Klaus Schulze › Irrlicht

vos commentaires

Demonaz Vikernes › il y a 1 an Envoyez un message privé à Demonaz Vikernes...

Et bien non, pas de sixième boule pour 2022 finalement ! Merci pour le rappel.

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torquemada › il y a 1 an Envoyez un message privé à torquemada...

Mince

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stickgrozeil › il y a 1 an Envoyez un message privé à stickgrozeil...

RIP Klaus

zugal21 › il y a 2 ans Envoyez un message privé à zugal21...

Tu es angoissé ? tu es dans un mal-être ? Ce disque est pour toi : c'est un augmenteur de souffrance

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Demonaz Vikernes › il y a 3 ans Envoyez un message privé à Demonaz Vikernes...

Et maintenant c'est l'un des Schulze que je me passe le plus régulièrement. Une oeuvre vraiment difficile et fascinante. Il prend une boule de plus tous les 2 ans, on se revoit en 2022.

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dimegoat › il y a 4 ans Envoyez un message privé à dimegoat...

Inquiétant et poignant.

Demonaz Vikernes › il y a 6 ans Envoyez un message privé à Demonaz Vikernes...

Après multiples écoutes de mon LP, je fini par briser (un peu) la carapace de cette montagne pour m'y trouver un abri. Mais vraiment, l'absence de Dungeon de l'album d'origine est le plus gros défaut que je peux lui trouver aujourd'hui.

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zugal21 › il y a 7 ans Envoyez un message privé à zugal21...

Lancinant souvent, hiératique souvent aussi, et plus que discrètement oppressant parfois.

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Demonaz Vikernes › il y a 8 ans Envoyez un message privé à Demonaz Vikernes...

Autant j'ai du mal à rentrer dans l'album d'origine, autant Dungeon est une sacré réussite...

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Shelleyan › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Shelleyan...

je me suis permis de rajouter la pochette de ma réédition moins moche que l'originale ^^

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Phaedream › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Phaedream...

Fantastique Twilight et dis-toi ue tu te mets l'oreille là où fourmille une très belle variété de sons et musiques.

Shelleyan › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Shelleyan...

Verdict: c'est assez inhabituel dans ma discographie mais pas tant que ça...J'ai apprécié, c'est relaxant et mélancolique. Le côté 'dark ambient' fait que je peux aimer même si je suis peu habitué à ces sons.

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Shelleyan › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Shelleyan...

Je me suis décidé suite à une description alléchante dans le livre sur la trilogie 'Bowie-Eno' parlant d'une sorte de messe funèbre cosmique...J'ai pas trop réfléchi, les extraits écoutés m'ont laissé à penser que je pourrais aimer, donc j'ai commandé...

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CrystaLake › il y a 13 ans Envoyez un message privé à CrystaLake...

Souvenir, souvenir.A l'époque, pour se procurer ce type de disque, il fallait faire des pieds et des mains, surtout si l'on n'habitait, comme moi, en province.J'utilisais une VPC, Wah Wah Express pour ne pas la nommer.Et c'est comme ça que j'ai découvert Klaus Schulze, du moins les deux premiers.Irrlicht reste, et restera, le premier coup de foudre .Comment, me disais je, avec si peu de moyens, il suffit de regarder la pochette de Cyborg, pouvait on produire de telles sonorités, tellement avant gardistes, empreintes d'une extraordinaire modernité?Certes, difficile d'accès, Irrlicht est un coup de maître( sublime Ebene) et une pièce maîtresse dans l'œuvre du berlinois.Dungeon , le bonus CD, lui, me fait penser, par instants,à quelques bandes sonores actuelles de film de sci fi.C'est vous dire si K. Schulze avait déjà, à l'époque, quelques longueurs d'avance.

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Coltranophile › il y a 13 ans Envoyez un message privé à Coltranophile...

Un de ces diamants noirs devant lesquels on resterait prostré s'il n'avait sa tendresse propre. Un glissement, une suspension, une respiration et un véritable trouble.

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Thierry Marie › il y a 13 ans Envoyez un message privé à Thierry Marie...

J'ai découvert Klaus Schulze par un "Moondawn" tout frais pressé qui venait d'attérir dans les bacs du petit disquaire de province où je m'approvisionnais alors assez régulièrement. "Moondawn" m'avait bien plu, moins que "Aqua" d'Edgar Froese ou "Phaedra", "Rubycon" et "Ricochet", la trinité magique d'un Tangerine Dream qui n'allait plus tarder à se banaliser. "Moondawn" étant le dernier Schulze en date, je me suis alors procuré ceux qui l'avaient précédé. Notamment cette "Quadrophonische Symphonie für Orchester und E-Maschine", le tout premier Schulze sous son nom. Et je le confirme aujourd'hui, à 50 ans, pour un coup d'essai, "Irrlicht" était un coup de maître (surtout le premier mouvement, "Ebene"). Pour que Klaus sorte un second disque aussi bon, il faudra attendre "Mirage"...

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AlainTernet › il y a 14 ans Envoyez un message privé à AlainTernet...

Ce n'est ni accessible ni facile d'écoute, mais j'ai déjà entendu pas mal plus cacophonique que ça. Personnellement, je privilégie des oeuvres plus rythmées et plus mélodieuses ainsi que les sonorités plus esthétiques. Mais ce qui m'impressionne le plus dans tout ça, outre le fait que l'on y observe déjà des éléments des chefs-d'oeuvre à venir, c'est la vitesse avec laquelle la musique de Schulze évolue. Dans un même album, le musicien allemand montre des signes d'évolution par rapport à l'ensemble de son oeuvre naissante. Déjà la finale de Stats Exil Sils Maria est plus mélodieuse et moins sauvage que les pistes précédentes. La même observation me vient aussi à l'esprit à l'écoute de Cyborg, l'opus suivant. En résumé, je ne saurais dire si j'aime Irrlicht, mais je trouve certainement qu'il est intéressant (même si je dois un peu me faire violence pour l'écouter du début à la fin).

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snooky › il y a 15 ans Envoyez un message privé à snooky...

Contrairement à Phaedream , c'est avec Irrlicht que j'ai apprivoisé Klaus Schulze. A l'époque , cette musique m'avait subjugué par son audace et surtout par les sons extraordinaires( prémices du futur)que KS arrivait à produire vu le peu de matériel en sa possession.Fabuleux. Par contre, Dungeon(qui n'était pas sur la version originale vinyle) m'apparaît beaucoup moins audacieux et plus contemplatif.Le reflet de toute une époque...

mangetout › il y a 15 ans Envoyez un message privé à mangetout...

Une petite erreur s'est glissée dans la chronique : le VCS III n'est pas un Moog mais un synthétiseur de la firme anglaise, disparue depuis, EMS (Electronic Music Studios).

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mangetout › il y a 15 ans Envoyez un message privé à mangetout...

Comme le dit si bien Dominique Roux dans son livre "Un saut dans l'inconnu", la matrice du futur schulzien est déjà là dans ce premier pas discographique en solitaire. Le temps qui prend son temps, la construction en longues et lentes progressions par accumulations/disparitions d'objets sonores, l'étirement des phrases, l'impact physiologique autant que psychologique de l'atmosphère qui laisse poindre un mystère, une interrogation pour ne pas dire une mystique, tout est là à l'état d'embryon déjà bien développé, klaus par la suite n'aura de cesse que d'enrichir son langage, développant ce qui était à l'état dormant, fignolant ses intuitions comme autant de leitmotiv comme si la lumière se faisait de plus en plus insistante éclairant progressivement son discours.

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