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Robert Fripp › Let the power fall

vos commentaires

Robert Fripp - Let the power fall
nicola Envoyez un message privé à nicola...

Gurdjieff… nom de d’là, je reçois du spam d’une espèce de secte de danseurs gurdjieffiens. Je ne sais même pas où j’ai pu choper ça.

Robert Fripp - Let the power fall
Cinabre Envoyez un message privé à Cinabre...
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Peter Gabriel? Avec la touche ethno?

Robert Fripp - Let the power fall
nicola Envoyez un message privé à nicola...

Fripp & Fayman, peut-être ?

Robert Fripp - Let the power fall
SEN Envoyez un message privé à SEN...

En terme d'ambient, je vois pas trop ce qui surpasse Fripp, Eno et Fripp & Eno !

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Robert Fripp - Let the power fall
Thierry Marie Envoyez un message privé à Thierry Marie...

Ah, 'Let The Power Fall', j'ai adoré cet album lors de sa première parution, à l'aube des années 80, autant que 'Evening Star' quelques années plus tôt. Si je ne désespère pas d'un jour accrocher aux soundscapes plus récents, la musique de 'Let The Power Fall', de par son procédé technique aussi simple que genial, possédait une qualité organique qui en concrétisait tout l'intérêt. Malheureusement, pas moyen de m'en procurer le cédé (je n'ai plus le moindre vinyl), ou alors d'occasion et à des prix prohibitifs. De mémoire, je le côterai donc à...

Note donnée au disque :       
Robert Fripp - Let the power fall
Trimalcion Envoyez un message privé à Trimalcion...
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C'est vrai que c l'idéal pour ouvrir un concert de King Crimson, mais que sur disque, c un tout petit peu chiant (je ne connais pas celui-ci mais j'ai "No Pussyfooting", que j'apprécie cependant). La comparaison avec Reich est fondée (effets hypnotiques...), mais il y a chez l'Américain une vraie progression qui fait passer de l'ombre à la lumière (Electric counterpoint, Three movements, Desert Music) qui me captive et que je ne retrouve pas chez Fripp. Mais bon, Fripp imrovise alors que la musique de Reich ne laisse aucune place à l'improvisation.
Robert Fripp - Let the power fall
torquemada Envoyez un message privé à torquemada...
ah, les Frippertronics ! Quand l'ami Robert en joue sur scène, c'est sublime, mais sur un disque d'une heure, bonjour la sieste !