée surtout pas fixe mais à quoi ils tiennent. Ce mouvement insaisissable mais jamais dans le vague. Les veillées de la Baracande, les bourrées, valses, polkas, de Toad. Les chants intoxicants de Jéricho. Les voix du Cantal qui remontent de la terre et tombent de ce ciel là pour saisir, chez Faune. Les particules sonores en nuages, nuées, constellations, du Verdouble… Le Verdouble, je le savais, devait jouer quelques semaines plus tard au festival Échos, à la ferme du Faï, dans les Hautes Alpes. (Je vous ai conté ça, ailleurs, il y a peu). Il y aurait là Yann Gourdon, donc, et son comparse dans ledit duo, Yvan Étienne, autre vielleux. Rendez-vous avait été pris, convenu. Puis… Sur place – circonstances, charges, nuits blanches – différé. Quelques semaines après, d’autres groupes du collectif devaient encore jouer à Lyon - au Jardin des Chartreux, dans le cadre des jeudis des Musiques du Monde, organisés tout l'été par les CMTRA (Centre des Musiques Traditionnelles Rhône-Alpes). Jéricho, justement, et Toad, et le duo Violoneuses. Cette fois devrait bien être la bonne.
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Speyer Grey Mass 2014
Nicko › lundi 7 avril 2014
Les festivals s'enchainent à vitesse grand V ces temps-ci. En 3 mois, je me serais quand même baladé aux Pays-Bas, en Norvège et là en Allemagne pour des festivals metal extrême. Le Speyer Grey Mass est peut-être celui qui a fait le moins parler de lui, mais je pense sincèrement qu'il s'agit du festival à avoir proposé l'affiche la plus homogène en terme de qualité, même si elle reste cantonnée à un cadre purement underground. Et c'est pas plus mal !!
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NUMBERS NOT NAMES + DEATH GRIPS + THE BUG au Transbordeur, Lyon, le 10 Novembre 2012
Dariev Stands › jeudi 15 novembre 2012
C’était un peu la grosse soirée du festival Riddim Collision, organisé par le label Lyonnais Jarring Effects. Celle que tout le monde guettait. Les deux salles du Transbo qui enchaînent les concerts jusqu’à 5h du matin. Les groupes tournent, la bière coule à flot, et les fumigènes s’accumulent sous les énormes crochets suspendus à la structure métallique façon chantier naval qui surplombe la petite salle. Bon, ça fait un peu facile de ne parler que de LA grosse soirée d’un festival, mais il n’y avait pas grand-chose à se mettre sous la dent pour moi dans le reste de la prog… Et qui plus est, il était prévu que je vous parle de Jack & The Bearded Fishermen, groupe de stoner du coin dont l’EP m’avait bien enthousiasmé ; seulement voilà, les aléas de l’organisation d’un gros festival en auront décidé autrement. J’ai bien failli ne pas vous parler de Death Grips et les autres non plus, car les videurs du transbo se sont mis en tête que si j’avais des marqueurs sur moi, c’était forcément pour tagguer les chiottes de la salle… Ah les grosses affiches et les grandes salles, quel bonheur. Pourtant, avec tout le désintérêt que je porte sur ce genre de gros concerts – que j’essaie d’éviter – vous allez voir que le jeu en valait la peine. Voilà des groupes qui, jusqu’ici, n’ont que peu eu l’occasion de jouer dans de grandes salles, et ils y prennent une dimension supplémentaire.
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The Thing feat. Otomo Yoshihide + Loup au Sonic, Lyon, le 12 Octobre 2010
Dariev Stands › lundi 25 octobre 2010
IRM + GRUNT + SHIFT + KOEFF - Malmö / Göteborg - 04.09 et 05.09.2009
Wotzenknecht › samedi 12 juin 2010
Road trip de clochard pour suivre quatre groupes bruyants dans leur pays d'origine. Sauf un.
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Cementimental : a harsh noise graphic novel
Wotzenknecht › samedi 8 mars 2008
Le premier harsh book !
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Festival Rock In Opposition, 13, 14 & 15 Avril, Le Garric (Tarn)
Dariev Stands › mercredi 25 avril 2007
Haut les cœurs, Saïmone et moi-même sommes revenus sains et saufs de cette expédition dans le bas-ventre moite de la France profonde : j’ai nommé le Tarn. Du charbon, des cloportes, des bunkers de brume, des hectolitres de rosée matinale (et du soir et de l’après midi aussi), mais aussi des paysages fort sympathiques et un cadre plus qu’agréable, bien éloigné des habituels festivals… Tout ça pour vous ramener quoi ? Une review sur l’un des plus aventureux événements musicaux de ces dernières années, un festival dédié au Rock In Opposition ! Oui, ce même mouvement musical sous médiatisé (et c’est un doux euphémisme) dont proggy a maintes fois creusé les arcanes… Un genre d’excroissance sans compromission du rock de la fin des années 70, qui lui, en faisait trop justement, des compromis (que ce soit dans le progressif ou non finalement). Un mouvement qui dérangeait bien plus que le punk (j’en connais qui jubileront à la lecture de cette phrase), et qui a vite été jeté aux oubliettes de l’histoire, dans le même sac que le progressif. Un peu trop vite. Et c’est ainsi que le R.I.O. refit surface a la fin des années 80, via des groupes américains notamment, alors qu’il s’agissait principalement d’un courant « européen ». Aussitôt enterré, aussitôt ressurgi, c’est un festival qui se veut dans la continuité du festival « R.I.O. » originel, monté à l’origine par Chris Cutler à Londres… Mais avec une ouverture d’esprit certaine, permettant à toute une frange aventureuse du « progressif » de se retrouver. Michel Besset et Roger Trigaux, organisateurs du festival, ont par exemple tenu à clôturer le festival par Magma. Le Zeuhl et le Rock In Opposition furent donc les deux « genres » les plus à l’honneur pour cette première édition. Tiens, comme par hasard, les rares styles des années 70 a ne pas être devenus cultes entre temps, à notre époque passéiste à souhait ! C’est peut être qu’ils n’appartiennent a aucune époque justement. Que la flamme qu’ils ont allumée n’a pas encore brûlé de toute sa puissance…
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YOSHIHIDE OTOMO'S NEW JAZZ QUINTET - Cabaret Vauban, Brest, 18 mars 2005
Saïmone › lundi 5 septembre 2005
INSIDE CONFLICT - Fuzz Yon, la Roche sur Yon, 20.fév.2004
Saïmone › lundi 5 septembre 2005
+ Knuckel Dust + Born From Pain
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NAPALM DEATH - Biographie
Pokemonslaughter › samedi 20 août 2005
S'il existe une formation respectée et considérée comme une référence à la fois par la scène grind, crust, hardcore, punk et metal, c'est bien Napalm Death.
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