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Giuseppe Verdi (1813-1901) › Requiem

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Giuseppe Verdi (1813-1901) - Requiem
Sheer-khan Envoyez un message privé à Sheer-khan...
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  • baff*
Giuseppe Verdi (1813-1901) - Requiem
ellington Envoyez un message privé à ellington...

J'aime beaucoup le requiem, mais les " quatre pièces sacrées ", présentées ici en complémént de programme ,sont le vrai chef d'oeuvre. Et tiens , le chroniqueur ne s'est pas trompé dans le choix de la version ( çà va marcher , j'te dis , il va revenir pour m'en coller une ! )

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Arno Envoyez un message privé à Arno...
C'est beau... mais ça traîne un peu en longueur... Pourtant, je peux m'enfiler "Don Carlo" et La Forza del Destino" sans problèmes...
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Girardasse Envoyez un message privé à Girardasse...
Pour moi le requiem de Verdi est legeremment en dessous de Mozart et Brahms mais c'est un chef d'oeuvre, notamment son celebre "Dies Irae", dechainement de cuivres qui sonnent la colere de Dieu. La version de Giulini est LA reference. L'interpretation y est parfaite, le son un peu moins...
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Tango Mago Envoyez un message privé à Tango Mago...
C'est l'éternel problème de la musique classique. Même si l'on parle ici (et je m'inscris dans ce propos) de l'oeuvre, et donc du compositeur, il n'est pas possible de faire abstraction des interprétations qui, même si elles se réfèrent toues à la même partition, aboutissent parfois à des résultats très différents. Le Sacre du printemps, selon qu'il soit dirigé par Karajan (la meilleure ! :-), Boulez, Dutoit, Monteux ou Stravinsky lui même, présente 5 visages complétements différents, parfois méconnaissables. Ne faudrait il donc pas se contenter d'afficher l'oeuvre par son simple titre et son compositeur, plutôt que par le biais d'un chef, d'un orchestre et d'une maison de disque ?
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Trimalcion Envoyez un message privé à Trimalcion...
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Je rappelle quand même que la vocation première de notre site, en matière de musique classique, n'est pas de comparer les mérites respectifs de telle ou telle interprétation (même si je me plais à le faire moi aussi dans certaines "remarques") mais de parler des oeuvres en elles-mêmes. Je ne dis pas ça contre toi néant, bien évidemment, mais surtout pour ceux qui ne se sentiraient pas en droit de parler d'une oeuvre sous prétexte qu'ils n'ont pas la version présentée ici. A eux je dis : l'interprétation, on s'en fout ! ;-))
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néant Envoyez un message privé à néant...
La version Giulini consensuellement considérée "de référence" est quand même gâchée par une prise de son médiocre, pas tout à fait comblée par la réédition remasterisée. Schwarzkopf s'en sort admirablement bien que le chant verdien ne soit pas son domaine de prédilection. Quant à Gedda, je ne l'aime pas mais c'est une considération personnelle. Pour ma part, je recommande plutôt la version de Leinsdorf avec le Boston Symphony Orchestra (1965) et - excusez du peu - les grands Birgit Nilsson et George London. Une version qui voilà quelques années fut furtivement réédité dans la collection "Living Stereo" de RCA. Bien que supprimé du catalogue, ce double CD reste encore aisément trouvable pour peu qu'on cherche.
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Delyseet Envoyez un message privé à Delyseet...
Le 'Dies Irae' le plus violent que j'ai jms entendu, c'est d'une force rare, d'une énergie pleine de lyrisme, bref c'est beau.J'ai honte, ms j'ai qd meme du mal à l'ecouter en entier, alors que celui de mozart, berlioz et brahms ( et fauré)...
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