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Miles Davis › Agharta
vos commentaires
- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé à Aladdin_Sane...
Moins "acide" que Dark Magus (quoique) mais aussi intense
- (N°6) › Envoyez un message privé à (N°6)...
C'est dense. C'est de la matière noire. C'est du Miles sans filtre.
- darkmagus › Envoyez un message privé à darkmagus...
foisonnant, sombre, mystérieux, (avec la trompette électrifiée, Miles retrouve parfois le son de la trompette bouchée de Bubber Miley, chez l’Ellington de 1927)
- Note donnée au disque :
- Thierry Marie › Envoyez un message privé à Thierry Marie...
Je me suis toujours demandé... N'y aurait-il pas inversion de plage ou de titre sur le cédé 2? C'est quand même "Interlude" qui débute à la "Right Off"...?
- Note donnée au disque :
- Thierry Marie › Envoyez un message privé à Thierry Marie...
We want Miles, again & again & again & again...
- Note donnée au disque :
- aur › Envoyez un message privé à aur...
- Pas sûr que l'on puisse ici parler de boeuf, mais plutôt de méli-mélo de composition spontanée, de transe afro-funk et de thèmes constamment revisités. A ce qui paraît, Miles dirigeait ses musiciens et changeait l'ambiance, le rythme, d'un seul signe : on l'entend bien, il stoppe le rythme, et çà reprend de plus belles quelques mesures plus loin, après un rugissement d'orgue ou un murmure des water-drums de mtume.
- Note donnée au disque :
- aur › Envoyez un message privé à aur...
- Curieux, on lit le titre des différentes faces du vynile d'origine, mais on retrouve avec surprise des morceaux de Ife, Willie Nelson, réorganisés. L'ambiance du Miles 1975 est par contre complètement différnte de celle du Miles 1973 : moins free, et souvent plus dépouillée, ascétique que la BOXE de la périodes 1973 Dark Magus. Et pourtant, c'est toujours les mêmes zikos !!!
- Note donnée au disque :
- aur › Envoyez un message privé à aur...
- étrange, tous ces gris-gris électroniques sur le CD2 ! Ce doit être çà l'influence de Stockhausen !
- Note donnée au disque :
- Ayler › Envoyez un message privé à Ayler...
- Un grand Miles, sans nul doute. Les qualités de leader de Miles sont ici exemplaires : alors qu'il décline en tant qu'instrumentiste (il connait alors de très sérieux problèmes de santé...), il réussit à proposer une musique qui n'est pourtant pas moins forte. Le terme "jazz rock" n'est pas vain ici : comment ne pas penser à Jimi Hendrix lorsque l'on écoute la première plage ? Contrairement à de trop nombreux albums du genre, Miles ne cède jamais à la virtuosité gratuite et propose une musique brute, sans concession.
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- edenbeast › Envoyez un message privé à edenbeast...
- assez difficile d'ecoute (encore que le suivant est pire), le son n'est pas tres travaille, mais alors le pere Miles finit en beaute sa periode electrique. on comprend pourquoi pendant longtemps cet album ainsi que Pangaea resterent inedits. il aura fallu attendre 91 pour qu'ils soient distribues officiellement aux USA, avant ca restait un import nippon.
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- Macbeth › Envoyez un message privé à Macbeth...
- Imaginez Hendrix, son fantôme et la section rythmique de James Brown sous speed jammant avec 300 percussionistes burundais à Da Nang sous les mitraillettes viet-congs tandis que L'US Air Force déverse son napalm et que Miles, pour fêter ça, joue une seule note d'orgue, à savoir NIIIIIAAAAARRRRRGGGG (en gros). Si cela vous attire, vous avez besoin de ce disque (et d'un psy). Mr Davis mettra lui-même 6 ans à s'en remettre, pour mieux se réincarner en expert ès jazz d'ascenseur. Rideau.
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- torquemada › Envoyez un message privé à torquemada...
- Cette période de Miles est vraiment ENORME !
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