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Jeff Buckley › Grace
vos commentaires
- (N°6) › Envoyez un message privé à (N°6)...
Sur Twitter, Jeff Buckley avait rendu hommage à Leonard Cohen à sa mort. Ca avait été repris tel quel par plusieurs sites de news. Authentique. On vit dans un monde surréaliste.
- Dioneo › Envoyez un message privé à Dioneo...
@Kalcha : Eh eh... Doit bien y en avoir ! (Je crois surtout blague à part que pas mal de monde ne connaît d'elle que sa reprise de Brel et/ou My Baby Just Cares..., malheureusement. Ce qui fait peu vue la taille et la variété de sa disco !)
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- kalcha › Envoyez un message privé à kalcha...
@Dioneo: Il existe des gens qui n'aiment pas Nina Simone?? ;-)
- Dioneo › Envoyez un message privé à Dioneo...
Oh et puis aussi... Je me suis demandé quelquefois comment le type aurait tourné ensuite, s'il se serait défait de ce voile de séduction juvénile, du romanesque... S'il serait parti - comme Papa ; qu'il n'avait pas connu et à qui, on s'en doute, il n'aimait pas être comparé - dans quelque chose de plus personnel, moins rosée d'aurore, ailleurs. Quelques extraits d'autres disques - la version de The Way Young Lovers Do de Van Morrison tout en scat fervent et accords jazz heurtés par exemple - laissent penser qu'il en avait sous le pieds, envies et moyens... Enfin, on n'en saura guère plus. Et "légende" ou pas, ça ne fait de celui-là - loin de là - un simple lot de consolation. Il se tient toujours, sans béquilles, seul.
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- Dioneo › Envoyez un message privé à Dioneo...
Ah oui, sans doute que l'effet "j'y étais" - moi aussi hein... j'avais même pu voir le mec en concert dans le beau cadre de l'amphithéâtre gallo-romain de Fourvière, sans l'avoir prévu - doit jouer mais... Même sans ça j'ai l'impression qu'il vieillit bien mieux qu'on aurait pu croire à l'époque, "l'aura" du mec de son vivant désormais souvenir ou fantôme plutôt que présence qui attend entre les notes de se matérialiser ci ou là. Beaucoup de choses qui auraient dû m'y rebuter pourtant, bêtement ou pas - le côté chanteuse-à-minettes, oui, ou tout simplement cette dimension "romantique" du type (qui, il faut être juste, devait sans doute "y croire" - je ne l'ai en tout cas jamais trouvé "poseur" là-dessus, même si évidemment c'est impossible à dire avec certitude). Le truc c'est que le mec savait faire ça avec bien plus de subtilité qu'il ne pouvait y sembler. Il y a certes quelques rares plages qui passent moins bien, chez moi (le Corpus Christi pris à Britten, en effet... que je n'aimais déjà pas à l'époque), peut-être So Real, Eternal Life qui je trouve "s'use" plus vite (mais bon... c'est une bonne chanson rock délibérément simple, pas prétentieuse, à la base - ils l'avaient jouée non loin de la reprise du Kick Out the Jams du MC5, sur scène). Quant à Hallelujah, on l'a beaucoup trop entendue à toutes les sauces (y compris je ne sais plus quelle horripilante chorale de gosses) mais à l'époque je la trouvais assez juste, pas si "pathos" que ça quand on saisissait le froid désespoir des paroles, au fond. Ah oui, et Lilac Wine est étonnamment réussie, aussi, nonobstant la respiration très dentelle-jabot-revers de la main sur le front au début - d'avoir découvert la version d'origine par Nina Simone (j'aime Nina Simone) ne me l'a même pas gâchée, tiens.
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- Richard › Envoyez un message privé à Richard...
Humeur nostalgique ce jour qui colle parfaitement à cette émouvante chronique. Peut-être faut-il avoir vécu la sortie de ce superbe album pour ce souvenir de la bouffée d'oxygène romantique qu’il a occasionnée. Arrivé entre le grunge médiatique mourant et la britpop battante, « Grace » pour les lycéens que nous étions était comme un OVNI. Beau gosse, belle voix,émotions à fleur de peau, c’était dur de lutter contre le Sieur Buckley encore plus dans une terminale littéraire avec plus de 35 filles pour 3 garçons…Pas grave, à l’époque, ce disque m’avait déjà complément transpercé, irradié par sa fragilité et sa force assumées. Le temps parfois embellit les souvenirs. Mais avec "Grace", c'est certain, mon cœur, plus de vingt ans après est toujours bercé par ce grand disque.
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- SEN › Envoyez un message privé à SEN...
Le live à L'Olympia est juste une merveille, il suffit d'écouter "Dream Brother" pour s'en convaincre !
- heirophant › Envoyez un message privé à heirophant...
Moi, les pucelles à tétons qui pointent, je les prenais sur l'air sur la corde de sol de Bach. Bizarrement, après son utilisation intensive dans des tas de films, je trouve ça soupeux...
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- Procrastin › Envoyez un message privé à Procrastin...
En bon blaireau j'aime bien cette version (http://www.youtube.com/watch?v=cMOobcdzHQM) du tube à mamzelles ; la version de mr buckley ayant été écouté jusqu'à nausée dans des contextes plutôt risible je n'aurais jamais le plaisir de l'envisager sans l'image de pucelles hystériques à tétons qui pointent.
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- heirophant › Envoyez un message privé à heirophant...
Il a surtout rajouté intro, pont et final. Quant au pathos, il n'est pas vraiment présent, c'est au contraire très épuré : juste la voix et la guitare, posées, sans envolées excessives comme il peut y en avoir sur d'autres morceaux de l'album. Après, le matraquage médiatique a littéralement tué cette chanson...
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- (N°6) › Envoyez un message privé à (N°6)...
C'est à dire que ça fait son petit effet jusqu'à ce qu'on entende la version de John Cale, sur laquelle Buckley s'est très largement appuyé en y rajoutant dix tonnes de pathos. Je préfère la digne austérité du gallois. Eternal Life et Dream Brother sont des tueries cependant.
- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
'toujours préféré l'original, moi, grmbl
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- Seijitsu › Envoyez un message privé à Seijitsu...
Bon ben ça va alors. Ce titre étant littéralement vénéré en général, même ici...
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- E. Jumbo › Envoyez un message privé à E. Jumbo...
Hallelujah soupeux, non, ce n'est pas très choquant.
- Seijitsu › Envoyez un message privé à Seijitsu...
Ce disque me fait le même effet que le premier Arcade Fire. De très bons morceaux et des trucs à se flinguer tellement c'est pas possible (Corpus Christi carol, eurgh). Et je sais que je vais en choquer beaucoup, mais Hallelujah a beau être joli et bien chanté, j'ai toujours trouvé ça méchamment soupeux. C'est peut être dû au matraquage, qui a cet effet ingrat de ruiner des chansons pourtant bonnes, mais quand on me dit que ce morceau bouleverse des tas de gens: ich bin perplexe.
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- boumbastik › Envoyez un message privé à boumbastik...
Tiens ben puisqu'on en parle, j'me lâche : j'ai essayé, ré-essayé, ré-ré-essayé... Non paske bon, c'est considéré comme un chef d'oeuvre, alors j'insiste, je veux comprendre, je veux pas mourir idiot. Ca fait des années que j'essaie. Croyez-le ou non : cette "plénitude inouïe", cette montagne d'émotion me laissent froid. C'est comme ça, j'ai le chic pour rater des rendez-vous incontournables (Black Sabbath en est un autre exemple).
- Jean Rhume › Envoyez un message privé à Jean Rhume...
Chro absolument raccord avec ce qu'on ressent en découvrant l'album. Si elle n'avait pas été écrite dans la foulée du ressenti, on aurait peut-être eu droit à quelques touches de cynisme et d'usure, or là on pige assez bien le rapport assez particulier qu'on a avec cet album au moment précis de la baffe. Les comm et le boulax le prouvent aussi. Les morcifs de "Sketches For My Sweetheart The Drunk" ne sont pas à négliger non plus, il y a des trucs magnifiques et même étonnants, comme le côté R&B-soul d'un titre comme "Everybody Here Wants You". Angie Stone ou Jill Scott pourraient chanter ça.
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- H2O › Envoyez un message privé à H2O...
Rarement album aura aussi bien porté son nom.
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- absinthe_frelatée › Envoyez un message privé à absinthe_frelatée...
Hipster > va dire à John Balance qu'il est pas sombre et expérimental (enfin, s'il était encore vivant).
- saïmone › Envoyez un message privé à saïmone...
L'énergie dégagée génère une telle attraction Que vers lui se tournent enfin tous les regards Pour s'apercevoir que l'espoir émerge du noir Une partie de tout homme la force manipule D'un rien il suffit pour que l'être bascule
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