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Philip Glass (1937) › Einstein on the beach

vos commentaires

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Rastignac Envoyez un message privé à Rastignac...  Rastignac est en ligne !
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Quel trip cet opéra. Quand ce monde est trop répétitif, il faut se lover dans ce labyrinthe cosy comme un cauchemar à 40 de fièvre.

Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
merci pour le fusil... Envoyez un message privé à merci pour le fusil......
Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Alfred le Pingouin Envoyez un message privé à Alfred le Pingouin...

je confirme, cette version est meilleure que celle de Sony des années 80. Plus de nuances, des tempos et des voix moins "mitraillettes", des synthés plus doux. Vraiment plus agréable à écouter.

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Arno Envoyez un message privé à Arno...

Il me semble que dans Knee 4, la partie rapide est chantée "Do - Ré - Mi - Fa - Sol"... et la partie lente "La - Sol - Do - Mi"... Depuis que je m'en suis rendu compte, je ne peux plus écouter ça sans rigoler... "La SoDoMie"...

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Richter Envoyez un message privé à Richter...

C'était la première hier soir et effectivement j'ai passé un très bon moment. Ca continue ce soir et demain pour ensuite poursuivre par l'Italie, Londres, Toronto, Brooklyn, Berkeley, Mexico et Amsterdam. La version a duré 4h30 et il y a des choses que j'ai plus aimé que d'autres. En tout cas voir cet opéra en vrai et ne pas se limiter à ses cds, bah ça change beaucoup la perception de la chose. Les séquences plus théâtrales, je les ai trouvé un peu trop longues (le tribunal). Par contre les scènes dansées (Dance 1 et 2) étaient monstrueuses et la chanteuse a eu bien du courage car ce n'est pas évident à faire. Des scènes excellentes, Train, Building ou Bed. Et puis que dire des Knee qui servent d'entracte entre les différentes scènes mais qui sont surtout de véritables perles. Je ne comprends pas les gens qui allaient faire un tour entre chaque scènes et qui au final dérangeaient tout le monde. Je n'étais jamais allé à l'opéra Berlioz de Montpellier. C'est une chouette salle, un opéra moderne, on est bien assis et l'acoustique n'est pas dégueu. A noter la présence de Robert Wilson, Lucinda Childs et Philip Glass qui sont venus saluer le public à la fin de la représentation...

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mangetout Envoyez un message privé à mangetout...

Tu devrais passer un bon moment, sacré veinard. Bonne soirée !

Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Richter Envoyez un message privé à Richter...

Einstein on the beach sera joué les 16-17 et 18 mars prochain à l'opéra de Montpellier en présence de Glass, Childs et Wilson. J'ai ma place pour le vendredi soir ! :)

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Cathedrale Envoyez un message privé à Cathedrale...

L'ultime Voyage!

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
saïmone Envoyez un message privé à saïmone...
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Comme on dit dans les milieux, ça laisse exsangue. Putain ! Y'a des disques qu'on écoute en voiture, là on est en possession d'un disque qu'on écoute dans le train. A écouter à fond en regardant le paysage sans cligner ni bouger les yeux. La question étant: pourquoi j'avais jamais vraiment accroché en dehors des BO de film ? Je suis vraiment un gros con des fois

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Wotzenknecht Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
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du paradoxe de la démystification picturale par Bacon : tu n'es plus qu'un bout de viande la bouche ouverte ! :)

Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Trimalcion Envoyez un message privé à Trimalcion...
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Je n'ai pas choisi mon avatar par hasard :)

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Richter Envoyez un message privé à Richter...

Je ne sais pas trop comment faut-il prendre ceci...ça fait un peu détenteur de la sainte parole.

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Trimalcion Envoyez un message privé à Trimalcion...
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Note pour Koyaanisqatsi : 3 ou 4 ; pour les Low et Heroes Symphonies : 2 ou 3. Chroniques dans les 10 ans à venir.

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Richter Envoyez un message privé à Richter...

Et puis, ça serait aussi intéressant de causer un peu des 1ère et 4ème symphonies, à savoir Low et Heroes, non ?

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Hallu Envoyez un message privé à Hallu...

Quid de Koyaanisqatsi au passage qui est une des oeuvres les plus connues (et une des meilleures) de Glass ?

Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Trimalcion Envoyez un message privé à Trimalcion...
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La "pâte" orchestrale est vraiment plus dense dans cette dernière version, la diction des poèmes est moins monotone, c'est plus long (donc meilleur quand on aime...) et surtout il y a une précision insensée dans la mise en place des parties les plus rapides, c'est vraiment fascinant, je trouve, les interprètes (souvent les mêmes) se sont améliorés. Après, si tu es habitué à l'ancienne, il est possible que tu sois rebuté par celle-ci, mais essaye quand même oui.

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Arno Envoyez un message privé à Arno...

Bah dans l'une t'as l'impression que c'est un bontempi qui joue, dans l'autre, tu sens quand même légèrement l'orchestre... (j'exagère un peu)... C'est surtout qu'on sent une plus grande liberté dans l'enregistrement chroniqué ici... alors que dans le premier, on perçoit le côté "balbutiements" de la chose...

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
Richter Envoyez un message privé à Richter...

La chronique tape dans le mille. Pour certains, la musique expérimentale de Philip Glass est une abomination et pour d'autres (et j'en fais parti), c'est une véritable révélation. Il y a un avant et un après Philip Glass. Par contre je possède juste la version historique de Sony (trouvé il y a quelques années dans un centre culturel Leclerc) et il faudra un jour que j'investisse dans cette version plus récente. J'aimerai juste savoir ce qui change concrètement entre les deux versions.

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
daï Envoyez un message privé à daï...

Glass n'a pas fait que des chefs d'oeuvre, c'est un fait. Ce qui me gêne, c'est pas le "pour en faire" c'est "le pire de la musique minimaliste américaine popisante"... Le pire ? vraiment ?... juste parce que "the hours" a eu du succès ? Je sais pas, voir le documentaire "looking glass" me semble être la meilleure des réponses. Je crois ce mec intègre même s'il lui arrive de faire de l'alimentaire avec ses musiques de films. Mais ça lui permet aussi de sortir des trucs rares et surtout plus personnels sur "sa ?" maison de disque "orange mountain music", notamment l'extraordinaire "persephone".

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Philip Glass (1937) - Einstein on the beach
michel rocard Envoyez un message privé à michel rocard...

C'est qu'il fait double vitrage!