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Alain Bashung › Passé le Rio Grande...
vos commentaires
- Raven › Envoyez un message privé à Raven...
"Si tu me quittes est-ce que j'peux venir aussi ?"
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- Raven › Envoyez un message privé à Raven...
"ça va chercher dans les combien ?"
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- zugal21 › Envoyez un message privé à zugal21...
Perso j'ai accroché direct avec deux Bashung seulement : Celui-ci et surtout Pizza. Pour les autres ça n'est pas allé de soi .
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- Raven › Envoyez un message privé à Raven...
J'ai fini par accrocher, mais ça vaut ni les deux d'avant, ni le Rio Grande d'Eddy.
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- nicola › Envoyez un message privé à nicola... nicola est en ligne !
Toi aussi ? Il a mieux vieilli que les précédents (notamment Play blessures) mais aussi bien que Pizza (dont j’ai une version en CD qui s’arrête à Fan).
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- zugal21 › Envoyez un message privé à zugal21...
Tout simplement jouissif .
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- (N°6) › Envoyez un message privé à (N°6)...
Ca doit être l'influence Higelin qui me saoule un peu là-dessus. La prod tout en plastique. Trop de jeux de mots tuent les jeux de mots. Mais bon, c'était les retrouvailles avec Boris Bergman, quelques années après un divorce brutal. Un peu de légèreté, avant qu'on ne s'enfonce dans la noirceur magnifique de Novice. J'adore "SOS Amor" ceci dit, je l'ai beaucoup écouté dans les rues d'Istanbul...
- Raven › Envoyez un message privé à Raven...
Pochette Culture Club, grosse influence Higelin, jeux de mots débiles ("mes rognons 1515") ou poétiques ("le chat veut finir en beauté" sur l'entracte en suspension "Chat", qui fait un peu pareil que l'histoire des petits enfants qui tombent...) et la chanson commandée ou inspirée par le collectif de BHL et Harlem Désir (c'pourrait être un des titres de la tracklist, tiens) qui plutôt que faire dans la moraline lourdingue en rajoute une couche en entrechats paronymiques et double-sensesques ("Séparer les blancs des jaunes, fouetter généreusement / On n'est jamais à l'abri d'une piqûre de meringue"). Pas désagréable du tout celui-là, en fait, à la fois l'un des plus faciles et l'un des plus bizarroïdes d'Alain.
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- nowyouknow › Envoyez un message privé à nowyouknow...
Le son est assez étrange, un rock festif avec pas mal de synthé kitchs.. Mais ça fonctionne, les morceaux sont malins et bien construits. Et Bashung est en forme surtout. Sympa
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- nowyouknow › Envoyez un message privé à nowyouknow...
j'annule la manicure ça lui fera les pieds
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- zugal21 › Envoyez un message privé à zugal21...
Ce truc est jubilatoire bien souvent
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- Jacques Capelovici › Envoyez un message privé à Jacques Capelovici...
Brassens entre Elmer Food Beat et les Charlots… on aura tout vu…
- The Gloth › Envoyez un message privé à The Gloth...
Gainsbourg peut-être ? "Variations sur Marylou" par exemple.
- Bobbywayne › Envoyez un message privé à Bobbywayne...
J'aurai dû dire à la française, je pense que même Elmer Food Beat, Brassens, les Charlots, Gainsbourg n'ont jamais été aussi fin.
Ps : Encore un américain qui aime séparer les différents genres qui évoluent pourtant dans le même monde.
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- The Gloth › Envoyez un message privé à The Gloth...
ça n'a rien de nouveau, écoute Bo Carter dans les années 20-30, pour citer le spécialiste du genre. Mais il y en a eu avant lui, beaucoup.
- Bobbywayne › Envoyez un message privé à Bobbywayne...
Bashung a inventé la chanson porn comique avec Malédiction. Les allusions sexuelles sont évidentes (Laisse pas tomber comme ça l'épine/ça ferait trop de peine à Rose, Si tu savais ce qu'il faut dire/Pour la faire mouiller la machine.'').
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- Solvant › Envoyez un message privé à Solvant...
"ça vole pas haut dans la prairie..." tu m'étonnes. Textes faciles voir carrément médiocres, musique en polyestère, seule sa voix est à la hauteur. Un de ses rares albums à oublier. D'ailleurs, je me demande si ce n'est pas le pire.
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- Aiwass › Envoyez un message privé à Aiwass...
- L'album le plus difficile de Bashung... plus agaçant qu'enivrant... reste quelques accroches comme "Rognons 1515". Un brin déjanté, pas assez enjolivé. Moi y'en a pas trop aimer.
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- torquemada › Envoyez un message privé à torquemada...
- tiens, j'avais oublié de le noter celui-là. Pas une franche réussite à mon sens.
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- taliesin › Envoyez un message privé à taliesin...
- C'est en écoutant cet album - intéressant au demeurant - que je me suis rendu vraiment compte de l'évolution de l'oeuvre de Bashung. A partir de "Osez Joséphine" et surtout de "Chatterton" (un de mes favoris, on va finir par le savoir ^_^), que de changements ! Réel travail au niveau de la voix, abandon de l'electro kitch typique des 80's, paroles plus subtiles, plus profondes... Non que je renie cette période de Bashung, mais quelle évolution positive depuis le début des années 90...
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