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Hellfest 2023 - par Dimegoat
dimegoat › dimanche 6 août 2023
Depuis les Fury Fest 2004-2005, mon histoire avec le Hellfest s’écrivait en pointillé avant de lâcher l’affaire en 2015. Je n’ai pourtant pas hésité une seconde lorsque Nicko m’a proposé d’y participer cette année car j’allais enfin avoir l’opportunité de constater quelle tournure avait pris le festival. Ben Barbaud ne s’en cache pas, le Hellfest ne cessera jamais de grossir, en dehors de la musique, de ses murs et de ce week-end de juin. Du point de vue musical, difficile de faire plus ambitieux, à moins de faire venir Jay-Z, et avant d’évoquer des choses qui fâchent, parlons donc musique car elle était bonne. Les roses avant les épines.
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Hellfest 2019
Nicko › lundi 5 août 2019
Et c'est reparti pour une nouvelle édition ! Le Hellfest est véritablement un rendez-vous immanquable dans l'année. Même si sa popularité ne cesse d'augmenter, que l'ambiance est chaque année de plus en plus différente des débuts, il faut bien reconnaître qu'on est bluffé à chaque fois par l'affiche proposée et les conditions d'accueil. Le Hellfest s'est imposé comme l'un des plus grands festival metal au monde (seul le Wacken Open Air doit encore le concurrencer) et il faut bien reconnaître que leur succès a jusqu'à présent été amplement mérité. Cette année, en plus de l'affiche traditionnelle sur 3 jours avec environ 160 groupes devant jouer sur les 6 scènes, nous avons eu droit à un autre festival la veille du début des hostilités, avec la venue du Knotfest et ses 10 groupes, sur les Mainstages du Hellfest. Concernant le Hellfest cuvée 2019, je dois avouer que pour une fois, l'affiche proposée nous convenait un peu moins, a priori, que les éditions précédentes. Certes, il proposait une triple affiche intéressante à plus d'un titre avec Manowar, Kiss et Tool (même si personnellement seuls les Kings Of Metal m'intéressaient particulièrement), mais sur la globalité des 6 scènes, le choix des groupes nous a moins impressionnés que les éditions précédentes. Reste quand même des moments à ne pas louper, comme les adieux à la scène de Slayer, Lynyrd Skynyrd et Kiss (quoique pour ces derniers temps, on ne sait jamais vraiment si ce n'est pas qu'un au revoir...), les performances attendues d'Emperor, Whitesnake, Tormentor, ZZ Top ou King Diamond par exemple. Bref, même avec une affiche a priori légèrement moins intéressantes vis-à-vis de nos goûts, il y avait de quoi faire...
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INTERVIEW: Doug Clark
Shelleyan › dimanche 21 octobre 2018
Trop peu de gens le savent mais Doug Clark compte parmi les pionniers du deathrock; avec son groupe Mighty Sphincter, il en repoussé les limites loin dans l'extrême tant visuellement que musicalement. Aujourd'hui, à l'heure d'achever la boucle avec ce projet et de le poursuivre sous une nouvelle incarnation, Chapelle des Morts, il revient pour nous sur sa carrière et ses inspirations. J'en suis extrêmement honoré car il ne donne en principe pas d'interviews et s'est prêté au jeu avec beaucoup de gentillesse et de sincérité.
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Metallica - Halle Tony Garnier, Lyon 7e, 12/09/2017
Rastignac › mercredi 13 septembre 2017
Metallica. Je pense que je ne serais pas ici à écrire des bêtises sur des groupes de funeral depressive black death australian doom sans Metallica. Pourquoi ? Parce que ce fut le premier back patch, le premier hard rock magazine (cette couverture avec notre James Hetfield et sa coupe de cheveux post black album... particulière), parce que, malgré toute la déliquescence de leur production musicale qui à mes yeux fut fatale dès la publication de « Load » et leur relookage en petits minets vaguement goths, Metallica restera un groupe majeur dans la propagation du métal angoissé, angoissant, blasé, sombre, et parfois même, comme l’atteste certaines compositions de feu Cliff, d’une certaine expérimentation sonore dans un genre, le thrash metal, plutôt bien dans les clous dès le début des années 1980. Alors, quand des amis me proposèrent d’aller les voir, je n’ai pas trop réfléchi, malgré le prix exorbitant de la place et un dernier album qui m’a seulement confirmé toute la maladresse mélodique, toute la sécheresse de composition d’un groupe maintenant presque à l’état de coma créatif, mais qui a semble-t-il beaucoup encore à donner à son public in vivo de manière très jouasse comme on va le voir.
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Interview : Shaxul
Ntnmrn › mercredi 22 février 2017
Shaxul est une figure majeure du Metal français : hier co-fondateur de Hirilorn et Deathspell Omega, aujourd'hui propriétaire de l'écurie internationale Legion of Death et fervent défenseur du "Hard Metal" pictavien avec Manzer, sa verve et son franc-parler n'ont pas tari en plus de 20 ans au service des arts noirs. La preuve en interview, qui malgré quelques accrocs est l'occasion d'un retour intéressant sur son parcours, sa vision du Metal, et ses dernières sorties.
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Interview : Radikal Satan + live Report : Agathe Max/Radikal Satan, Lyon (ou presque), le 5 octobre 2015
Dioneo › lundi 19 octobre 2015
Radikal Satan : le nom de ce groupe m’avait sonné dans l’oreille, bien avant que j’entende la moindre note, le plus petit fragment de leurs musiques étonnantes. Il s’était insinué. Bizarre mais à mon sens génial. Sautant par dessus le grotesque en en rajoutant encore, avec ce « k »… Je ne l’ai pas, ne l’avais pas, ne l’ai jamais trouvé ridicule. Ça m’intriguait. Un camarade m’avait dit « tango-doom », ou quelque chose d’approchant. J’avais failli les voir, à Paris… Je ne sais plus pourquoi mais : occasion loupée. Bon… Et puis, une, deux, je ne sais plus combien d’années plus tard, alors que j’étais revenu ici, à Lyon, ce drôle de patronyme était réapparu – comme un indice, un signe… « Radikal Satan à La Triperie ». Ça rendait… Noir, et drôle. Encore une fois : trop… Suffisamment trop – juste assez – pour que ça marche. Ça semblait la promesse d’une soirée aux lumières sang – aux vaisseaux chargés de gnôles et de butins. Et une fois dedans, ç’avait été la secousse, le bel emportement. Et le brasier, oui, mais ça, pragmatiquement, aussi : parce que littéralement on fondait, là-dedans, dans ce petit espace bondé où en effet, nous n’étions venus, pour la plupart, guère portés sur l’eau claire… Les frères argentins de Bordeaux – César et Mauricio (alias Momo) Amarante – y étaient seuls ce soir-là. Contrebasse, doigts munis d’ongles sur la caisse de l’instrument, une guitare parfois ; une cymbale défoncée, qu’il frappait du pied : César ; et Momo : au clavier – tropical et gothique, synthétique enfiévré – quand ce n’était pas au soufflet, accordéon, bandonéon. Leurs deux voix en bribes et éclats. César qui marmonnait des choses entre les morceaux, introductions ou continuations indistinctes, liens à moitié bouffés. Belle soirée, oui – dont j’étais ressorti délesté de tout poids mort, de toutes inutiles réserves… Jour plein, soir de rencontre. Flambée nuit où l’œil portait à perte, à travers. Bien évidemment, il ne m’était pas pensable d’en rester là. J’avais cherché, fouillé. J’avais trouvé cette discographie qui – tout de suite – m’avait semblé dédale où se perdre en tous sens… Zone mouvante et habitée, individus, recoins, enceintes, champs ouverts, foules, petits et grands isolés qui trament en secret, ou qui braillent… – et puis peuplée d’absences, aussi : celle des endroits et celle des êtres. Je m’y étais enfoncé… (Je vous en avais causé, ailleurs, plus longuement – en détaillant, en quelque sorte, comme je pouvais, comme il me semblait entendre). César s’était fendu de quelques précisions à propos de l'album Clochette – bout gravé d’une étrange manière de live, justement, en commentaire de sa chronique dédiée. J’avais saisi l’occasion, prolongé l’échange amorcé, proposé qu’on se « parle de visu », la prochaine fois qu’ils croiseraient dans nos parages, Lyon ou périphérie. Qu’on enregistre ça, aussi… De rendre ça public, ici. Ils étaient d’accord… Avec un « mais ». Qui était un On Ne Sait Pas Quand. Il me disait qu’un nouveau disque serait bientôt enregistré. Qu’ils y seraient quatre, cette fois. Que ça prenait du temps. Que tourner avalait les jours, les semaines, les mois. Que tout ça coûtait de l’argent. « OK, oui mais », alors… Et pourtant, finalement…
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Interview : Zühn
Dioneo › vendredi 10 octobre 2014
J’ai découvert Zühn par un quasi hasard. En cherchant tout autre chose – en continuant de me balader sur le site du label Los Emes Del Oso après y avoir trouvé ce pourquoi j’y étais d’abord venu. J’explorais leur déstabilisant et réjouissant foutoir de catalogue - avec ses objets singuliers, ses albums parfois enregistrés au dictaphones et ses images relevant souvent du montage sauvage, du collage à l'arrache, du brut d’informatique sommaire. Au milieu de tout ça une pochette m’a chopé l’œil. Simple, presque sobre au milieu de ce déchainement de couleurs primaires ; sensuelle très simplement ; une religieuse nue, le sexe caché par un triangle noir mais le vêtement ouvert en grand dévoilant tout son corps. Un nom : Zühn. Et un titre : Los Sueños, Lucifer. "Los Sueños" signifie : Les Rêves... Mon imagination était lancée. Et l’écoute du disque – au son qui plus est cette fois pas du tout lo-fi, pas du tout surproduit mais très lisible, épais – n’avait rien fait pour la calmer… Quatre albums en quatre ans, tous disponibles uniquement en téléchargements gratuits. Aucune indication quant à qui jouait, depuis où… Une prédilection certaines pour l'alchimie des éléments – le feu, la glace – et les thèmes mystiques… Toujours, seulement : une image simple mais évocatrice ; des titres souvent allusifs, noms communs plutôt que phrases, explications. Une vibration prenante - pleine et aérée - dont la richesse se révélait au fil des écoutes. Un doute me venait sur les influences du groupe, ses possibles motifs… Et d’ailleurs était-ce bien un groupe ? Y avait-il vraiment du Earth ou du Morriconne, dans cette musique ? Ou bien des racines plus lointaines, communes à ceux-là – d'Amérique et d'Europe obsédées par un autre Orient ? D'où venait ce souffle vaste ? Cette hantise, cette aspiration que je croyais bien y sentir : d'une fusion, d’une immersion dans l’univers vivant ; aussi, cette conscience aigüe qui y rôdait : de notre solitude ?
Renseignement pris – car notre époque permet aussi de contacter d’un seul clic ceux qui sans se cacher ne cherchent pas à s’étaler – Zühn est bien un seul homme - Simon ; la proposition fut lancée - et acceptée - d'une interview.
De la quête d’une communion ; de l’incommunicable par les mots ; des guitares à deux sous qui en valent bien certaines autres ; de la musique non-payante mais jamais gratuite… De la nécessité de faire claquer le volume.
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Hellfest 2012 par Stéphane
Stéphane › mercredi 20 juin 2012
Le Hellfest inaugurait cette année un nouveau site plus grand et aux infrastructures nouvelles, le faisant entrer dans une dimension supérieure. Ce sont ainsi 115000 personnes qui se sont croisées sur l'ensemble des trois jours avec un pic de fréquentation de 45000 festivaliers le samedi pour Guns n' Roses. Récit d'un week-end chargé.
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MENOMENA - Interview avec Brent Knopf, le 01/03/2008 au KOROVA, Liverpool
Dariev Stands › vendredi 17 octobre 2008
Menomena : un groupe exceptionnel sur scène, epastrouillant sur disque, et aimable dans la vraie vie ! Leur leader Brent Knopf, n'ayant rien à faire de spécial avant le concert de son groupe, acceptai donc cette petite interview surprise une demie-heure avant de monter sur les planches... le temps pour votre serviteur d'aller chercher son vieux dictaphone défectueux en un temps record dans la banlieue liverpudlienne...
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INTERVIEW DE L'EQUIPE DE GUTS OF DARKNESS - part 1
Dariev Stands › samedi 8 décembre 2007
Après des mois d'attente... des expéditions dangereuses au fin fond de la transylvanie pour interviewer chris, au coeur de la jungle belge pour rencontrer progmonster, dans les sommets enneigés suisse pour rencontrer twilight (on l'a pas trouvé), sans oublier au cachemire pour rencontrer Sheer-Khan... Voici les réponses à l'interview des 10418... euh 10000 chroniques. Du moins la première partie. Pour ceux qui n'étaient pas là en ces temps reculés ; il fut, jadis, une époque où nous décidames de fêter la 10 000ème chronique par une interview de l'équipe de guts dont les lecteurs choisiraient les questions. C'était l'occasion de communiquer plus directement avec vous, tout en racontant des conneries. Les deux objectifs semblent avoir été remplis...
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BETHLEHEM - Interview avec Jurgen Bartsch
Yog Sothoth et Pokemonslaughter › jeudi 6 septembre 2007
EVOKEN - Interview avec Nick Orlando (Guitares)
Yog Sothoth et Pokemonslaughter › mercredi 17 mai 2006
MINUS - interview avec Krummi (chant) et Bjössi (batterie)
REVEREND BIZARRE - interview avec Magister Albert (chant, basse)
Nicko › vendredi 16 septembre 2005
MACHINA DEUS EX - interview avec Michaël Moron (guitares, claviers)
Nicko › vendredi 16 septembre 2005
ANOREXIA NERVOSA - Interview avec R. Hreidmarr
Pokemonslaughter › jeudi 18 août 2005
EVER SINCE - interview avec Vincent (guitares)
Eliphas › jeudi 18 août 2005
Ever Since semble avoir tous les atouts en main pour devenir l'un des porte-étendards de la scène dark Suisse. C'est donc tout naturellement que nous avons voulu en savoir plus en interrogeant Vincent, guitariste du groupe, qui nous en dira plus sur le dernier album et les projets du groupe !
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GOLDEN DAWN - interview avec Dreamlord
Nicko › jeudi 5 mai 2005
Alors que le groupe n'a rien sorti depuis "The art of dreaming", il y a plus de 5 ans, la formation autrichienne revient avec "Masquerade" qui sortira en février-mars 2002 (finalement, l'album ne sortira qu'un an plus tard pour des problèmes de label...). Dreamlord, leader du groupe, revient sur ces 5 années de silence.
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