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Philip Glass (1937) › Koyaanisqatsi

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Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
zugal21 Envoyez un message privé à zugal21...

J'y entends ça et là chanter les bielles de l'espace-temps

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Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
dariev stands Envoyez un message privé à dariev stands...
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"Fantasia pour adultes", haha, si cette phrase a vraiment été écrite sans connaître le film ou avoir vu des extraits (allez, avoue), c'est balèze, parce que c'est exactement ça ! ce qui en fait un pur chef d'oeuvre, et accessoirement un film avec un truc à dire. Le message est scrupuleusement le même que la séquence de Mickey dans Fantasia, autant dire que mon cerveau a enregistré, bordel ! Cette musique m'a filé la chair de poule, malgré de gros gros passages kitschos qui surlignent l'émotion avec des sabots d'éléphants, mais hey ! c'est du classique, et malgré les milliards de copies fades et soucieuses de leurs effets dans les pubs, séries tv ricaines, films et autres spots de prévention contre le tabac, et ça, ça en dit long...

Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
p2h Envoyez un message privé à p2h...

je me demande ce que vaut la suite...

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Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
necromoonutopia666 Envoyez un message privé à necromoonutopia666...

"Papa, tu remets le film ou ça va vite"

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Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
Alfred le Pingouin Envoyez un message privé à Alfred le Pingouin...

Je suis le premier à cracher sur le Glass classico-pompeux qui fait exprès des trucs jolis, mais Koyaanisqatsi c'est une claque. Visuelle et sonore. Inégalable dans ce domaine.

Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
mangetout Envoyez un message privé à mangetout...

L'alliance musique et images est d'une efficacité redoutable dans ce Koyaanisqatsi, efficacité que l'on ne retrouvera pas, je trouve, sur les deux autres "épisodes" de la trilogie.
Le propos critique sur le rapport conflictuel entre la technique et la civilisation (au passage, Ellul, entre autres, est remercié dans le générique de fin) est toujours d'une actualité brulante voire même renforcé et décuplé à l'heure du tout connecté virtuel et de l'interconnexion fluide physique.
Quant à la musique seule, de Glass, elle s'écoute sans déplaisir aucun, les timbres électroniques se mariant à merveille avec les instruments acoustiques. L'ensemble (mais ce n'est pas propre à ces pièces là mais plutôt au genre "répétitif/minimaliste") formant une construction digne de l'horlogerie dans laquelle la répétition et la variation jouent, avec le réel et le virtuel, une sarabande effrénée, tout en éclairant, soulignant les images d'une superbe manière, à l'instar du long plan final, véritable ode funèbre à l'incident technique...

Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
Hallu Envoyez un message privé à Hallu...

Beaucoup de justification pour Trimalcion. Pour moi pas besoin, ce disque est beau, point. Après oui Akhnaten est mieux fait, mais Koyaanisqatsi est plus pur, c'est l'innocence même. Pas besoin d'avoir fait solfège pour l'apprécier. Une œuvre qui résonne encore aujourd'hui puisqu'après tout Zimmer lui rend plus ou moins hommage (volontairement ?) avec la BO de Interstellar. J'aime bien le film Koyaanisqatsi, mais il fait un peu daté. De nos jours il devient caricatural d'un truc contemporain qu'Arte passerait à 3h du mat'. Mais il aura le mérite d'avoir démocratisé le time lapse et ce genre de docu expérimental. Voir ça au ciné lors de sa sortie au début des années 80 a dû être un sacré choc.

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Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
Dead26 Envoyez un message privé à Dead26...

Le Film + la musique = Chef d’œuvre !!! (Tout est dit)

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Philip Glass (1937) - Koyaanisqatsi
Wotzenknecht Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
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https://www.youtube.com/watch?v=KOqtnU2faTc

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