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David Bowie › Lodger
vos commentaires
- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé à Aladdin_Sane...
Avec la sortie du nouveau coffret "A new carrer in a new town", cet album est enfin réhabilité par Tony Visconti avec un nouveau mixage. Curieux d'écouter ça...
- Note donnée au disque :
- Alvus Dei › Envoyez un message privé à Alvus Dei...
Le Boys And Girls de Blur a quand même légèrement pompé la basse de D.J...
- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé à Aladdin_Sane...
Shearwater (le groupe indie pop de Jonathan Meiburg) a repris cet album (injustement sous estimé à mon avis) dans son intégralité : https://www.youtube.com/playlist?list=PLslxeOGneMPuwDkJtwQy3aT19Y_M1kPTd
- Note donnée au disque :
- Kid A › Envoyez un message privé à Kid A...
Et on reste en famille puisque Eno a fait partie d'une mouture de Harmonia pour l'album "Tracks & traces", enregistré en 76 et publié vingt ans après... Une merveille ambient organique... Avant d'enregistrer deux albums avec Cluster dont un "After the heat" délicieusement inventif et mélodique ! Des bonnes pistes pour approfondir l'univers Eno/Bowie !
- dariev stands › Envoyez un message privé à dariev stands...
ouais, je sais plus si c'est red money ou move on, mais ya un morçal qui est quasiment du karaoké sur un morceau d'Harmonia (Cluster feat. M.Rother de Neu, justement, l'autre étant parti fonder... LA Dusseldorf). Je crois que Bowie avait pleinement conscience d'être un gros poisson, et de toucher un public qui de toutes façons n'écouterait absolument jamais du rock planant instrumental, encore moins par un groupe allemand de quelques années avant avec du détergent sur la pochette.
- Kid A › Envoyez un message privé à Kid A...
En fait Lodger c'est la rencontre rêvée entre pop ultramoderne et krautrock ! Les ambiances, structures ouvertes et rythmiques motorik se retrouvent un peu partout, le final de "red sails" (we're going to the hinterland, fa-fa-far away"...)paraît carrément sortir tout droit d'un disque genre LA Düsseldorf. Ce côté répétititf et groovy en phase avec le funk et la disco de l'époque aurait pu, aurait dû, révolutionner la pop...Et puis on s'amuse, il y a le rap de folie au milieu de "African night flight", les choeurs sixties de "Look back in anger", ceux Eno-esques en diable de "Move on" ("Peggy Sue" joué par Neu!?).. Chef-d'oeuvre ludique que j'avais totalement mésestimé.
- Richter › Envoyez un message privé à Richter...
J'étais déjà fan de Low et Heroes et jusqu'à hier, je ne connaissais pas ce Lodger qui clôt à merveille cette trilogie berlinoise. Quelle erreur !! Des ambiances étonnantes, mélange d'expérimentations et de sonorités diverses, africaines (African night flight), orientales (Yassassin) voir limites asiatiques (Red Sails)...un sacré tour du monde musical !
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- zugal21 › Envoyez un message privé à zugal21...
"move on" en boucle bien souvent
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- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
- Le lodger Novö.
- Aladdin_Sane › Envoyez un message privé à Aladdin_Sane...
- Un album sur lequel je suis passé un peu vite lors de ma découverte de la discographie de Bowie. J'y reviens aujourd'hui et je le trouve magnifique. Les morceaux et la voix de Bowie semblent parfois tordus, comme passés à travers un filtre (merci Eno), empruntent à divers folklores et sont en même temps bien ancrés dans leur époque ("D.J." trés disco). Un disque décalé mais qui vaut le détour et clos de belle manière les années 70.
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- Aiwass › Envoyez un message privé à Aiwass...
- On peut toucher... beaucoup de fulgurances et quelques passages à vide (par exemple, "Boys Keep Swinging" me gonfle un peu, "African Night Flights" m'éblouit). Toujours Grand.
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- loucmoi › Envoyez un message privé à loucmoi...
- Les deux derniers morceaux du disque me font mettre 5 au lieu de 6, à part ça un album brillant de par sa diversité et son anticonformisme dans sa conformité...
- Crimson › Envoyez un message privé à Crimson...
- Excellent, mais il en faut, du temps, pour l'apprécier à sa juste valeur, ce disque...
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- Phaedream › Envoyez un message privé à Phaedream...
- Mouais...sans doute le plus faible de cette trilogie annoncée, mais il est des plus percutant. Red Sails et African Night Flight sont à crever. La preuve du génie de Bowie. Même dans ses moments où l'inspiration, la donne n'y sont plus, il y a toujours quelque chose pour nous étonner. C'est pas du grand Bowie, mais c'est tout de même assez bon pour se le procurer.
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- muffinman › Envoyez un message privé à muffinman...
- Sans doute le disque le plus sous estimé dans la carrière de Bowie. D'ailleurs Bowie et Eno ont plusieurs fois laissé entendre que s'il l'avaient fait, c'était parce qu'ils avaient annoncé une trilogie et qu'il fallait aller jusqu'au bout du truc, histoire de ne pas passer pour des nazes (15 ans plus tard, ça leur a passé, puisque Outside qui devait être le premier chapitre d'une série de disques à paraître tous les 12 ou 18 mois n'eut jamais de successeur). Lodger nécessite beaucoup d'écoutes pour être apprécié à sa juste valeur. Si Look back in Anger me paraît un peu moins bon, le reste est de haute volée. Mais à sa sortie l'accueil critique et public fut mitigé. Impression renforcée par cette drôle de pochette. L'année suivante Bowie pondra Scary Monsters et fera oublier la curieuse sensation provoquée par Lodger.
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- green fairy › Envoyez un message privé à green fairy...
- L'exception dans la trilogie, Lodger est totalement différent des deux premiers, mais reste le chef d'oeuvre qui clos la trilogie. Là ou Low et Heroes étaient axés atmosphères aeriennes avec un climat dépressif, sur Lodger on retrouve un Bowie totalement déjanté sans enlever les expérimentations. L'album est un véritable David Bowie's Style, la voix déjanté relève totalement du génie, Bowie n'a jamais été aussi génial. Les atmosphères barrées de Eno avec ses sons délirants en rajoutent une couche: Yazzazin (du orientalfunkrock), Redsails, Repetition. African Night respire cette folie, c'est le titre le plus déjanté de l'album seulement grâce à la voix de Bowie. Les enchaînements entre les morceaux collent superbement. Le tube Boys keep Swinging ressemble au clip: délirant et barré. Enfin on retrouve le côté tragique de Heroes sur le trés beau Look back in anger, petite parenthèse de l'album. L'album à posséder de la trilogie je pense.
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- MightyJayM › Envoyez un message privé à MightyJayM...
- Mouais j'ai pas été aussi convaincu que par les deux opus précédents. Vu la tonalité délirante de la plupart des morceaux, on peut s'imaginer sans problème que le thin white duke s'est fait plaisir, c'est déjà ça de pris ^^ Un petit 4 à cause de l'écart de niveau avec les deux chefs d'oeuvres précédents.
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- vojna poema › Envoyez un message privé à vojna poema...
- De David Bowie à Skinny Puppy.....
- aur › Envoyez un message privé à aur...
- « C'est la nécessité qui nous a poussé à faire ce disque, il fallait faire un album », confie Brian Eno aux Inrocks en 1992. Il ajoutera même que Lodger est « expérimental parce qu'on ne savait pas comment faire autrement. » Ce côté bidouillage est perceptible, mais c'est un peu l'esthétique de l'album, dont la réalisation a du être plus légère et ludique ! L'impact de la rythmique disco déjà présente sur les albums précédents, est appuyé par la froideur et la dureté du son des synthés d'Eno, et l'acidité des soli du futur KC Adrian Belew. Mention particulière aux interventions de ce dernier, qui tronçonnent et électrisent les songs avec furie, leur apportant ainsi une part de démence supplémentaire ! Bowie nous fait voyager dans un univers musical halluciné, laissant l'auditeur sidéré, sonné !!! Cet univers musical, qu'on croirait peint sous acide, est agrémenté de diverses touches instrumentales et exotiques : Citons le violon du reggae arabisant Yassassin, les percussions et les litanies africanisantes d'African Night Flight, et la mélodie orientale de Red Sails. Lodger est l'album de la trilogie le plus décomplexé, et la plus franche partie de déconnade de toute la carrière de ce caméléon de la pop qu'est Bowie !!! Incontournable !!!
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- Trimalcion › Envoyez un message privé à Trimalcion...
- Personnellement, je trouve cet album décevant par rapport aux exceptionnels Low et "Heroes". La première face, dans le genre exotisme new wave, est sympathique, avec les bidouillages d'Eno, mais sans plus. Quant à la seconde...certes, elle contient LE morceau qui tue ("Look Back In Anger", qui vaut à lui seul d'acheter l'album) mais le reste est très très léger ; en plus, Bowie révèle son manque flagrant d'inspiration en se contentant, pour "Red Money", de reprendre "Sister Midnight", composé pour Iggy Pop dans "The Idiot" (1977-l'année où Bowie, en plus de Low et Heroes, produit et co-compose avec Iggy 2 autres disques géniaux : The Idiot et Lust For Life).M'enfin bon, on sait que dans le genre expérimental, il se rattrapera largement ensuite avec Outside, n'est-ce pas Nicko ? ;))
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